Découvrez les

​10 raisons pour ne plus mettre l’enfant à l’école

malgré toute votre bonne volonté et votre confiance en l'école, et

les 3 parades à votre disposition

qui vous permettent d'obtenir sa réussite.

C'est un pari que nous aimerions perdre. Mais si vous ne faites rien, nous le gagnerons à coup sûr. Votre enfant ne peut pas réussir; du moins, c'est très probable, même s'il en a les moyens intellectuels.

L'école vous raconte beaucoup de choses fausses et sa posture est contestable. Comme si elle était la patronne de votre enfant. Et la vôtre. Alors que c'est vous, le citoyen. C'est vous qui payez les fonctionnaires, c'est donc vous leur patron: ils sont censés vous servir.

Or, l'école décide à votre place et, qui plus est, vous induit en erreur.

Tout en faisant un travail des plus modestes...

Mais le plus ennuyeux, pour vous, est que le temps passé à l'école est, pour votre enfant, un temps gaspillé.

Car le temps scolaire est un temps où l'enfant perd ​la majeure partie de son temps. On peut le chiffrer. Nous l'avons chiffré.  Comme vous allez le découvrir dans le document, très peu de temps scolaire de l'enfant est réellement consacré à son ​instruction personnelle : 0.1% ! ​

Votre enfant ne peut pas réussir à l’école pour un certain nombre de raisons. Surtout s'il est doué, sensible, intelligent, doux.

​Car ça fonctionne ainsi et nous vous conjurons de ne pas considérer que l'école est comme elle était à votre époque.

En fait, plus un enfant a d'aptitudes, plus il y aura gaspillage. Plus votre enfant a de facultés, plus il risque d'échouer, comme vous allez le voir.

Êtes-vous comme la plupart des gens qui ne se posent pas de question ? qui se disent : "le bambin va suivre son chemin et tout ira pour le mieux, tout le monde fait comme ça, il n'y a pas de raison..." ?

Vous pensiez que l'école était faite pour l'aider

Bien sûr.

Comme nous, ​nous le pensions.

Franchement, vous n'imaginiez pas que l'école, c'était ça. Car il reçoit un enseignement très éloigné de ce que vous pensiez.

Dans la quasi-totalité des cas que nous observons, les problèmes sont nés à l'école. La "désocialisation" par exemple. 

Les parents se retrouvent un jour, en plus des soucis et du travail, face ​à un sérieux problème : leur enfant a un avenir compromis. Ses problèmes scolaires le destinent à "ramer" à la recherche d'un travail.

Sans qualification

Au bout de 14.256 heures passées dans leur vie à l'école, les enfants sont nécessairement sans qualification​ et commencent le parcours des demandeurs d'aide sociale. C'est un désastre reconnu universellement. Mais qui s'explique en chiffres, mécaniquement.

On ne réalise pas que le monde du travail a énormément évolué et que l'école n'y prépare plus. 50% des métiers n'existaient pas il y a 10 ans. Or, l'école n'a pas changé de postulats depuis 150 ans.

La concurrence entre jeunes est rude, le marché du travail et l'avenir vont demander d'autres qualités, de nouvelles dispositions et en fait, l'école ​n'y est pas prête. Parce que les postulats de départ sont discutables. Et c'est trop tard quand on s'en rend compte, l'enfant ne va pas refaire sa scolarité. Ce n'est pas grave, vous dites-vous; vous l'aimez quand même et tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Mais si ça avait pu être autrement ? Est-il trop tard ? Pouvez-vous y faire quelque chose ? Qu'est-ce qu'il faut faire ?

Voici trois parades que nous vous offrons.

Evitez de vous retrouver dans la situation où vous réalisez à haute voix : "Je ne savais pas que l'école c'était ça. Quelqu’un aurait pu nous dire !"

Avec le document, vous aurez 10 raisons de savoir et 3 solutions.

"Ce document gratuit m'intéresse, mais comment le recevoir ?"

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10 raisons pour lesquelles votre enfant va échouer à l'école

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  • ROBIN Philippe dit :

    Bonjour,
    Une simple petite question : Comment fait on pour obtenir un diplôme (permettant d’exercer un métier quel qu’il soit et prouvant nos capacités à l’exercer) sans l’école et l’enseignement ? Se confiner dans son cocon familiale ne donne pas beaucoup de possibilité à un enfant de s’épanouir et de découvrir le monde qui l’entour.
    Penser et avoir l’esprit critique sur la société et les informations qui nous parviennent de toute part aujourd’hui (médias écrit et audiovisuel, internet …) n’empêche pas de fréquenter l’école, et jusqu’à son plus haut niveau si possible.

    • cecileetremy dit :

      Bonjour Philippe, l’école à la maison conduit presque tous les enfants aux diplômes, avec de meilleurs résultats aux examens, vous pourrez le voir sur ce site.
      Cependant, un diplôme ne permet pas d’exercer un métier « quel qu’il soit » puisque, comme nous l’expliquons, le diplôme est devenu sans guère de valeur en moins de 20 ans. On attend tout autre chose dans les très grandes entreprises, qu’un diplôme. On peut en passer mais il faut autre chose et des tas de métiers ne requerront aucun diplôme puisque la moitié des métiers actuels n’existaient pas il y a 10 ans.
      Ensuite, pour reprendre vos termes, se confiner dans le cocon scolaire ne donne pas beaucoup de possibilité à un enfant de s’épanouir et de découvrir le monde qui l’entoure, car contrairement à l’école à la maison qui ouvre, qui se passe là où on le veut, qui voyage, l’école enferme l’enfant entre 4 murs. Penser et avoir l’esprit critique sur la société et les informations qui nous parviennent de toute part aujourd’hui (médias écrit et audiovisuel, internet …) exige de ne pas rester dans un établissement officiel, distillant une pensée officielle, se chargeant même d’élever l’enfant au détriment de la famille, en promouvant une pensée normative, en habituant l’enfant à penser comme le groupe, en lui refusant le temps de critiquer, de comparer, de remettre en cause des schémas, en ne lui fournissant que des manuels passés par le crible de la censure et des erreurs imposés par le ministère et plus encore en ne donnant pas l’autonomie à l’enfant mais en le prenant en charge, en le domestiquant. L’équilibre de l’être humain se situe dans des perspectives où il peut se déployer et non dans un cadre prédéfini.
      Vous verrez d’ici quelques heures, si vous êtes inscrit, une vidéo au sujet du BAC, s’il faut le passer, et ce que demandent aujourd’hui les entreprises.

    • Sebastien dit :

      Vous avez tout à fait raison!

      Et vous ne parlez pas des faussetés véhiculer dans ce site de mer..!
      J’arrive pas à croire qu’il convainc des gens avec des arguments aussi farfelus , lorsqu’ils affabulent en disant que l’école crée des bandits ou des criminels en disant que tous sont obliger d’aller à l’école donc l’école fabrique des criminels !!! Quelle ridicule affirmation , qu’ils analyse sur une carte des Amériques le endroit ou la criminalité est la haute , tout simplement la ou se trouve pauvreté et manque d’éducation !!!!!
      Et cela est totalement et intimement lié , le manque d’éducation mène à la pauvreté et la pauvreté à la criminalité .

      Quels bande d’inculte peu bien produire un tel site ,pour ne pas dire une telle pollution cérébrale ,

      • cecileetremy dit :

        Bravo, tout est faux là aussi dans votre commentaire.
        La pauvreté est bien davantage liée au passage par l’école: plus la population passe par l’école publique, plus haute est la criminalité et la pauvreté. C’est imparable.
        Dès 1860, on savait que les gens sortant de l’école privée avaient 10 fois moins de chance de devenir criminels que ceux sortant de l’école publique.
        C’est typique des raisonnements de gauche fallacieux et insultants pour les gens, on va le voir. La criminalité aux USA, qui dépend de nombreux facteurs que votre illettrisme ne vous permet pas d’explorer, se situe dans les endroits où il y a davantage d’écoles publiques, c’est avéré. Tous les petits Américains vont à l’école, du reste alors que vous avez l’air de sous-entendre qu’il y aurait des endroits où la criminalité irait de pair avec le fait de ne pas aller à l’école. Vous faites d’autres confusions de ce genre.
        Vous dites « manque d’éducation ». Mais c’est différent du manque d’instruction ! Il y a des gens instruits mal élevés, et des gens bien élevés analphabètes: mélange complet donc. Ne connaissant pas la question, vous confondez « éducation » et « instruction ».
        Alors, c’est sûr que quand on commet un crime, on n’est pas très bien éduqué, c’est ce qui s’appelle une lapalissade… Mais c’est sans rapport avec l’instruction. La criminalité en col blanc est le fait de gens lettrés.
        Tous les criminels sortent de l’école, voyez-vous: instruits mais mal, et éducation détruite par l’école. Il n’y a pas de criminels sortis de l’école à la maison à notre connaissance. Ni de très pauvres, ni de désocialisés: tout sort de l’école.
        Mais ensuite, vous dites comme un socialiste « Et cela est totalement et intimement lié , le manque d’éducation mène à la pauvreté et la pauvreté à la criminalité. » Cela a été démonté depuis plus de 120 ans. Seulement comme vous vous contentez d’a priori et de l’obscure opinion donnée par la télé, vous n’allez pas plus loin.
        Les Français de 1900 étaient pauvres, la criminalité faible. Les New-Yorkais sont la population parmi les plus riches du monde, ils commettent plus de crimes qu’ailleurs. Les Indiens étaient plus pauvres en 1950 qu’aujourd’hui, ils commettaient moins de crimes.
        De plus, c’est une propos scandaleux qui signifie en gros: « vous autres les chômeurs, si vous en êtes là, c’est que vous êtes mal instruits ». Propos ignoble et nauséabond qui nous rappellent les heures sombres du communisme.
        Où est l’inculte , disiez-vous ? Où est la pollution cérébrale ? Vous voici assuré d’être ce qu’on appelle un troll. Au revoir 🙂

        • Remy, je vous trouve bien patient de répondre à un commentaire aussi odieux. C’est à chacun en consultant ce blog de décider ce qu’il en retiendra mais il fourmille d‘idées intéressantes. Je peux vous assurer que je n’ai jamais rencontré, parmi les familles pratiquant l’instruction en famille de gens capables d’écrire un commentaire méprisant comme celui de Sébastien. Par contre j’en ai rencontré beaucoup à l’école. J’avoue être devenue moi-même, à cause de l’école, assez agressive, avant d’en guérir à l’âge adulte (pas grâce à l’école). Je vous laisse deviner, ce qui, à mon avis, permet aux enfants de se socialiser dans les meilleures conditions
          Instruit hors des murs de l’école, un enfant ne reste pas qu’en famille mais il rencontre une multitudes de gens tous très différents.
          Je vous souhaite, Sébastien, de guérir de votre agressivité et de votre propension à dénigrer ce que vous n’avez jamais vécu. L’instruction en famille sauve de nombreux enfants en danger à l’école. Je ne dis pas que tous les enfants sont mal à l’école mais certains le sont vraiment pour différentes raisons.
          Heureusement pour eux, l’école à la maison est possible ! Je peux l’affirmer avec conviction car je connais plusieurs de ces enfants: ils se sont épanouis, ouverts aux autres, ont repris goût aux apprentissages !

  • orain mélanie dit :

    bonjour
    ma principal préoccupation à ce jour et de savoir comment se Edéroule les cours?est ce que c’est nous qui faisons tout donc les exercices et devoirs? ou est ce vous qui fournissait les leçons, puis les exercices associer et enfin les devoirs?
    Aussi afin de préparer le brevet des collèges on sait qu’il faut qu’il cumul au moins 400 points durant le cycle 3, du coup comment cela se passe-t-il? comment l’académie voit l’évolution de l’enfant et les point cumulé pour celui -ci
    merci de votre réponse

    • cecileetremy dit :

      Bonjour Mélanie, nous vous indiquerons bien sûr comment se déroulent les cours, à commencer par le premier. Vous verrez que les choses sont faciles dès lors qu’on sait. Les leçons seront fournies par le cours directement. Pour les examens comme le Brevet, il suffit de s’inscrire en candidat libre, il n’y a aucune obligation complémentaire. L’académie voit ce qu’elle souhaite via le contrôle mais ça ne change pas le droit de la famille qui peut faire l’école à la maison au rythme qu’elle veut. Fouillez le menu pour ces diverses questions.

    • Ce site ne fournit pas les cours mais plutôt des conseils pour se lancer. Alors comment se passent les cours… tout dépend de la méthode que vous aurez choisie vous-même: il existe de nombreux cours par correspondance, pédagogies alternatives ou on peut aussi s’instruire en unschooling. C’est à vous de voir

      • Léonie de l'école à la maison dit :

        Bonjour Aline, c’est presque exact car si nous ne faisons pas de cours nous même que nous vous enverrions par la Poste, nous vous orientons vers des cours fiables et gratuits pour beaucoup, des manuels et des sites très au point. Nous fournissons donc des cours dans la perspectives de vous aider à faire les bons choix. Notre liste est le fruit d’un travail et d’une remontée d’informations régulière de nos parents accompagnés. Nous fournissons donc tout ce qu’il faut : cours et surtout manière de s’en servir. Car un bon cours n’est qu’à 40 % de la progression d’un élève, il faut en avoir bien conscience.

  • J’ai en effet l’impression que l’ecole desocialise certain enfant.
    En effet, mon fils de 4 ans ne réclame que la télé depuis qu’il est à l’école ( 2 mois) alors qu’avant il passait son temps dehors, à bricoler, jardiner ou à jouer à la maison. Il me dit qu’il veut arrêter l’école, que c’est trop long et il rêve que sa maîtresse le découpe en morceaux. L’année dernière nous l’avons déscolarisé avant les vacances de noël car il faisait des crises violentes à chaque retour d’école.
    On me dit que c’est de ma faute car pour moi, l’école était difficile à supporter moralement. Personne ne s’en rendait compte car j’avais d’excellent résultats , mais aujourd’hui j’ai gardé cette angoisse de passer du temps avec un groupe. Est-ce liée à l’école? Ou juste un tempérament solitaire ?

    • cecileetremy dit :

      C’est assez caractéristique de l’effet « école » sur l’enfant: prise d’habitude grégaires telles que la télé, sans doute l’un des pires fléaux. On est toujours étonné que les enseignants nous disent ensuite que la télé casse leurs apprentissages…
      Oser vous dire que c’est votre faute est à la fois impertinent et ridicule.
      Les symptômes de votre fils sont quand même assez clairs.

    • Et au lieu de déscolariser votre enfant pour pas qu’il devienne un mouton, vous ne voulez pas simplement lui interdire la télé si ca vous tient tant à coeur ? pourquoi etre aussi extreme ?

      • cecileetremy dit :

        Parce que l’école est la principale fabrique du mouton, plus encore que la télé ?

      • Qu’y a t-il d’extrême à instruire son enfant soi-même ? C’est même l’histoire de l’humanité de transmettre des connaissances à ses enfants. L’école étant une invention plutôt récente dans l’histoire de l’humanité
        Je vous rassure, les enfants instruits en famille grandissent et s’épanouissent.

  • Françoise Beauget dit :

    Bonjour ma petite fille de 10 ans et demi, en CM2 avec des notes allant de 19 à 20, fait des crises d’angoisse la veille d’aller en classe. Elle réclame l’école à la maison. Elle se plaint de s’ennuyer à l’école et n’a pas d’amies. Moi, la mamy, je suis pour, mais ma fille, pense que cela va désocialiser sa fille. Cette petite est d’une tristesse immense, et d’une timidité incroyable. Hier soir nous avons du « négocier » plus d’une heure pour qu’elle accepte d’aller à l’école ce matin. Comment aider cette enfant ? Merci de nous guider

    • cecileetremy dit :

      Bonjour Françoise, cette idée que l’école à la maison désocialise est la tarte à la crème sur le sujet. Tapez « désocialise » dans la fenêtre de recherche, et vous apprendrez notamment que 100% des gens désocialisés sortent de… l’école. Et pour cause !
      Ne négociez pas avec cette enfant pour l’envoyer à l’école, elle y souffre ! Vous refuseriez catégoriquement d’y aller, à sa place, car l’enfant encaisse bien davantage. N’allez pas au traumatisme. Fouillez le menuy du site, vous aurez aussi réponse à cela. Cette « négociation » a quelque chose de la manipulation, hélas. Un enfant qui souffre doit être secouru. regardez « combien de temps attendre ».
      Voyez aussi: https://l-ecole-a-la-maison.com/ecole-a-la-maison-dois-je-me-lancer/
      Voyez également dans le menu le chemin que nous avons fait : « Moi, faire l’école à la maison ? »

    • Jean Claude Pladys dit :

      Bonjour,
      Comment l’aider ? En suivant ses demandes tout simplement. Pourquoi imposer ses choix à un enfant ? Métier ? Tu feras avocat comme ton père, sport ? Tu feras de la danse comme ta mère… Ce n’est pas en imposant ses choix que l’on éduque un enfant avec SA liberté de penser.
      J’ai 7 enfants et les 6 premiers ont suivi leur instruction à l’école publique, travail 70 à 75 heures par semaine et c’était dans la « logique » des choses. La petite dernière qui a 4 ans 1/2 fait l’école à la maison et elle évolue beaucoup plus vite et sans stress. Je me souviens de mes années scolaires où comme votre petite fille je ne voulais pas aller à l’école, je ne me sentais pas à ma place et j’ai encore en souvenir mon mal être en CM2, j’avais l’impression d’être un adulte dans le corps d’un enfant sans pouvoir m’épanouir obligé de suivre  » le rang  »
      Dans sa vie d’adulte on a besoin de respect, celui de sa famille, des anciens, de sa hiérarchie… A l’école on apprend la discipline ce qui est différent, on enlève la liberté de penser pour apprendre à obéir. On forme des petits soldat, des citoyens moutons ou des adultes libres ?
      Nous ne sommes pas propriétaires de nos enfants, nous sommes là pour les aider à avancer dans la vie en toute sécurité.

      • cecileetremy dit :

        C’est vrai et cependant, les choix de l’enfant changeront en fonction de ce qu’il aura vécu, ce qu’il veut n’est pas ce qu’il voudra. D’où l’importance de ce qu’on lui offre, la manière dont on le sollicite.

      • Bonjour Monsieur Pladys, Professeur indépendant depuis 2012, je recherche des familles faisant la scolarisation à domicile pour leurs enfants. En particulier des familles qui souhaitent échanger des méthodes et former un groupe d’enseignement. Merci de prendre contact si cela vous intéresse.
        Bien à vous,
        Jean, enseignant.
        06 66 37 14 29

  • Pour nous, un bon métier pour nos enfants voudra dire qu’ils aimeront ce qu’ils feront, qu’ils en seront enrichis à bien des égards et responsables de leurs vie ! Ça ne passera par des diplômes et études que si necessaire, ce sera le moyen et non le but. C’est ce qui a complètement découragé ma fille de 22 ans. A l’ecole de 6 à 17ans pour ce but : le bac ! Et ensuite, plus aucune motivation, pas la moindre idée ni aspiration. 3 mois de fac pour arriver à un total ras le bol et tout plaquer ! Elle a tout donné pour ce foutu bac… La suite a été plus rejouissante. Petits boulots, juste de quoi s assurer de beaux voyages. 1 mois au Sri Lanka, 2 mois au maroc, balade un peu partout en france, une maison-camion et en avant ! Comme je regrette de l’avoir mise à l’école !

    • cecileetremy dit :

      C’est là le terrible drame: ils pensent, parce qu’on leur fait croire, que ce sésame est indispensable. Or, c’est durant ce temps qu’ils sont laminés. De même qu’on dit que le virus est le problème et c’est durant le confinement qu’on détruit les ressources.
      Sachons-le, et préparons-les pour autre chose.

  • Bonjour, Merci pour ces informations que vous partagez. Je pense à entrer dans « la vie avec l’instruction de ma fille en famille ».
    Mais voilà ce qui me retiens et qui me fait peur. Je suis auto-entrepreneur, je travaille à la maison, et la papa travaille en entreprise avec des horaires très décalés et ne vis pas avec nous. Mais il reste très proche au plan de notre famille et bien évidemment investit avec moi dans le bien-être et l’éducation de notre fille..
    J’ai besoin de beaucoup de temps pour mon travail et aussi pour moi (calme, silence, repos …). J’ai le sentiment qu’avoir ma fille à la maison H24 va m’épuiser et m’empêcher de travailler dans mon activité, et aussi de me ressourcer.
    Connaissez vous ces problématiques. Proposez-vous des solutions; Pour être claire, j’ai besoin d’être seule. Et pour l’instant, ma fille de 6 ans et demi nous sollicite beaucoup. Nous disons qu’elle nous épuise même. Mais par contre elle a un merveilleux potentiel pour apprendre, elle est curieuse, intelligente, inventive. Elle adooore travailler, s’exercer, apprendre, découvrir. Et J’appréhende le moment où l’école va casser cela.
    Alors, je prépare cette sortie du système mais, je ne parviens pas à passer le cap.
    Merci pour le partage que vous voudrez bien offrir après mon propos.

    • hausseray dit :

      Elle a un merveilleux potentiel dites vous,alors comme disait Maria Montessori,un enfant n ‘est pas un vase que l’on remplie mais une source qui jaillit,profitez de ces moments magiques et partager avec votre puce tout le temps nécessaire à son épanouissementttttttttttttttt quel bonheur….

    • Elle vous épuise probablement tant que vous ne lui avez pas consacré toute votre attention. Si mon enfant me voit occupée, il peut tenter d’attirer mon attention pendant longtemps. Mais si je commence par lui accorder un moment d’attention exclusive, sans être distraite par d’autres obligations ou par mon téléphone, ensuite il est capable de jouer seul un bon moment. Quand on fait l’école à la maison on accorde forcément beaucoup d’attention à notre enfant et ensuite on peut aussi lui dire “maintenant j’ai besoin d’un moment seule”.

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