ATTENTION: sur ce site, tout reste vrai pour ce qui concerne l'école à la maison , mais pas pour l'Instruction en famille. Sur ce sujet, les dispositions légales ont changé. L'Etat tente d'abolir l'école à la maison et l'instruction en famille en imposant une demande d'autorisation (d'ailleurs illégale). En fait, il n'y est parvenu que partiellement.
Il y a un régime d'autorisation pour l'IEF, pas pour l'école à la maison, et nous vous expliquons pourquoi.
Cette nuance étant cruciale, nous n'avons pas modifié tout le site. Ainsi, quand vous lisez sur notre site "vous n'avez pas besoin de demander l'autorisation", ce n'est vrai que pour l'école à la maison. Pour l'Instruction en Famille, il faut une autorisation. Si c'est cette question seulement qui vous intéresse, allez ici:
Vous songez à aller voir un psy pour votre enfant ? Peut-être avez-vous vu l'infirmière scolaire ou le médecin scolaire ? Vous pensez sérieusement voir un psychologue pour enfant ?
“Les psychologues reçoivent davantage de jeunes, soit les trois quarts des moins de 20 ans qui consultent en santé mentale (229.000 jeunes). Un sur cinq débute les consultations dès l’âge de la maternelle. À côté de la détresse psychologique, on retrouve souvent un autre trouble de santé non psychique (maladie, hospitalisation, consultation spécialisée). Les consultations pour difficultés scolaires sont aussi assez fréquentes.” (source)
Effrayant.
Alors, la première chose que vous devez savoir, c'est qu'on ne va JAMAIS voir un psychologue pour un enfant.
Pas plus qu'un coach. Et c'est un coach qui vous le dit.
Pourquoi ? Pour toutes les raisons exposées ci-dessous.
Mais si vous n'avez pas le temps de lire, retenez: on ne va jamais voir ces gens avant l'âge de 17 ans. C'est une règle de base.
Premier point: pas d'enfant chez les psys
Les coachs respectent d'ailleurs cette règle déontologique (du moins pour l'instant). Les psychologues pour enfant ne devraient tout simplement pas avoir le droit d'exercer leur métier. C'est une atteinte grave à l'individu.
Car le psy touche à des ressorts dont l'enfant n'a pas conscience. Il ne le niera pas, il travaille sur l'inconscient.
Or, l'enfant et l'adolescent ne dispose pas de leur libre-arbitre intégral et ne peuvent donc approuver en pleine conscience qu'on fouille leur... inconscience.
Ce qui est une infraction à la règle de base, puisque les psys ne peuvent consulter que des personnes consentantes. Il est vrai que notre époque confuse laisse faire n'importe quoi. Mais ne vous y trompez pas: cela s'apparente à du viol psychologique.
Si vous en doutez, voyez ce que les psys écrivent eux-mêmes dans ce document référent, qui se veut le plus équilibré du monde, sur les psys en milieu scolaire: aveux, aveux de leurs propres doutes et en même temps aveu de leur intrusion :
On nous dira: il y a toujours eu des psychologues en milieu éducatif. Bien sûr ! pour qu'ils conseillent les éducateurs. Et non les enfants. Cette glissade n'a semble-t-il choqué personne.
Premier point.
Nous ne disons pas que tous les psys sont mauvais ou incompétents. Il y en a d'excellents, évidemment, mais ils ne sont pas censés travailler sur votre enfant.
Si ce psy est bon
Le psy, s'il est bon, ne fera qu'une conversation avec l'enfant, il ne fera pas son métier. Il agira comme un ami et c'est tout. N'en avez-vous pas d'autre ? Un oncle, un ami, un adulte de bonne moralité qui pourrait parler avec lui ? Restaurez les liens avec vos proches plutôt que de démarcher des "spécialistes."
Si ce psy est mauvais
Vous risquez de tomber sur un véritable malade mental, et, croyez-nous, ils sont majorité dans le métier. Nous en parlerons ci-dessous.
Mais restons-en pour l'instant avec l'hypothèse que ce psy est fréquentable.
Première conclusion nécessaire
Un enfant ne peut au mieux n'avoir expressément besoin d'un psy que s'il n'a pas de parent. De parent un minimum capable, ou formé à lui parler. Effectivement, le parent totalement irresponsable est facilement remplaçable par un psy. Mais sinon, le psy est à éviter.
Deuxième point: vous ferez aussi bien
D'autant plus qu'avec ce site, vous avez désormais tout ce qu'il faut pour être compétent.
Troisième point: le temps que le psy consacre à l'enfant
Ce psy verra l'enfant 30mn par semaine. Soit 1635mn par an, soit environ un jour. Un jour avec lui tandis que vous pouvez passer avec lui des semaines... Et à quel coût ? Quel déplacement ? Pour quel temps perdu ?
Quatrième point: aucune garantie de la part des psys
L'enfant aura-t-il guéri à la fin de l'année ? Vous n'en avez aucune certitude. Le psy ne s'engage à rien; commode ! Pas de garantie. Vous comprenez pourquoi tant de gens s'orientent vers ce métier.
Le pire, c'est que le psy n'en en fait aucun intérêt matériel à ce que l'enfant soit guéri rapidement, vous voyez ainsi des patients qui sont suivis durant des années...
Cinquième point: la face cachée du psychologue pour enfant
Il y a pis encore. La majorité des gens ne se doutent pas de ce qu'ils risquent en poussant la porte d'un psychologue, d'un psychiatre ou d'un simple médecin parfois (n'oublions pas que les psys sont des étudiants en médecine qui ont échoué).
Peut-être vous a-t-on dit que votre enfant avait un "trouble de l'attention" ? Mais vous savez maintenant que vous avez un "Disruptive mood dysregulation disorder" (presque tout vient des USA), autrement dit un "Trouble perturbateur de la dérégulation de l'humeur", ce qui ne veut rien dire mais fait quand même très pro. Oui, c'est une nouveauté de ces gens qui n'hésitent pas à inventer des symptômes pour tirer de gros bénéfices
de croyances héritées du monde inversé du freudisme, que Freud lui-même n'aurait même pas avalisées. Les psys sont persuadés que les familles sont aujourd'hui "plus libres", "moins rigides" et "ont brisé les tabous". Ce fatras de marchand de rêve montre une ignorance profonde. Car c'est le contraire qui est vrai: on est bien moins libre et plus rigide qu'il n'y a que 40 ans. Et les tabous sont beaucoup plus nombreux. Les libertés individuelles, en chute libre, en sont un excellent témoin.
de "nouvelles vérités": "les familles sont plus dans l'optique de...", "aujourd'hui on peut voir un psy sans baisser la tête"; "la seule différence entre les coachs et les psys, c'est que blabla...". Le besoin d'être actuel trahit un dépassement total par les réalités incomprises.
de mots qui font savants mais qui relèvent d'une imposture générale. Car le grand truc, c'est d'inventer des mots et des maux: troubles lambdas, désordre X, normalité transformée en maladie: spécialité du métier. Dès lors qu'on explique à un parent que son enfant a un "trouble de la dépendance cognitive", le parent qui n'y comprend pas grand chose est épaté. Il y croit. De même que votre garagiste vous affirme avec aplomb que votre carburateur a des coussinets de bielle fendus, vous y croyez (même si ça n'existe pas). Eh ! oui, les psys, c'est d'abord et avant tout des mots. Et les mots peuvent mentir. Trop de simplicité tue le métier, trop de choses naturelles flingue le business. D'où ce jargon affligeant, pseudo-écoute brandie comme religion.
de nouveaux tabous. Tabou de la santé naturelle, tabou du travail, tabou de l'autorité, tabou bien sûr de la discipline, tabou du matérialisme et de la "science expliquant tout"; tabou du surnaturel; tabou de l'organisation et de l'action décidée... Le monde des psys est ultra-bourgeois et installé, c'est un fait. Il est très facile de faire sursauter et choquer la grande majorité de ces psys, affalés dans les convenances les plus cossues.
Quelle est leur référence ?
Les psys s'appuient sur un ouvrage qui est leur Bible: le DSM. Or, comme vous le verrez sur le lien, ce livre se base sur des postulats totalement faux, réfutés, dangereux. Si le monde psy a échoué à ce point, ce n'est pas pour rien. Vous avez des gens suivis par un psy depuis 5 ans, c'est une preuve évidente de la supercherie. Une guérison psychologique ne doit pas prendre plus que 6 mois.
Par conséquent, vous allez perdre de l'argent et du temps. Evitez-vous cet embarras. La nature a de quoi vous guérir.
Sixième point: vous risquez des ennuis avec la Justice
Cela semble aberrant mais c'est un fait qui s'installe: les psys ont tendance à vous signaler.
Allez voir ce que nous en disons et soyez extrêmement vigilants: de très nombreuses familles sont poursuivies par l'Etat après le passage chez l'un de ces spécialistes, qui les ont dénoncés. Pour des critères totalement subjectifs. Parfois (souvent) parce que ces familles contestaient les diagnostics (souvent farfelus) qui sont posés.
Sachez que vous pouvez dénoncer un psy: si vous refusez qu'il soit présent en séance, il doit sortir.
Sixième point : refusez les médicaments
Enfin, sixième point, refusez catégoriquement les médicaments prescrits par ces gens.
Ainsi qu'il est dit sur la page citée plus haut au sujet du TDAH:
Tous les médicaments psychiatriques fonctionnent en « désactivant » le cerveau. Ce message est à faire passer partout autour de vous parce qu’il explique le fonctionnement de base de tous les médicaments psychiatriques, y compris les anti-dépresseurs, les anti-psychotiques, les anxiolytiques et même les somnifères.
Ce fonctionnement de base est très simple.
Tout le monde peut le comprendre même sans avoir fait médecine. Mais une fois qu’on le sait, on a compris une chose très importante, qui permet d’éviter de tragiques erreurs, et de lourdes conséquences.
Ce fonctionnement, c’est tout simplement que tous les médicaments psychiatriques désactivent, puis détruisent, des fonctions essentielles du cerveau.
Aucun de ces médicaments ne traite ni ne guérit une maladie. Ils sont en ce sens complètement différents des autres médicaments utilisés par la médecine" (extrait issu de cet article).
On note au passage que trois mois de tranquillisants (Valium et autres) augment de 51% les (mal)chances d'avoir Alzheimer, 6 mois de prescriptions augmentent ces malchances de 80% ! (source ici)
Comment reconnaître un bon psychologue pour enfant ?
C'est assez simple. Demandez-lui ce qu'il pense du TDAH ou du DMDD. S'il y croit et n'émet aucune réserve, c'est l'un de ces escrocs dangereux.
Et puis, voyez cette vidéo, allez à la minute 44'42" :
https://youtu.be/d6ilOyb-M-k
Vérifiez également que votre psy soit officiellement autorisé:
IMPORTANT : Si vous avez fait l'objet d'une expertise psychologique (ou d'une enquête sociale menée par une assistante sociale ou un psychologue), vérifiez IMPERATIVEMENT si ce psychologue (ou cette assistante sociale) est inscrit sur le FICHIER ADELI. Pour le savoir, appelez l'Agence Régionale de Santé (anciennement DDASS) de votre département référencée ici. Si le professionnel n'est pas inscrit alors il n'a pas le droit d'exercer. Vous pouvez donc faire annuler ce rapport ou cette expertise avec cette jurisprudence de la cour d'appel de Grenoble à imprimer ici. Transmettez le directement à votre avocat et contactez nous car nous sommes en train de créer une liste de victimes de ces faux psychologues afin de mieux les défendre en masse. Attention, le fichier ADELI n'est pas un fichier de référencement des travailleurs sociaux, mais du personnel médical et paramédical. Mais les assistant(e)s sociaux(ales), sont eux les seuls travailleurs sociaux à dépendre de ce fichier. Les éducateurs n'y sont pas inscrits. Les enquêteurs sociaux non plus, sauf s'ils sont psychologues ou assistants sociaux. (https://lesabusdesservicessociaux.e-monsite.com/)
Albane nous donne un avis tout ce qu'il y a de plus pesé:
NE VOUS EXPOSEZ PAS.
Les médecins psys, si votre enfant doit en voir, ou si vous voulez prendre avis, prenez rendez-vous sous un faux nom et achetez un téléphone non traçable.
Pour ma part c’est de la sorte que j’ai eu des ennuis (demande de placement heureusement non suivie d’effet pour « refus de soins »). En réalité, mon enfant était suivi par un autre spécialiste dans une autre ville, multipliez les avis si les services sociaux vous tombent dessus, il y a des praticiens honnêtes heureusement ! On est passé d’un danger immédiat à une situation maîtrisée et une enfant suivant un enseignement régulier.
Elle a parfaitement raison: ne donnez pas vos vrais noms et coordonnées. De très nombreux parents sont poursuivis par la Justice après le passage chez un psy ou même un simple médecin. Ne parlons pas du médecin scolaire: c'est un délateur patenté.
Elle dit encore:
Lors des procédures de demandes de placement, le « réquisitoire » du médecin et des services sociaux est disponible au greffe du tribunal. Il fait en moyenne 30 pages et vous n’avez pas le DROIT d’en avoir copie ou de le photographier. Vous devez prendre des notes. Sur un document aussi long, c’est presque impossible. VOTRE avocat peut avoir accès aux pièces et vous pouvez les consulter à son cabinet mais vous n’avez toujours pas la liberté de lui demander une copie.
Conduite à tenir : Aller au greffe vous faire une « idée ». Demandez à lire le document chez votre avocat, au bout de deux heures la secrétaire est lasse de vous surveiller et vous pouvez prendre des photos pour disposer du texte intégral. NE FAITES dans les petites villes AUCUNE confiance à votre défenseur, rédigez votre riposte point par point envoyez le document en recommandé au juge des enfants et remettez une copie à votre avocat.
Il ne vous servira qu’à vous sentir un peu moins seul à l’audience, mais votre défense et son efficacité repose sur vous uniquement. Fournissez un maximum de témoignages en votre faveur, de pièces justificatives extraits de cours, notes, articles de presse sur le cours que vous suivez. Ne comptez que SUR VOUS et vos alliés comme Rémy et Cécile, votre avocat, c’est en tous cas le cas du mien, adhère à la thèse de l’accusation, plus ou moins.
Faites preuve de courtoisie lors des investigations sociales, voire d’une bonne volonté forcée. Tenez le coup même quand les questions sont stupides ou déplacées. Exemple, j’ai eu ma fille à 36 ans (après dix ans de FIV) et ma maman a accouché de moi à 36 ans, cela est SUSPECT, si, si.
Le psy affirme, par exemple que ma fille était légèrement parfumée (elle était propre simplement) du même parfum de moi ce qui est un détail entièrement FAUX en l’espèce. Inutile de ramper devant le psy, il vous déteste « par défaut » et les préconisations de l’équipe sociale est prépondérante. Concentrez vous sur cela. Oubliez votre rage de lire que votre enfant de dix ans est « maniérée » si si et qu’elle est le reflet d’une famille élitiste qui la traite tel un objet pour réussir par procuration alors même que vous gagnez largement votre vie et n’avez pas à vous plaindre de votre sort. Quoi que vous disiez, ce sera retourné contre vous. Parlez donc le moins possible. « Entraînez » votre enfant à répondre évasivement à toutes les questions.
Dans mon cas, ma fille que je préserve comme vous des programmes et contenus pornographiques a été surprise de voir un plan, NON EROTIQUE, d’une femme debout et simplement nue, chose qu’elle n’avait pas observé avant.
« C’est comme cela que nous sommes sous nos vêtements » commente ma fille qui ne présente encore aucun signe de puberté, eh bien elle a un rapport au sexe simpliste et toxique.
Elle n’est pas choquée par la nudité mais elle sait que c’est privé et la « chose » ne l’intéresse pas plus que cela pour le moment.
Par contre la reproduction du pigeon, de la vache et autres animaux n’a pas de secret pour elle. Elle ne fait pas la liaison avec la sexualité humaine qui ne l’intéresse pas, AUJOURD’HUI, le moins du monde. Qui peut douter que la chose simplement d’elle-même arrivera ? Le psy qui l’estime non mature (c’est évident) et donc suspecte de toute sorte de non-dits croustillants.
Laissez tomber, dégagez-vous des griffes de l’administration et faites ce que vous devez faire pour ne pas y retomber.
Je suis en train d’y arriver avec des conséquences considérables sur ma vie, mais c’est le prix à payer. Je paye volontiers pour gagner une terre libre, cela existe encore.
Bon courage à tous. En vous faisant tout petits peut-être passerez-vous entre les mailles du filet, mais soyez sur vos gardes !
Amicalement à toutes et à tous
Psychologue pour enfant
Sur le fond. Un internaute nous vilipende, et dit, pour résumer, qu'on peut analyser l'enfant quand celui-ci "exprime des affects dont il n'a pas toujours conscience", par exemple quand il joue.
Vous dites "l'enfant exprime des affects dont il n'a pas toujours conscience". Je m'arrêterai à cela. Mais, dites-moi, en quoi en avons-nous besoin ? Quelle conclusion pourrez-vous tirer
1 - de réactions "inconscientes" qui renvoient à une inconnue du cerveau et que d'aucuns se hasardent à interpréter hâtivement ? Tous les psys savent tout de même, du moins les bons, que tout peut être vrai, aussi bien une chose et son contraire, en analyse. Faites une conclusion, un autre psy dira le contraire, il sera impossible de vous départager dans le champ de l'"inconscient"
2 - quelles conclusions tirerez-vous de réactions temporaires qui seront peut-être parfaitement contredites le lendemain, loin de l'analyste ?
3 - quelle thérapeutique en tirerez-vous ? Pour ici, nous pouvons le dire: sauf à prescrire des ritaline et autres poisons, vous n'aurez aucune réponse puisque votre "analyse" ne débouche sur rien en terme de moyens. Winnicott et Roussillon le reconnaissent d'ailleurs parfaitement! ils parlent de vagues état des lieux qui en réalité, ne servent à rien. Nul de sérieux ne prétendrait qu'il y a, à un comportement donné, provisoire, une thérapeutique médicale à conclure de manière formelle.
4 - Et vous commettez cette erreur parce que, chose que vous ignorez presque tous, le cerveau est plastique. Ce que vous dites aujourd'hui sera faux dans 1 semaine ou 1 mois avec des sollicitations adéquates. Cela plaque au sol vos assertions !
5 - Les résultats de la psy en général est entre 5% et 17% (aux USA). Résultat catastrophique qui fait que certains suivent des analystes pendant 20 ans! imposture, escroquerie et abus de confiance même. Le résultat du coaching dépasse les 90%. Posez-vous la question de savoir pourquoi.
En conclusion, nous n'avons aucun besoin de connaître "l'inconscient" de l'enfant qui n'appartient qu'à lui et qu'il est assez scandaleux d'aller fouiller, parce que nous savons régler toute difficulté qu'il pourrait avoir sans cette démarche dépassée, archaïque, intrusive et largement d'imposture.
Voyez sur notre site la vidéo "Bilans et tests, pourquoi ils sont inutiles", nous montrons formellement que ces analyses ne servent à rien.
Vous apprendrez que plus vous prenez en charge l'individu avec votre analyse, plus vous le délestez de ces capacités.
J'ajoute que, comme je vous l'ai dit, analyser un moins de 16 ans est une immixtion dans sa vie qui viole la règle, puisque l'analysé doit consentir à l'analyse. Enfin sur ce point, l'analyse travaillant sur la passé, cela n'a évidemment aucun sens avec un petit enfant.
Intéressons-nous aujourd’hui à l’endroit où vous allez travailler avec votre enfant, la salle de travail. Ce sera le salon ou la cuisine, c’est-à-dire 9 fois sur 10 la salle commune, où vous serez le plus souvent. On évitera la chambre de l’enfant bien sûr, car on distingue lieu de cours et espace personnel mais on
Votre santé aide votre enfant Rappelez-vous que votre santé aide votre enfant. Essayez de consacrer un peu de temps à ces questions, votre santé est au cœur de tout ce que vous ferez pour votre enfant. Votre moral, votre dynamisme, votre positivité en dépendent. Les siens aussi. Se coucher tôt Se coucher tôt et bien
Sur cette page, nous désossons 17 rumeurs, balivernes ou désinformations. C’est un ensemble de rumeurs, appelées maintenant fake-news, et qui ressemblent plutôt à une vaste campagne de désinformation. Il n’y a aucune raison d’avoir peur. Avec ce que vous trouverez ci-dessous, vous saurez désormais distinguer le vrai du faux dans ce que vous dit l’administration,