Nous nous sommes posé cette question pendant 25 ans : sommes-nous bien ici ? Ce pays nous offre-t-il de bonnes conditions de vie ? Nous offre-t-il des conditions de vie ne serait-ce qu'acceptables ? Eh ! bien ici il faut l'avouer: nous avons répondu "non" il y a longtemps. Alors que les choses étaient bien meilleures qu'elles ne le sont...
- Voir aussi Partir, d'accord, mais comment vais-je gagner de l'argent là-bas (la page des trucs et astuces qui marchent sur toute la Terre)
On y pense quand existe une menace de "placement". Ci-dessous vous verrez les mesures à prendre si votre enfant est déjà en ligne de mire des services sociaux
Il y a trois décennies, nous n’aurions pas incité les parents à fuir la France. Les temps ont changés. Trop de lois inadmissibles ont été votées ces dernières années par les gouvernements successifs. La gabegie règne. Les talents sont gaspillés, le temps aussi. Il n'y a pas d'avenir. La Justice est morte, l'Education est un désastre, les revenus sociaux sont plus bas que des bas salaires du tiers-monde, la sécurité est inexistante (on compte environ 2,3 meurtres par jour soit 825 homicides en 2017 en France), on entre vivant à l'hôpital et on en sort les pieds devant (9000 cas par an). Et surtout, vous n'avez rien à y faire, plus rien. Vous n'avez pas d'avenir.
Vous et votre enfant, êtes-vous bien ici ?
Vous savez déjà que les réformes du catastrophique Ministère de l’éducation nationale n'amélioreront pas les résultats de l'école. Elles n'ont eu de cesse d'empirer les choses. Aucun ministre de l'éducation en France n'a rempli la mission pour laquelle il est censé avoir été nommé. Savoir: donner un niveau scolaire ne serait-ce que minimal aux élèves (savoir lire, écrire et compter correctement).
Outre cet aspect des choses, le fait de ne pas trouver de travail, de subir l'insécurité, de vivre dans une ambiance exécrable, d'affronter un coût de la vie effrayant, d'avoir peur de la Justice ou du contrôle permanent de la police, des amendes ou des radars, de perdre son temps dans les administrations ou face à des gens de mauvaise foi qui s'échinent à démolir votre travail, tout cela et bien d'autres griefs achèvent de vous chasser loin de cet ex-paradis que la France a pu être au temps de nos ancêtres et de la civilisation royale chrétienne.
Au-delà des problèmes scolaires
Au-delà des orientations politiques aberrantes voire choquantes en matière d'enseignement, on doit aussi considérer qu'un très grand nombre de libertés fondamentales régressent à pleine vitesse. Les Français perdent, mois après mois, loi après loi, leur liberté de penser et leur liberté d'agir.
Tout le monde le sait et nul ne l'ignore, comme on pourrait le faire dire à La Palisse.
Pris par le quotidien et le souci que vous avez de préserver votre famille d'un trop grand nombre de visions pessimistes, et parce que vous savez que ruminer, c'est mauvais pour tout le monde, vous ne vous êtes peut-être pas encore rendu pleinement compte de l'installation effective d'une autorité abusive et répressive en France, en un mot: une dictature.
Il ne s'agit pas d'en débattre trois cents ans. Il suffit de savoir que la France, en fait la République française, est devenue insidieusement une dictature. Et nous pouvons le dire d'une manière parfaitement objective, en regardant de près ce que sont les critères usuellement retenus.
Certains, peu au fait du sujet en réalité, doutent vite de l'objectivité de cette appellation. Qu’ils se détrompent. Nous sommes bien placés pour savoir quels sont les droits que se sont arrogés les successifs chefs de gouvernements. Bien placés pour voir que ceux-ci se sont étendus de manière scandaleuse. Nous ne vous ferons pas l'affront de vous rappeler les amnisties à répétition qui ont couvert des tas de trafics, blanchis des ministres escrocs, des contaminations du sang, des assassinats politiques. Tout cela, vous le savez. Vous savez aussi que la loi électorale est manipulée régulièrement pour empêcher de nouveaux partis d'être élus. Scandale complet: le peuple n'est plus du tout souverain.
Depuis la crise des Gilets Jaunes, on voit parfaitement que la police politique peut mutiler des innocents (y compris des jeunes femmes), tabasser des vieillards, incarcérer des gens par centaines et sans justice, violer les lois à la volée et même, désormais, tuer des gens en pleine rue.
Critères objectifs: prenons ceux de l'accusée
Il suffit d'en juger d'après les critères retenus par la république elle-même: indépendance de la Justice, élections libres, rien que ces deux points foulés aux pieds suffisent pour la disqualification. La Justice ayant passé sous contrôle de l'exécutif, la messe est dite: légalement, la France est une dictature. Ajoutez à cela qu'on laisse les gens mourir de soif dans les hôpitaux en exécution de jugement, et puis l'avortement des bébés nés qui arrive bientôt.
Mais nous souhaitons vous alerter sur quelques-unes des lois anti-démocratiques qui ont été votées par les gouvernements successifs depuis l'inique Mitterrand et qui visent votre enfant.
Ce qui était bien ici, en France, est devenu médiocre
Parmi une avalanche de choses plus saugrenues les unes que les autres, 11 vaccins pédiatriques, jugés dangereux par la communauté scientifique, sont maintenant obligatoires pour les enfants à partir de la rentrée 2019. Les parents n'ont plus le droit de faire des choix de santé en matière de vaccination pour leurs enfants ; ils sont considérés par l’État comme irresponsables en la matière. Ceci est bien évidement totalement incompatible avec la Déclaration des Droits de l'Homme de 1948. Et donc illégitime.
Des votes honteux ont entériné des lois directement contre la liberté d'opinion et d'expression des Français. Cela fait des années que certains propos, certaines pensées tombent sous le coup d'une condamnation pénale, sans compter les nombreux débats impossibles puisque devenus illégaux (Loi Gayssot-Rocard, Pleven etc.). Ce qui est pure folie ! Aujourd'hui, un blogueur peut faire de la prison pendant que les violeurs sortent des tribunaux libres comme l'air (il y a 200 viols chaque jour en France). Ce "deux poids, deux mesures" est là aussi une atteinte bien répertoriée par les statisticiens et les universitaires, qui fait de ce pays une dictature.
Les infractions répétées aux lois par les juges sont trop nombreuses aujourd'hui pour être dénombrées.
La Justice étant dorénavant aux ordres du pouvoir exécutif depuis décembre 2016, on peut historiquement dire que la Justice française n'existe plus.
Les personnels politiques condamnés par cette Justice pourtant très permissive avec eux, sont majorité dans les gouvernements successifs depuis plus de 10 ans ! Les appartenances aux lobbies, spécialement celui qui gouverne les autres et dont il est interdit de parler, sont aussi majoritaires. Enfin, vous ne trouvez aucun patriote dans les gouvernements depuis 40 ans.
Condamnée au niveau international
Cumul de condamnations du gouvernement français par la Cour européenne des droits de l'homme pour viols établis et répétés de la dite charte. Selon un journaliste de France Info, Antoine Krempf :
"L'an dernier, l’État français a été épinglé à 17 reprises pour violation d'au moins l'un des articles de la Convention européenne des droits de l'Homme. C'est tout de même mieux que la Russie, la Turquie et la Roumanie", essaie-t-il de nous rassurer.
Pardon ? Dix-sept condamnations en un an ! Ce qui veut dire des centaines de cas qui ne sont pas arrivés au sommet, escamotés.
Le journaliste poursuit:
"en 2014, c'est surtout pour "atteinte au droit au respect de la vie privée et familiale" que l’État français a été le plus épinglé : six violations constatées par les juges de Strasbourg."
6 ? On plaisante ou on dissimule, à Strasbourg ? Ces six cas ne sont que l'arbre qui cache la forêt. 90% des abus ne sont pas poursuivis par les victimes. Qui a les moyens de payer un bon avocat spécialiste des affaires familiales appelé à plaider devant la cour Européenne ?
Placements: la dérive
Et enfin, au summum des traîtrises officielles envers les familles, nous vous mettons en garde contre les placements abusifs, de plus en plus nombreux, d'enfants en famille d’accueil et ce sans motifs valables.
- Voir aussi Placement abusif
Question à ceux pour qui ces faits ne seraient pas encore assez éclairants : connaissez-vous "l'indice de démocratie" ?
Vous trouverez ici la méthode de calcul de cet indice tout à fait sérieux et révélateur. Que nous dit-il, cet indice ? Que les dérives politiques très graves que nous venons de citer, et bien d'autres encore dont nous parlons tout aussi régulièrement sur les réseaux sociaux, placent aujourd'hui la France parmi les "démocratie imparfaites". Il est donc établi par bien d'autres que nous que la France n'est plus un pays ou règne la liberté, la fraternité et l'égalité.
Pour toutes ces raisons, nous vous invitons très sérieusement à quitter ce territoire devenu hostile à ses propres citoyens, au moins jusqu'au redressement notoire de sa politique.
Parmi les croyances françaises, il y a celle-ci : "Si c'est comme ça ici, qu'est ce que ça doit être ailleurs..." et "nous sommes, quand même, bien ici."
Erreur.
Un ex-pays de cocagne
La France n'a plus, depuis longtemps, la palme des pays où il fait bon vivre avec des enfants. Vous serez heureux de découvrir qu'il existe d'autres pays de cocagne.
La recherche à elle seule d'une terre de repli vous profitera d'une manière insoupçonnée : géographie, politique, climat, santé, sécurité, emploi, coût de la vie... Ayez les bons critères de recherche d'un bon pays d'accueil. C'est une enquête passionnante et très enrichissante.
L'école à la maison vous permet de vous émanciper quelques temps de cette fausse république qui n'est plus digne de vous.
Autre point: à l'étranger, l'enseignement donné à l'enfant par le parent prend encore plus de sens. Il prend aussi, du fait d'une proximité plus grande, plus de valeur.
C'est "de loin" que vous pourrez le mieux faire aimer votre pays à vos enfants.
Par ailleurs, le pays quitté fait toujours naître une certaine nostalgie. Cette nostalgie sera une excellente motivation. Apaisé par d’intéressantes recherches familiales sur ce qu'a été la France et ce qu'elle devrait être encore aujourd'hui, l'éloignement sera bénéfique à l'image que l'enfant à de son pays et donc à l'image qu'il a de lui-même. Il ne se sentira pas honteux comme on peut l'être en restant.
Des destinations de rêve à la pelle
Il y a des tas d'endroits tranquilles, libres, intéressants, pas chers dans le monde. Nous pouvons en parler si vous le voulez mais peu de recherche sur le net vous livrent beaucoup de possibilités (attention tout de même car les forums racontent... n'importe quoi, le plus souvent. Si vous saviez ce qu'on a pu lire sur l'(Asie du sud-est ou l'Amérique !)
Oui, mais mon enfant est suivi par les services sociaux
En ce cas, vous allez prendre les choses en main. Ce que nous vous disons ici va sans doute vous heurter mais nous le disons pour vous aider, en vous proposant des solutions.
Nous ne nous situons pas dans le registre affectif et sentimental, ça ne sert plus à rien maintenant, les fonctionnaires ont des signaux rouges qui leur font fermer les yeux sur toute objection personnelle. C'est une machine et on ne pleure pas devant une machine.
Retirez donc tout sentimentalité de votre tactique, il va falloir être nette et implacable, objective et sans à peu près.
Tout d'abord, cela arrive à cause d'une série d'erreurs que vous avez commises, l'Etat ou l'administration en profite. Ne les commettez plus. Ne leur parlez plus de votre trouble, de votre burn-out, de votre HP ou je ne sais-quoi. Oubliez. Faites du propre, soyez aussi peu distincte des autres que possible. Devenez un mur gris, pas d'éclat, pas de sourires exagérés, soyez comme les fonctionnaires que vous voyez, adaptez-vous à leur manière d'être.
Il s'agit d'éviter cette procédure fatale. Dans un premier temps, rassurez-les en leur disant que vous reconnaissez que vous avez fauté. Et de plus, ajoutez-vous, vous faites ce qu'il faut en ce moment car beaucoup de choses ont changé dans votre vie.
Vous êtes consciente de ce que blabla... (tout le topo qu'il y a dans le jugement, si vous l'avez, sinon dans les rapports ou les conversations).
Il faut lever l'équivoque sur les 3 points principaux qui posent problème. 3, ça suffira. Plus, ce serait suspect. Gardez un problème au chaud. "Il est vrai que je n'ai toujours pas racheté de nouveau T-shirt à mon fils, j'attends les soldes" ou "Je vais chez Emmaüs samedi prochain."
Si ça ne suffit pas, passez à l'offensive, récupérer Stop-Signal (bouton ci-dessous et dites au juge ou aux fonctionnaires ce qui se trouve dedans).
Et s'ils me l'ont déjà enlevé ?
Texte déplacé dans le coaching
Comment je fais ?
Déplacé dans le coaching
Le jour de votre exfiltration
Déplacé dans le coaching
Faut-il l'autorisation du père ?
Déplacé dans le coaching
Vont-ils me stopper à la frontière ?
Déplacé dans le coaching
Et si ça recommence là-bas?
Déplacé dans le coaching
Et si je tentais la voie légale, avec un avocat ?
Déplacé dans le coaching
Je reviendrai quand ?
Déplacé dans le coaching
Et les examens, on les passe comment ?
Vous hésitez peut-être parce que vous estimez que votre enfant doit passer le Bac ?
A l'étranger, vous pouvez passer tous les diplômes de votre pays, au consulat. C'est simple et gratuit, à part ici ou là de menus frais d'inscription. Cela dit, le Bac est-il si important que ça ?
Voir aussi
Mais n'est-ce pas fuir alors qu'il faudrait rester et se battre, redresser la situation ?
Question de papa fréquente. On voit cela sur la page de vente du coaching.
Que faire donc ?
Rapidement, 3 questions se posent à vous :
1/ Quel pays pays choisir ?
2/ Quand est-il le plus approprié de partir ?
3/ Que faire sur place ?
Le mieux est de faire un coaching.
"
Je peux donner mon témoignage si besoin ... Voilà nous sommes partis avec nos 4 valises et nos 2 enfants il y a maintenant 3 ans sur l'île Maurice et à l’aventure ! ( ouai y a pire comme destination) que le temps passe vite.
Et c’est à ce moment là que j’ai commencé à vous suivre car l’école AEFE ici n’était clairement pas dans nos moyens ( 270€ par mois et 1000€ l’inscription par enfant ). Et pas encore de permis de résidence, donc allez hop école à la maison avec mon fiston de 6 ans (début CP, la pressionnn !) et ma fille de 3 ans et demi ( petite section).
Ce ne fut pas facile à mettre en place avec les 2 en même temps. Mais grâce à vous , j ai pu relâcher la pression, lâcher prise. En me convaincant que s’ils n’allaient pas au bon rythme, ce n’était pas bien grave.
Boule au ventre
J’avoue j’avais la boule au ventre chaque matin car je ne savais pas si ce que je faisais était bien, suffisant, structuré, ludique. Tant de doutes et de questions; je n’ai même pas pris de CPC (mmmhh pourquoi faire simple ! Lol) , mais j’étais clairement dépendante de Pinterest qui est une mine d’or ! ( exercices ludiques, blog d instituteurs et leur fiche à imprimer, le tooooop !, pour ma fille en maternelle bcq de montessori et les ex alpha).
Je les ai inscrits à l’école aefe en janvier, c’est un sacré budget mais je ne me sentais plus trop de le faire et maintenant.
Le travail ne me le permettait plus et je n’ai jamais vraiment réussi à me libérer totalement de la pression et ce sentiment de culpabilité de les « couper » de ces moments partagés à l école avec les copains.
A 14h30 tout le monde a fini de travailler et hop activités, copains, plage.
Je ne regrette absolument rien si ce n’est évidemment ma famille qui me manque mais on s’y habitue. Le cerveau est bien fait. Mon fils a du passer des tests pour y entrer. Et à réussi son passage en ce2 avec un très bon niveau.
Il lit beaucoup donc orthographe au top, j’avoue que j’étais fière de ce que l’on avait réalisé ensemble. Je suis très fière de lui aussi ! Quant à ma fille pour la maternelle , impeccable et ça lui a fait du bien de réintégrer une classe. Elle s’y sent mieux avec toute ses copines. Voilà à peu près, je pourrai en dire tellement plus mais votre email m’a totalement « parlé » donc je me suis permise de vous raconter notre histoire ! Bonne journée Rémy et Cécile