Bonjour, merci pour votre commentaire.
« Sans aucun contrôle, comment s’assurer que l’éducation est bien faite et que l’enfant n’est pas juste un analphabète et asocial en devenir ? »
Il doit y avoir là de votre part une inversion: d’où sortent les analphabètes et les asociaux ? De l’école, à 100% ! Car 100% des asociaux à ce jour sortent de l’école, de même que 100% des terroristes, ce que nous avons expliqué à la Commission parlementaire dirigée par Eric Ciotti en charge de réfléchir à une loi et qui a reculé devant cet argument massue que nous lui avons fait adresser par une pétition réunissant 100.000 signatures.
Elle a bien dû constater que l’école à la maison n’avait en effet fourni aucun criminel, ni complet ignorant.
Voyez-vous ?
Vous en saurez plus sur cet article: https://l-ecole-a-la-maison.com/la-desocialisation-et-l-ecole-a/
C’est l’école qui produit de l’analphabétisme et de l’illettrisme. Officiellement, 50% d’illettrés en fin CM2 et 17% au BAC ! (certains illettrés ont leur Bac… avec mention).
La question que vous posez est la même à l’école, nous vous la retournons : sans aucun contrôle de la part des parents, comment peut-on n’être pas sûr que l’enfant qui va à l’école va devenir ce qu’il devient dans la majorité des cas: chômeur, illettré, asocial et/ou dyslexique ?
D’où sortent les gens violents de Notre-Dame-des Landes, les spéculateurs ou les gangsters ? De l’école.
Parlons niveau. Nous savons une chose certaine: le niveau de l’école à la maison est bien meilleur. Vous le verrez sur cet article: https://l-ecole-a-la-maison.com/les-resultats-de-lecole-maison/
Vous dites:
« Or, l’éducation est bien obligatoire jusqu’à 16 ans, ce pour le bien être du futur adulte. «
Oui, non, faux. Faux d’abord: « l’éducation » n’est obligatoire nulle part, l’enseignement a minima du socle commun l’est. Ensuite, sur l’âge, quelques fous du ministère veulent le repousser à 18 ans, ignorant totalement qu’une société du diplôme est forcée d’aller à l’échec. C’est la dictature de l’université, malgré l’échec indiscutable que l’on constate. Le savoir diplômé ne vaut pour ainsi dire pas grand chose, ce sont les savoirs réels qui comptent, nous le montrons sur ce site.
On n’a jamais prouvé que les adultes enseignés étaient plus heureux que les analphabètes. Il y a eu des tas de petits bergers analphabètes qui vivaient plus heureux que des hauts fonctionnaires coincés sur le périphérique ou des Bac+5 dans leur tour de la Défense; ne parlons pas des universitaires malheureux et des enseignants désespérés. L’instruction est un élément qui correspond à un parcours, mais tous les parcours ne passent pas par elle et a fortiori, tous les parcours ne passent pas par l’école majoritairement (hélas !) destructrice de parcours, de vocation.
Plus encore, de quel savoir parlons-nous ? Sous Louis XVI, la population était plus enseignée et instruite qu’aujourd’hui, mais cette instruction édifiait l’être. L’instruction d’aujourd’hui n’édifie plus. Savoir que le TGV va à 160km/heure ou que la Commission européenne comporte x membres (cooptés, au passage) n’apporte rien. On a perdu les Lettres classiques, l’enseignement de l’Histoire, la logique des maths, la beauté du français. L’instruction a tout simplement disparu !
« Bref, je suis pour l’école à la maison dans certains cas, mais contre l’idée que l’école est toujours mauvaise. »
Eh ! bien nous, c’est le contraire: nous sommes pour l’école dans certains cas, mais contre l’idée qu’elle est toujours bonne.
« Elle aussi veut le bien pour nos enfants, avec ses propres moyens »
Non, précisément. Depuis les Najat, Peillon et consorts qui veulent « arracher l’enfant à sa famille », à son Histoire, à son patrimoine, à coups de déterminismes socialistes faux (et maintes fois démontés, inspirés par les maçonneries archaïques et pseudo-secrètes).
Depuis la méthode globale, l’école veut détruire la pudeur, l’identité, l’instruction et l’élévation de l’enfant. On voit le résultat: anti-dépresseurs, calmants, Valium, suicides, cancers. Certes, l’école n’est pas responsable de tout, mais elle a une part déterminante que la Franc-maçonnerie revendique régulièrement: « Il faut conditionner l’enfant dès le plus jeune âge et avancer l’âge de la prise en charge par l’Etat. Plus tôt l’enfant sera retiré à la famille, mieux ce sera. » L’Etat est dirigé par des gens qui « haïssent la famille » et qui s’arrangent pour qu’il y ait des problèmes, pour la discréditer et qu’elle soit un vivier dangereux, ce qui lui donne toutes les excuses et permet de dire: « l’Etat est le seul salut ».
Mais l’Etat n’est désormais qu’un relais. Il a un patron. Il suit les instructions données par la Commission européenne de l’Education, qui est seule patronne et décideuse en la matière, en lieu et place des enseignants qui n’ont plus rien à dire. L’Europe est aux mains de gens qui entendent faire de l’éducation sexuelle aux maternelles et leur présenter des intervenants présentant parfois des spectacles complètement dégénérés, tels ces « artistes » (subventionnés car personne ne paierait pour eux) qui s’amusaient à se fourrer le doigt dans le rectum devant des enfants.On nous témoigne de plus en plus fréquemment de ce genre de dérapages.
Vous comprendrez qu’il y a lieu de s’informer et de ne plus en rester à ces opinions datant d’il y a 40 ans: l’école détruit, il faut a priori l’éviter, sauf en de rares cas, comme lorsqu’elle est hors-contrat.
Nous vous recommandons ardemment d’aller voir ceci: les 10 raisons pour lesquelles votre enfant ne peut pas réussir à l’école.
Nous espérons avoir répondu à vos interrogations. Bien cordialement.