Dyslexies dysorthographie, autisme : réalité (vidéo)


Tous les jours, des mamans viennent à nous avec le diagnostic de "trouble", de "dyslexie" ou autre dys... La plupart du temps, le fait d'être dys est un diagnostic rassurant pour les parents. Ils se sont battus pour l'obtenir. Mais n'y a-t-il pas un gros problème ?

Voir aussi 

En préambule, ces témoignages :

Pour l'anecdote, j'ai eu droit à beaucoup de clichés que vous dénoncez, en particulier le fait que ma fille souffre de troubles dysorthographiques. Effectivement, je m'inquiétais du fait qu'elle écrivait quasiment en phonétique en fin de CE2, j'ai donc consulté une orthophoniste qui m'a confirmé qu'elle n'était pas au niveau par rapport à sa classe d'âge. Depuis j'ai pris du recul et je sais qu'elle ne souffre pas de troubles dysorthographiques : pour qu'elle connaisse l'orthographe, encore aurait-il fallu que les maîtres/maîtresses successifs le lui enseignent mais comment puisqu'ils ne font quasiment plus de dictée, ni de rédaction, etc. ? un déclic s'est produit et depuis elle s'intéresse beaucoup plus à sa scolarité. Peut-être le fait d'être seule avec une adulte qui l'aide sans porter de jugement sur ses erreurs, mon changement d'attitude lors des longues séances  de devoirs du soir (puisqu'elle avait un trouble, je me devais de redoubler de patience et de bienveillance), une plus grande attention de la part de son enseignante, un peu de tout cela sans doute, mais les résultats sont là et je souhaite à présent l'accompagner en la scolarisant à domicile l'an prochain.     (Aurélie)

Son père et moi on a cru dur comme fer aux "problèmes" de ma fille qui était mal vue à l'école. la première fois que j'ai lu votre article j'ai halluciné et je vous en ai voulu. ça m'a choqué. Mais mon mari m'a dit : essaie, tu verras bien on n'a plus rien à perdre. "et bien vous aviez raison. J'ai perdu mes illusions. Croyez-moi maintenant je sais qui est coupable et ce n'est pas ma fille. L'école ne lui a rien appris. Et après 3 semaines d'école à la maison je vois tres bien qu'elle est capable et elle n'a plus ces fameuses "dys". (Aimée et Anton)

Ces parents savent de quoi ils parlent, ils en ont angoissé. Mais maintenant, on ne leur racontera plus d'histoire. Pourquoi ? Parce qu'ils ont compris d'où venait le problème.

Les dyslexies sont un peu le monstre caché, celui qui fait peur.

C'est aussi un monde bien installé. Une institution, avec ces milliers de sites qui gagnent dessus. Oui, mais non. Nous n'accepterons pas la facilité. Car ce serait facile de vous dire: "Mais oui, on va s'en occuper, c'est tant de l'heure" !

Pas question. Nous n'accepterons jamais de vous mentir. Disons les choses clairement: l'école à la maison décroche le Trophée de  la meilleure parade contre les Dys !

Alors voyons ça !

Dys : l'épidémie curieuse

Il y a une dizaine d'années, on nous souriait facilement au nez. Ensuite, on s'est montré choqué. Aujourd'hui, notre propos est pris au sérieux. Les études vont également dans notre sens.

Franchement la première fois, des sites, des associations, sont venus nous insulter. "Quoi, comment, vous remettez en cause la dys ? Bande d'escrocs, criminels, on va vous faire fermer votre site" ! tout cela de la part de gens arborant des mantras et des papillons sur leurs pages facebook, vous savez ce que c'est...

En fait, un beau jour, quand une dame nous a demandé combien elle pourrait nous donner pour guérir la dyslexie de son fils,nous avons répondu: "Mais, Marie, on ne va pas vous demander de l'argent pour une maladie que votre enfant n'a pas. Et qui même est largement une imposture."

Eelle a bien sûr exigé des explications. De là, nous avons expliqué comment les choses se passaient dans le cerveau.

Et c'est imparable.

Nous avons mis le pied dans le plat la première fois en disant publiquement que cela venait essentiellement de la manière dont on instruisait - mal - les enfants.

Au même moment, les parents qui en parlaient étaient de plus en plus nombreux. Comme une épidémie. Nous trouvions cela bizarre.

Et depuis tous les jours, c'est l'hécatombe. 90% des gens viennent sur le site avec un "problème". Leur enfant a un "problème". Les dys représentent plus de la moitié de ces problèmes.

Il y a des parents qui attendent depuis 3 ans pour avoir leur rendez-vous avec le spécialiste parce qu'on leur a dit que leur enfant a une dyslexie, dysorthographie ou autre. Le pire, c'est que cela les a soulagés finalement, parce qu'ils constataient bien que leur enfant avait des difficultés. Oui, beaucoup de gens nous confient qu'ils se sont sentis soulagés quand on leur a dit que leur enfant était dys. Pendant 3 ans, ils ne peuvent pas entendre autre chose que: "Votre enfant a un problème, faites vite, voyez quelqu'un, il faut le sauver car il n'est pas compris."

Alors, leur enlever ça, c'est impossible ! enfin, presque. Mais que c'est dur !

Besoin d'être écouté

Pourquoi vous tombez dans le panneau ? Parce que sans ça vous n'avez pas d’explication. Et quand vous en avez une, et qu'il n'y en a qu'une seule, vous y croyez. Evidemment.

Et puis, il y a le reste: tout le monde y croit. Les médecins ont des blouses blanches, il y a des livres, la télé... ça semble vrai.

C'est un peu comme l'Histoire de la Seconde guerre mondiale: on y croit.

Durant ces rendez-vous avec les spécialistes, l'enfant est écouté. On s'occupe de lui. On vous écoute. Merveilleux ! L'écoute, la sacro-sainte écoute. Les parents jugent qu'un spécialiste qui les écoute est compétent.

Peu importe si son diagnostic va être faux.

Car l'écoute, c'est bien gentil, mais ce n'est pas le plus important. Quand vous demandez à votre garagiste de réparer votre voiture, vous vous moquez qu'il soit à l'écoute ou bienveillant, vous voulez qu'il soit pro, qu'il répare cette voiture ! Ses sourires, on s'en fout (pour le dire poliment). S'il a un caractère de cochon mais qu'il est bon, peu importe ! Résoudre le problème, voilà la seule chose qui compte.

Et ça, voyez-vous, c'est ce qu'il faut exiger.

Or, les parents qui vont voir des parents se laissent détourner. Par la communication, l'écoute, les mots savants, les diplômes. Ils ne peuvent pas imaginer une seconde que tout cela est un paravent: on ne vous dira pas la vérité. Parce que ces spécialistes ne la connaissent pas, dans 99% des cas.

Les parents ont besoin d'exister dans le regard de l'autre et quand ils sont écoutés, ils ont l'impression qu'on les prend en compte.

Mais voilà: une écoute peut être accompagnée d'une incompétence totale en médecine. On verra la véritable estime du spécialiste pour les parents dans le diagnostic qu'il délivrera, en fait. L'écoute n'est pas suffisante en soi !

Quel outil a-t-il été employé ?

Un spécialiste vous a délivré un diagnostic de "dys". A-t-il utilisé un scanner, une Image à Résonance Magnétique (IRM) ? Si non: diagnostic invalide. Un diagnostic, c'est formel, c'est pas "peut-être." Donc, si c'est "peut-être", c'est un diagnostic invalide. Un indice : si ce spécialiste reçoit des "visites médicales" de la part de labos (en clair, s'il touche des pots-de-vin), il dépend du système traditionnel des laboratoires pharmaceutiques: son avis est donc sujet à caution.

Et s'il préconise de la Ritaline ou équivalent, c'est une fripouille qui en échange d'argent n'hésite pas à mettre la vie de votre enfant en danger, il mérite la prison (et vous verrez pourquoi quand on en parlera).

Ne vous laissez plus duper, il en va de la vie de votre enfant !

Diagnostic, jugement de l'école, mises en cause de la part de l'école, tout vise votre enfant. Il est le coupable idéal, il doit avoir "un problème".

Le fond du problème, c'est que le système remet en question votre enfant alors qu'on n'est pas allé voir ailleurs, on n'a pas mené une enquête complète, et nous allons vous le montrer. On n'a pas fait de véritable investigation. Quelqu'un a un accident de voiture. On l'accuse d'être responsable; mais, si ses freins avaient été sabotés ?

Qu'est-ce que l'école a fait avec votre enfant ?

En fait, personne n'a évalué... ce que le système a fait avec votre enfant. A part PISA, mais PISA n'évalue que des résultats scolaires. Ce qui est loin de suffire. On oublie que si l'enfant en est là, c'est peut-être pour une autre raison.

La réalité scientifique, la réalité de la situation sanitaire actuelle, c'est que plus de 98% des cas, c'est-à-dire très certainement le vôtre, ne sont pas ce qu'on croit. Quant à nous, nous démontrons que la totalité des cas (sauf UN) qu'on nous a présentés n'en étaient pas.

La désocialisation et l'école à la maison (vidéo)

Dys, des difficultés devenues monstres (musée des Arts primitifs, Paris)

Dyslexie dysorthographie dyspraxie... les étonnantes évolutions

Lucette témoigne:

La dictée comme vous la proposez est un exercice très complet: j'ai amélioré mon fils dysorthographique avec trois lignes par jour. Et les progrès sont spectaculaires ! Maintenant on ajoute la conjugaison et la grammaire...

Allons bon ! qu'est-ce que cette dysorthographie qui disparaît ? Voilà déjà qui porte un rude coup à la croyance que c'est une sorte de maladie fatale, génétique, et que cela ne se soigne pas ! La moitié du dispositif s'écroule.

Lucie ajoute:

EVITEZ par dessus tout les pédopsychiatres des CMPP et autres pavillons de pédopsychiatrie, car non seulement cela n'aidera pas votre enfant, mais vous risquez en outre deux choses : La perte de confiance en lui (j'ai des problèmes dans la tête, je suis fou, autiste ou anormal peu importe) et le risque REEL d'être dépisté comme un "cas social".

Nous avons les mêmes témoignages pour la dyslexie, la dysgraphie, la dysorthographie, la dysmathie, la dysécolie, la dyspraxie, la dyscalculie et même pour... l'autisme !

Comme vous le voyez dans ce témoignage, une maman est tombée des nues en découvrant la vérité.

La prudence est donc de mise ! n'acceptez pas les diagnostics à la légère.

Si vous êtes repéré, vous risquez de gros ennuis. Car on va vous imposer un traitement et des institutions dont vous ne pourrez plus sortir.

Mais surtout, y a-t-il réellement trouble dyslexique ? De quoi parle-t-on si une simple dictée régulière la soigne ?

Nous allons voir dans cet article comment les parents sont traités, parfois trompés... et comment certains trouvent cela normal ! La blouse blanche fait son effet...

Dans certaines écoles et pas ailleurs ?

Comment se fait-il qu'on ait jusqu'à 15% ou plus de dys dans une classe et 0% dans une autre ? Comment se fait-il que dans une école, ce soit un phénomène constant et qu'il n'y en ait aucun cas dans une autre ?

Une preuve que la dys n'est pas naturelle et se développe... dans les mauvaises écoles

Le fait que vous n'en ayez aucun dans l'école Sainte-Bernadette qui emploie d'excellentes méthodes est parlant: là où la méthode est bonne, l'enfant n'a aucun symptôme. Par conséquent, la dys se développe dans les mauvaises. C'est IMPARABLE.

Si votre enfant est dys, vous pouvez attaquer l'école car elle a mal fait son travail.

Ce qui n'est pas étonnant puisqu'elle n'a plus aucune compétence, on connaît ses résultats et sa manière de former ses profs, qui n'ont parfois même pas reçu la moindre formation.

Regardez cette première vidéo, qui répond à une maman:

Voyez maintenant celle-ci, qui développe :

(suite plus bas)


Vous aussi, vous voulez témoigner sur les "dys"? Nous recueillons votre témoignage :


Les dys sont les maladies de nosocomiales de l'école. Vous y entrez et vous en ressortez avec ces problèmes.

Dys: disent-ils vrai ?

Il y a des gens dont le métier est le bobard. Drôle d'époque. Il en est ainsi du réseaudys.

On raconte tellement de choses fausses érigées en vérités absolues que les contester semble totalement hérétique. On vous brûlerait presque sur un bûcher, à voir certaines réactions.

Il en va un peu comme de l'hyperactivité.

C'est une croyance ferme. 90% des mamans qui viennent à nous en sont convaincues au départ: leur bambin est dyslexique, ou dyspraxique, ou dys-autre chose. Ce qui fait au final... 25% ou même 36% d'une classe d'âge ! (cas déclarés) Ce qui est impossible en réalité. Cette proportion n'est pas scientifique. Dans le pire des cas, cela concerne 2 à 3% des cas. Qu'est-ce que cette épidémie ? La plupart de ces mamans ont été trompées.

La mode de l'étiquetage: une mode psychiatrique

différence 1980 et today

Cette image en dit long, elle est fort juste. "Votre enfant n'entre pas dans le moule ? Il a donc forcément un problème", disent de plus en plus l'école ou les spécialistes.

Vous direz peut-être: "Au contraire, l'école a toujours nié la dyslexie de mon fils !" Evidemment: l'école nie le problème parce qu'elle sait que tôt ou tard, cela remettra en cause sa manière de faire. Devant ce déni, les parents s'autopersuadent que le trouble existe bien: leur enfant a un problème ! Ils se battent pour qu'on l'entende, ils se battent pour que quelqu'un leur dise: "Votre enfant, en effet, est dys". Cela les soulage ! Comme le calmant soulage la douleur. Mais c'est une voie de garage.

Certes, si cela peut vous aider à quitter l'école, pourquoi pas ? Mais vous verrez que cette dyslexie, nous la vaincrons dans 95% des cas. Et c'est ça, la bonne nouvelle.

Josef Schovanec est autiste. Il est aussi surdoué, connaît le sanscrit, le guèze ou l'amharique (jamais entendu parler, même aux Langues' O !). La première victoire que ses parents ont remportée contre l'école, c'est lorsqu'elle demandait à ce qu'il redouble sa grande section de maternelle, et qu'ils n'étaient pas d'accord.

"Il fallait que je redouble, dit-il, parce que je n'avais pas les compétences requises. Quand j'y repense, je me dis que c'est effrayant car aujourd'hui, je ne passerais toujours pas en CP: je n'ai pas les compétences requises".

Lorsqu'il est à Sciences-Po, son état s'aggrave et il consulte des psys. Il est diagnostiqué schizophrène. Le voilà étiqueté, classé. S'il émet des doutes, on augmente ses doses de neuroleptiques, l'un des poisons les plus puissants contre le cerveau. Il dort jusqu'à 23 heures par jour. "Et je n'ai pas connu le pire, dit-il, j'aurais pu comme certains passer la moitié de ma vie à l'hôpital psychiatrique." Aujourd'hui, il donne des conférences en France et à l'étranger. Ses progrès ont été spectaculaires, il a prouvé quelque chose. Et il le fait savoir.

Accident grave avec perte cérébrale partielle

Marylin a eu un accident de voiture. Elle a perdu la moitié de son cerveau. Après quelques mois, elle voit un médecin à qui elle cache ce fait. Le médecin la déclare autiste. "Non, réagit-elle, j'ai simplement perdu la moitié de mon cerveau. "Vraiment ? fait le médecin, je suis désolé." "C'est moi qui suis désolée pour vos patients, docteur, si vous faites souvent ce genre de diagnostic." Quelques années plus tard, Marylin croise à nouveau le médecin qui se souvient: "Je vous avais diagnostiquée autiste, mais vous avez eu un accident, je me souviens. Une belle erreur. Mais en fait cet accident vous a simplement ôté certaines facultés, c'est un peu comme si vous étiez dyslexique.." "Vous continuez de vous tromper, docteur ? Je suis devenue neuroplasticienne, et croyez-moi, j'ai absolument recouvré toutes mes facultés." "C'est impossible", fait le toubib. "Pourtant, vous me voyez là, devant vous."

On a ausculté le cerveau de Marylin. Une part de son cerveau amputé s'est reconstitué et surtout, les parties les plus anciennes ont été colonisées par les nouvelles facultés.

Il y a bien d'autres exemples de ce genre*.

Croyances

Les diagnostics sont parfois faux. Mais le plus grave, c'est cette croyance qu'on est dyslexique à vie. On ne reste dyslexique que si rien n'est fait pour votre cerveau. On peut ne plus l'être. Il y a de nombreux cas d'ex-dyslexiques. Grâce au programme Fast Forword, Merzenich (son livre ci-dessous) a mis en évidence ce fait que les personnes les plus atteintes, les autistes, peuvent eux-mêmes faire des progrès énormes, retrouver le sens du contact, de la relation, et un comportement "normal" en tous cas sociable. Quant aux dyslexiques, ils peuvent n'avoir plus rien de dyslexique et faire d'excellents parcours.

Elisabeth Nuyts fait un excellent travail. Nous partageons avec elle le sentiment que cette explosion de dys et de problèmes, sont surtout le résultat naturel de mauvaises méthodes, des mots qui rassurent le corps médical et permettent d'une certaine manière de dire que c'est l'enfant qui a un problème alors qu'en réalité c'est le système qui a un problème, l'enfant ne faisant que refléter ce qu'on lui donne ou ne donne pas.

Si nous vous demandons de monter sur une estrade de concert et de jouer du Chopin devant 5.000 personnes, sans avoir bien appris, vous ne serez pas à l'aise. Vous échouez; imaginez qu'on vous dise: "Vous êtes probablement dyspraxique." Vous seriez frustré et sans doute furieux. C'est pourtant ce qui se passe à l'école et chez les "spécialistes." On n'enseigne pas bien l'enfant et ensuite, il ne sait pas. Rien que de très naturel.

Mais en France il y a une croyance très forte en la "maladie" et une foi en la médecine. L'enfant n'est pas malade à l'origine, il finit parfois par tomber malade à force d'avoir un cerveau qu'on fait tourner à l'envers, qu'on ne nourrit pas, qu'on frustre et auquel on dit "tu es un cas, tu es ceci ou cela", l'enfant finit par le croire, ça provoque une cassure en lui et il tombe malade. Vous voyez ? Il y a 0% d'enfants auxquels on ait donné une bonne méthode qui soit "dys". Et l'école est pleine de "dys". Mais on ne dit pas "l'école fait mal", on dit : "les enfants sont dys", c'est la faute des enfants ou ils sont victimes, ça revient au même: la balle est dans leur camp. Eh bien, c'est faux. La balle est dans le camp des adultes enseignants et éducateurs.

Un problème d'apprentissage

Elisabeth Nuyts dit d'ailleurs: "la plupart des dysfonctionnements actuels sont liés à un apprentissage trop intuitif des fondamentaux (en clair, l'école ne fait pas son travail correctement): lecture, écriture, grammaire, calcul. Pour être conscientes, lecture et écriture doivent partir de l'élément, le b.a.ba pour la lecture, la forme des lettres pour l'écriture. Il faut de plus que tous les apprentissages soient effectués en parlant, parce que c'est en parlant qu'on accède à la conscience. La conscience de ce qu'on voit, de ce qu'on fait, de ce qu'on ressent, de ce qu'on est. Sans parole effective ou intériorisée, on ne peut accéder à la réflexion."

C'est exactement ce que nous disons.

"Mon fils est dyslexique." Non, il n'a simplement pas reçu l'apprentissage correct. "Ma fille est dyspraxique." Non, elle n'a simplement pas été exercée.

Tout cela nous conduit à un organe: le cerveau.

Il faut comprendre avant tout que le cerveau est capable de s'adapter. On parle de neuroplasticité. Si vous travaillez sur une faculté, la zone correspondante du cerveau va se développer. Si vous travaillez un grand nombre de facultés, le cerveau développera d'autant les zones concernées et en interactions les unes avec les autres: ce qui profite quelque part est bon aussi ailleurs, même plus faiblement.

Si au contraire vous laissez le cerveau sans activité, les zones concernées périclitent. Il s'ensuit des dyspraxies et, par ailleurs, d'autres problèmes de santé.

C'est très important à comprendre: vous pouvez développer le cerveau de n'importe qui sans limite. De même, si vous ne faites rien de votre cerveau, les zones concernées disparaissent; soit elles sont conquises par d'autres facultés, soit elles se résorbent.

On avait masqué l’œil d'un singe pendant 6 mois. Quand on a ôté le pansement, l’œil était devenu aveugle. Non pas qu'il ne fonctionnait pas, il était en parfait état, mais la zone du cerveau affectée à cet œil avait disparu. De même, on a montré que des membres ligotés pendant des mois devenaient inutiles et qu'au contraire, après un travail spécifique, ils pouvaient retrouver toute leur fonctionnalité.

Croire que la dyslexie, c'est pour la vie

C'est très important de comprendre cela. Si quelqu’un vous dit que votre enfant est dyslexique et qu'il le sera toujours, il se trompe. Mais le drame, c'est que l'école française est majoritairement convaincue que la dyslexie, c'est à vie ! Et bon nombre de "dyslexiques" aussi. C'est justement ce qu'il faut absolument éviter.

Votre enfant, s'il est réellement dyslexique, ne l'est pas à vie. Vous ne lui en parlerez plus après lui avoir dit une fois pour toutes: "nous allons te guérir ensemble et bientôt tu seras comme les autres" ou une phrase de ce genre, qui lui fera comprendre que ce problème est passé. Et si vous avez cru qu'il le serait à vie et lui avez déjà dit, eh bien, dites-lui ce soir: "Aujourd'hui j'ai découvert quelque chose de merveilleux: tu vas guérir, bientôt tu ne seras plus dyslexique."

E. Nuyts dit d'ailleurs une autre chose que nous affirmons depuis des années: "Hors lésions cérébrales, rien n'est jamais perdu, et ce, à tous les âges." C'est mot pour mot notre propos (et nous ne nous sommes pas concertés).

Nous savons bien que lorsqu'on met en doute des cas d'autisme ou de dyslexie, on soulève une marée de protestations. C'est tellement ancré, c'est une croyance très forte et même parfois rassurante, on se sent du côté de la science et des docteurs. Mais la science et les docteurs de haut niveau ont complètement revu la copie: il n'y a pas de maladie appelée dyslexie, la dyslexie est simplement un manque d'entraînement du cerveau.

Il en va comme de la vue: vous pouvez retrouver une excellente vue !**

Quant à l'autisme

L'autisme a une origine massive et une origine plus rare:

L'origine massive, c'est la vaccination. Vous pourrez faire des recherches à ce sujet. Elle est nettement mise en cause depuis peu ! Le lien entre autisme et vaccin paraît une piste sérieuse. La FDA (Federal & Drug Administration) l'affirme ainsi que certains médecins***.

Merckriminals, le laboratoire Merck, criminel

Merck, l'un des gros labos, épinglé dans une vidéo pour dissimulation et trucages après la révélation du lien entre vaccin ROR et autisme et des milliers de cas dramatiques

L'autre origine, c'est semble-t-il la génétique et certains médicaments (la Dépakine est reconnue coupable depuis longtemps mais les autorités ont continué à autoriser Sanofi là la vendre, voir ce qu'en dit le site Santé Nature Innovation).

Donc, quelles solutions ?

Une maman qui a lu cet article nous dit qu'elle ne voit pas les solutions. Il nous semble qu'elles s'imposent d'elle-même:

La dyslexie trouve son origine dans le cerveau mais pourtant, elle ne correspond à aucune maladie neuronale, lésion cérébrale ou autre… Alors ? Peut-il y avoir une maladie sans symptôme ? Qu’observe-t-on, en fait ?

En l’état actuel, on ne peut être formel sur le mal lui-même, personne n’est capable de dire « la dyslexie, ça se localise là dans le cerveau » ou « voici l’origine ». En revanche, ce qu’on sait, et on peut le comprendre, c’est que les capacités de l’individu correspondent à des développements spécifiques du cerveau, ce qu’on appelle les synapses. Si un développement n’existe pas, la capacité n’existe pas non plus.

Si c’est un « manque », ce n’est pas un trouble. C’est simplement que le cerveau n’a pas été « travaillé », formé, autrement dit l’individu n’a pas la pratique de la capacité en question. Toute pratique correspond à un développement cérébral, pour parler vulgairement. Il n’y a pas de capacité sans ça.

On réclame d’autres explications, la source de ces recherches ultimes qui démonteraient une idée scientifique bien établie. Qu’en est-il ? Y a-t-il des faits nouveaux qui viendraient changer la donne ?

autiste ief l-ecole-a-la-maison.comC’est en fait le contraire. Cela fait longtemps (plusieurs décennies) que les neuroscientifiques dénoncent l’acharnement à parler d’autisme ou de dyslexie dans des cas qui n’en sont pas. Ce n’est pas nouveau, ce n’est pas une découverte récente: il y a longtemps que le système éducatif en général (spécialement en France mais pas seulement) parle d’autisme et de dyslexie là où il n’y en a pas toujours, ou rarement.

 

Des noms s’élèvent, des « non ! » s’expriment

Dans le cadre de la réflexion sur l’école, nous notons que des auteurs s’y intéressent. Notamment Evelyne Tschirhart, auteur du livre [simpleazon-link asin= »2846211701″ locale= »fr »]Des élèves malades de l’Ecole : Révélations sur une médicalisation abusive[/simpleazon-link], et déjà auteur de [simpleazon-link asin= »2953220046″ locale= »fr »]L’école à la dérive, l’enseignement actuel à la lumière de la tradition universelle[/simpleazon-link], qui « dénonce avec vigueur les traitements médicaux infligés à des enfants dont l’agitation ou l’inattention sont essentiellement le résultat d’un apprentissage de la lecture par des méthodes mixtes. »

« […] Des enfants ayant juste un petit retard dans l’apprentissage de la lecture ou du calcul sont très vite qualifiés de dyslexiques ou de dyscalculiques. Pire, ceux qui sont un peu trop rêveurs ou un peu trop turbulents seront qualifiés d’hyperkinétiques. Dans tous les cas, ils seront déclarés impropres à la bonne marche de la chaîne éducative[…]« , lit-on dans L’enfance sous pression : Quand l’école rend malade de Carlos Perez, Ed. Aden, 2007.

« Dans aucune de ces difficultés, un trouble constant, donc causal, n’a en fait pu être isolé »

Mais on lira aussi ceci : « Dans aucune de ces difficultés, un trouble constant, donc causal, n’a en fait pu être isolé. Cela n’empêche pas les neuropédiatres de parler constamment aux parents de l’origine cérébrale du problème, en faisant abusivement porter sur le corps de l’enfant tout le poids d’un symptôme dont les adultes s’exonèrent. » (in http://www.inventionpsychanalyse.com/dysphasie-hyperactivite-dyslexie.php)

Ce qui veut dire clairement que l’on dit aux parents que l’enfant a un problème cérébral alors que ce n’est pas le cas. Et comme nous l’avons dit dès le commencement de cet article: il n’y a pas de « problème cérébral » en fait puisque le cerveau s’adapte ! Même avec une lésion ou une perte de matière cérébrale, un cerveau peut se reconstituer. On a des exemples d’accidentés de la route ayant perdu une partie du cerveau et ayant compensé en développant des facultés cérébrales proches.

Alors, pourquoi parle-t-on à tort et à travers de dyslexie dysorthographie dyspraxie dyscalculie, dysécolie même ?

Un scandale couve

Qu’on parle de dyslexie, dans 1% des cas c’est peut-être justifié; dans 99% ça ne l’est pas. Mais parler de dyscalculie ou dysorthographie, c’est une imposture grave. En l’état, on accuse l’enfant parce qu’on ne veut pas toucher au sacro-saint système d’enseignement. Ce sont les méthodes qui sont mauvaises et tout le monde s’en doute bien, mais les professionnels de l’enseignement (que les résultats évalués de PISA tancent vertement) refusent toute remise en cause. Il y a là un scandale qui couve et qui finira par éclater tôt ou tard.

C’est ce que les parents, dupés, ne pourront plus accepter longtemps. Beaucoup de gens vivent de ces prétendues déficiences de l’enfant, beaucoup n’ont aucun intérêt à voir leur statut (d’enseignants, de médecins, de conseillers, de « spécialistes du comportement de l’enfant » etc.) remis en cause. Ce sont les enfants qui payent les pots cassés. Ils sont les pots cassés.

Autisme et dyslexie à distinguer formellement

Autisme et dyslexie ne sont pas à considérer sur le même pied de recherche, statistiquement l’autisme est beaucoup plus rare. Leur point commun, c’est qu’ils sont surévaluées.

Il y a des critères précis pour l’autisme. Les respecte-t-on lorsqu’on affirme qu’un enfant l’est ? Pas toujours. Car il n’y a environ qu’1-3/1000 cas, un à trois cas pour mille. Ce chiffre est en constante évolution depuis 40 ans, non pas seulement à cause d’une meilleure détection, les études ayant pondéré ce paramètre et beaucoup d’autres constatent qu’il y a bel et bien une évolution. On ne sait pas très bien pourquoi. Les sociologues n’auront pas beaucoup de peine à évoquer la télévision, l’individualisme, l’augmentation de la violence et des stress in-utéro, tout ce que la société moderne génère en un mot. Mais on attend des études plus précises.

Pas irrémédiable

La seule chose vraiment nouvelle, c’est que l’autisme n’est pas une donnée irrémédiable. A fortiori, la dyslexie, qui n’est pas aussi grave.

L’autisme est lié à deux facteurs: l’hérédité, puisqu’on constate que le cas d’autisme chez un vrai jumeau concerne son autre jumeau dans 80 à 90% des cas; une anomalie au moment critique du développement du cerveau, c’est-à-dire dans la petite enfance, lorsque se produit un phénomène de croissance en masse des zones du cortex. Cette anomalie peut être liée à une carence du développement liée soit à un environnement sanitaire déficient ou dangereux (on l’a dit, le facteur de ce type le plus nettement mis en valeur est le vaccin, mais on pointe aussi couramment la pollution, la drogue, le bruit etc.) autrement dit des facteurs extérieurs néfastes, à des manques et carences (par exemple des parents absents), des violences, des mauvais traitements etc.

Le cerveau de votre enfant va se développer en proportion de ce que vous lui donnerez et ce que lui donnera son entourage, son environnement. La douceur, la parole, la belle musique, le rire vont l’aider à croître très vite; le heavy metal, les coups, la brutalité, les cris vont empêcher son développement, ils vont même souvent l’atrophier. Pourquoi ne le dit-on pas aux parents, je l’ignore, mais nous trouvons toujours effrayant de voir des nouveaux-nés à des concerts de rock ou à une rave-party. Il est tout de même de simple bon sens de comprendre qu’un enfant est fragile. Il est facile avec un simple hurlement ou une enceinte acoustique de provoquer une lésion dans le cerveau d’un enfant. Ce ne sera pas irrémédiable, on l’a dit, mais tout de même le cerveau ne développera pas des facultés heureuses si on ne lui donne pas de quoi les développer.

Dyslexie dysorthographie ou phobies ayant pour origine le cadre de vie

Car tout dépend au départ de ce que les parents donneront. On peut toujours développer la justice et construire des prisons, mais il faudrait d’abord empêcher que des jeunes se retrouvent en situation de commettre des délits et cela passe par éduquer des parents qui ne savent rien du développement du cerveau et de la nécessaire délicatesse. On a tous vu et touché un plant de tomate de 10 jours, une pichenette et il est cassé. L’enfant, c’est pareil. Un enfant qui a entendu du bruit et des cris depuis sa plus tendre enfance sera, presque tout le temps, le reflet de ces cris et de ce bruit. Il n’y a rien d’étonnant de voir se multiplier des enfants voyous, puisque leur cerveau n’a reçu le plus souvent que de la violence, des cris, du rapport de force, des signes négatifs, tout cela a façonné leur cerveau.

Une fois de plus, on revient à l’importance de l’éducation qui est notre sujet favori et qui explique ce blog.

Primauté de l’éducation en famille

On est ce qu’on a reçu et ce à quoi on pense. On comprend ainsi bien mieux ce que sont les dyslexiques: des enfants auxquels l’école n’a pas donné suffisamment, par ignorance tout bêtement, parce que l’école n’a pas les bons outils, les bons raisonnements; même avec toute la bonne volonté du monde, les méthodes n’étaient pas les bonnes. Voilà ce qu’est la dyslexie dans la grosse majorité des cas.

Pourquoi cet abus de langage ?

autisme dyslexie dysorthographieVous avez dit autisme et dyslexie ? Pourquoi cet abus de langage si terrible pour les parents et les enfants ? On peut se le demander. D’abord, l’Education nationale a 41% d’illettrisme à l’entrée en 6ème. Que peut-elle faire ? Admettre son échec cuisant ? Ce n’est pas dans sa culture. Elle préfère rejeter la faute sur les familles, les enfants. Car elle ne veut pas prendre le risque de fâcher les corporations (syndicats).

Chiffres

Attention, ne commettons pas d’impair en affirmant qu’il n’y aurait pas d’autisme ou de dyslexie. Il y en a. Il y a de vrais autistes, mais un très petit nombre: 1 à 3 pour mille. Pas 1% ou 5% comme on le dit ici ou là, et pas non plus 10%, 15 ou 25% de dyslexiques ! Ce sont là des affirmations faites pour mieux masquer des carences du système.

Il y a des enfants qu’on dit autistes et qui ne le sont pas. Ils sont appelés tels. On leur colle cette étiquette sur le front; et, comble de malheur, ils finissent parfois par développer de réels symptômes, à force d’être mis en face de cette étiquette. Ils sont entrés dans ce qu’on appelle en psychanalyse le « jeu ». Ils régressent. Alors là, on peut dire : « vous voyez, je vous l’avais dit, il a ce problème ». C’est comme quelqu’un qu’on désespère et qui finit vraiment par être désespéré. On devient ce à quoi on pense le plus. Si vous pensez « problème, problème », les problèmes se développent. Tout ça est connu.

Nous nous sommes seulement rendu compte avec stupéfaction de l’ampleur des dégâts, des tas de mamans sont persuadées que c’est exact (que leur enfant est « dyslexique » ou « autiste »), parce qu’elles font confiance au système. Elles n’ont pas vu de neurologue, seulement des psys ou des médecins scolaires, qui ne sont pas en mesure de diagnostiquer un autisme. Pourtant, il y a d’excellents neurologues, ils auront vite fait de vous dire la vérité.

l’Education nationale (en France ou ailleurs) n’est pas habilitée ni compétente pour faire des diagnostics

Le système Education Nationale n’est absolument pas habilité non plus à dire qui est autiste ou pas, dyslexique ou pas, ou porter quelque diagnostic que ce soit; l’EN a intérêt à protéger ses corporations et quand on sait le résultat, on comprend qu’elle ait intérêt à se défendre bec et ongles; ou alors dire « c’est parce qu’on est en sous-effectifs ». Ce qui est inexact, l’EN étant la seconde administration du monde après l’armée chinoise. Le problème français est un pêle-mêle de sureffectif dans l’administration, de sous-effectif dans les classes, de formation (les enseignants ne sont pas suffisamment préparés, d’où l’énorme quantité de crises, dépressions et maladies qui se déclarent dans le corps enseignant), et de cohésion (ils ne sont pas soutenus par la hiérarchie).

Et les autres ?

Ne sont pas davantage habilités à s’exprimer sur le sujet de l’autisme ou des dyslexies les médecins non-neurologues, et ne le sont que très peu de psychiatres, encore moins de psychologues. Il y a usage fallacieux de mots qui en réalité ne correspondent pas à des diagnostics dans plus de 90% des cas, et ce que nous disons là est partagé par les grands neuroscientifiques. Si vous ne donnez pas à un enfant la bonne méthode, celle qu’on a utilisée pendant des siècles, ou d’autres sur le même modèle, vous aurez des soucis. Si vous êtes persuadé que les méthodes modernistes sont les meilleures, observez comment on en arrive à des résultats médiocres.

Il y a des mamans et des papas désemparés dont tout le monde se moque et qui sont abusés par un système auquel ils font confiance, système totalement autiste pour le coup. Ces parents feraient bien d’aller voir ces vrais spécialistes (je parle d’envergure nationale). Oui, il y a des moyens d’en avoir le cœur net. Se rapprocher de l’enfant, lui donner les bonnes méthodes. S’il n’y a aucun progrès, alors le problème est sérieux.

Mais si en quelques séances le progrès est manifeste, posons la question: quel est le diagnostic ? Il était mais n’est plus ? C’est un miracle ? Non. Si vous n’enseignez pas un enfant, il se renfermera et développera un problème de ce genre. Ce n’est pas lui qui a un problème. D’ailleurs je dis souvent: il n’y a pas d’enfant à problème sauf dans un cas pour 1.000 ; s’il y a un problème, c’est du côté des adultes qu’il faut aller voir.

Un grand scandale à suivre dans les décennies à venir et une cause pour les parents qui peuvent agir tout de suite, par exemple en faisant l’école à la maison pour leur enfant prétendu dyslexique…

La piste alimentaire

Voici une lettre d’Augustin de Livois (abonnez-vous gratuitement ici), on apprend que les phosphates pourraient être partiellement responsable de l’hyperactivité, par exemple. L’alimentation impacte-t-elle la dyslexie ?

L’adoption d’un régime alimentaire type GAPS produit des résultats étonnants (et prometteurs) chez les autistes, les dépressifs et les schizophrènes.

En conclusion, que faire ?

Vous allez faire faire des travaux spécifiques à l’enfant, vous allez lui permettre de jouer et de vivre normalement, vous allez aussi le retirer des circuits médicaux, car la dyslexie n’a rien à faire à l’hôpital. Vous emploierez des méthodes qui ont fait leurs preuves et avec lesquelles on est plus fort que la carence. Car la dyslexie n’est pas autre chose, finalement, qu’une carence. Nous vous proposons ces méthodes sur ce blog. Même si vous ne faites pas l’école à la maison, vous allez y gagner. Et guérir votre enfant, comme nous avons guéri de nombreux enfants prétendument dyslexiques.

Sur ce blog, si vous vous abonnez, vous recevez toutes les techniques qui vous permettent de vaincre les dyslexies.

Vous ne serez plus dupe de ce qui est d’abord… un abus de langage.

Par ailleurs, vous pourrez consulter des gens un peu plus sérieux, par exemple l’Institut pour l’Accomplissement du Potentiel Humain.

Voyez également la Méthode Doman, bien reconnue.

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Articles à lire et qui confirment nos travaux :

Un article qui pointe du doigt l’explosion de diagnostics, alors que « Les enfants ne sont pas plus malades qu’avant. »

*: Autiste, elle devient expert en communication !

Connue dans le monde entier, le Dr Natasha Campbell est un médecin d’origine russe, installée en Angleterre depuis 20 ans. Elle est neurologue et neurochirurgien. Sa spécialité première est donc le cerveau et les maladies psychiatriques.

Sa vie change totalement lorsque son fils, alors âgé de trois ans, est diagnostiqué comme autiste. A ce moment là, elle se rend compte que la médecine actuelle est peu outillée pour aider les familles concernées. Ayant observé que les patients atteints de troubles neurologiques étaient aussi sujets à des problèmes digestifs, elle décide de travailler sur les liens entre ces différents troubles. Une partie de la solution pourrait se trouver là ! Elle se forme en nutrition humaine et passe deux doctorats dans cette discipline. D’emblée, elle obtient d’excellents résultats qui confirment son intuition de départ.

Cette découverte devient la base de son travail et de ses recherches auprès de ses patients. Le premier à en bénéficier est son fils qui guérit. Aujourd’hui, ce petit garçon est devenu grand. Il étudie la communication et les médias à l’université…

Entretemps, le Dr Natasha Campbell a acquis une renommée internationale parce que le traitement qu’elle a mis en place, l’alimentation GAPS, a donné des résultats au-delà de ses espérances et a fait le tour du monde.

 

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**: On peut récupérer sa vue. C’est ce qu’explique entre autres la lettre de Jean-Marc Dupuis.

***: Vaccins et autisme, les explications du Dr Michel de Lorgeril

Une tribune courageuse du Dr Michel de Lorgeril (avec son autorisation).

Il décrypte une étude récente menée sur 200 000 femmes enceintes. L’étude compare celles qui ont été vaccinées contre la grippe et celles qui ne l’ont pas été.

Les résultats sont inquiétants :

  • le risque d’autisme n’existe pas chez les enfants dont les mères n’ont pas été vaccinées ;
  • il est en revanche avéré chez les enfants dont les mères ont été vaccinées.

Michel de Lorgeril est médecin et chercheur (CNRS). Il est épidémiologiste et expert en cardiologie. Il a longtemps défendu le cholestérol qui n’est pas responsable des maladies cardiovasculaires comme de nombreuses études sur la diète méditerranéenne l’ont montré.

Il s’attaque aujourd’hui à un autre sujet tabou : les vaccins. C’est une polémique complexe où les intérêts économiques et les enjeux politiques brouillent la réflexion.

Toutefois, dans son texte Michel de Lorgeril souligne à la fois ce que révèlent les chiffres publiés et comment ceux qui les ont trouvés réagissent à leurs propres travaux. C’est troublant.

Je vous laisse découvrir le document de Michel de Lorgeril reproduit ci-dessous.

Naturellement vôtre,

Augustin de Livois

Vaccins et autisme : les faits s’imposent…

Que certains vaccins favorisent l’autisme fait l’objet d’une controverse interminable et douloureuse.

L’épidémie d’autisme progresse partout, malgré les dénégations de certains, et de façon parallèle à l’inflation vaccinaliste.

Tout est fait pour masquer la réalité des faits : ce serait une réalité tragique et presque impossible à accepter. Certes, c’est difficile à étudier et beaucoup se découragent, faute d’un accès libre aux données disponibles et aussi faute d’une réelle volonté d’éclaircir cette question cruciale en médecine.

Mais parfois le rideau se déchire et nous apercevons l’envers du décor : ce qui est caché et aussi ceux qui nous cachent les choses !

Une étude récente publiée dans un grand journal américain nous révèle des faits troublants mais très révélateurs. Avec les limites de la science moderne !

Le titre : « Association Between Influenza Infection and Vaccination During Pregnancy and Risk of Autism Spectrum Disorder » ; et c’est publié dans JAMA Pediatr 2017 ;171(1) : e163609 pour ceux qui veulent aller vérifier.

Les auteurs : Ousseny Zerbo, Yinge Qian, Cathleen Yoshida, Bruce H. Fireman, Nicola P. Klein ; Lisa A. Croen.

Un seul est médecin diplômé (Klein) et universitaire : c’est le boss ; ce sont ses conflits d’intérêt à lui qu’il faudra vérifier. Les autres sont de simples exécutants.

Pour les non-anglophones, je traduis ce titre : Association pendant la grossesse entre survenue de grippe ou vaccination contre la grippe et le risque d’autisme.

Autism Spectrum Disorder (ou ASD) est un équivalent d’autisme en simplifiant.

C’est une étude cruciale pour deux raisons principales :

1- Vaut-il mieux avoir la grippe (avec le vrai virus sauvage) ou est-il préférable de se vacciner contre la grippe ? Certes, le contexte est particulier (la grossesse) et le résultat (un diagnostic d’autisme à 5 ou 10 ans) ne concerne pas la victime de la grippe mais son bébé.

Au-delà de la grippe, de la grossesse et de l’autisme, cette étude enveloppe une multitude de questions sans réponse à propos des causes de l’autisme, des agents pathogènes et d’autres contextes cliniques.

2- Vaccins et autisme est une question très difficile parce que presque tous les vaccins sont suspects. Si on a beaucoup parlé du rôle possible des vaccins contre la rougeole (ROR), les vaccins contenant du mercure et ceux contenant de l’aluminium sont aussi suspects.

Ce qui veut simplement dire qu’il est presque impossible de trouver des enfants qui n’aient pas été vaccinés par un quelconque de ces vaccins suspects au cours des 40 dernières années. Cette situation est catastrophique pour un épidémiologiste car il n’a pas de groupe témoin (sans aucun des vaccins suspects) pour évaluer l’impact de ces mêmes vaccins sur le risque d’autisme.

Cette étude américaine sur Vaccins, autisme et grossesse est donc très originale et très bienvenue pour nous éclairer puisque nous n’avons pas ou peu de facteurs de confusion : il y a les mères qui ont la grippe, celles qu’on a vaccinées et celles qui n’ont eu aucun des deux pendant la grossesse, un vrai groupe témoin. J’espère être clair.

Je ne vais pas détailler l’étude, ce serait trop long, mais au moins signaler que ça concerne presque 200.000 enfants américains nés entre 2000 et 2010.

Les conclusions concernant le rôle de la grippe sauvage sur l’autisme sont limpides : pas de signal audible ou visible. Le virus de la grippe chez la maman n’augmente pas le risque d’autisme chez son bébé.

Par contre, les données sur les effets du vaccin contre la grippe pendant la grossesse sont catastrophiques ; mais les investigateurs ne veulent pas le voir : si la maman est vaccinée pendant le 1er trimestre, il y a une augmentation (autour de 25%) du risque d’autisme. Pendant les deux autres trimestres, les données sont moins claires mais vont dans le même sens.

Quand on met les trois trimestres ensemble, l’augmentation du risque persiste et quand on ajuste dans des modèles mathématiques pour tenir compte d’autres facteurs, le risque persiste.

Pour ceux qui aiment les graphiques, je reproduis ci-dessous les courbes montrant l’évolution des diagnostics d’autisme avec le temps. On voit nettement que 5 ans après l’accouchement, les courbes sont très proches, c’est après que ça se dégrade. Attention, ce qui est montré ce n’est pas la maladie réelle telle que vécue par les familles, c’est le diagnostic médical enregistré par l’administration.

Pour ceux qui préfèrent les chiffres, je reproduis la table 3 de l’article qui résume assez bien les résultats des analyses (ci-dessous).

Ceux qui comprennent les statistiques médicales constatent (c’est la dernière ligne du tableau) qu’après des ajustements multiples (dont la légitimité peut être discutée), les intervalles de confiance restent supérieurs à l’unité : l’augmentation du risque d’autisme chez les enfants de mamans vaccinées au 1er trimestre atteint 20%.

Je résume : il vaut mieux avoir la grippe que le vaccin.

Sur un échantillon aussi grand et aussi peu sélectionné, ces faits sont hautement significatifs sur le plan clinique et encore plus sur le plan sociétal.

Comment se fait-il que personne ne réagisse ?

Les experts vaccinalistes ne veulent pas voir. Explication alternative, ils ne comprennent rien à ces données et « achètent » naïvement les conclusions des auteurs et notamment celles du boss.

Que dit notre universitaire en chef (le Pr Klein) ?

Il conclut que ces données sont probablement dues au hasard et qu’il ne faut surtout rien changer au programme de vaccination actuel ; mais tout de même (pour ne pas trop se ridiculiser), que de nouvelles études semblent nécessaires (ci-dessous copie de la conclusion de l’article).

Pourquoi le Pr Klein refuse d’entendre ce signal fort que le vaccin contre la grippe semble augmenter le risque d’autisme ?

Parce que ses liens d’intérêt le rendent sourd et aveugle : ci-dessous ces liens d’intérêt.

Le Pr Klein a donc de bonnes raisons d’essayer d’enterrer ses propres découvertes. Mais les autres ? Les experts vaccinalistes ? Les lanceurs d’alerte antivaccinalistes ?

Pourquoi ce silence tonitruant ?

Je conclus : nous avons ici évidence forte, mais non définitive (comme toujours dans les sciences de la vie), qu’un vaccin paraît augmenter le risque d’autisme.

Ces données doivent être prises avec prudence, bien sûr, mais doivent alerter la communauté médicale.

Ce n’est pas une bonne idée – il est très imprudentde vacciner une femme enceinte sauf cas très particuliers que je ne vais pas discuter ici.

Plus personne ne pourra clamer l’innocuité des vaccins de façon générale ; plus personne ne pourra prétendre que les vaccins ne pourraient pas augmenter le risque d’autisme ; plus personne ne pourra clamer que le cerveau des bébés n’est pas fragile et ne doit pas être protégé ; plus personne ne pourra décréter que vacciner une femme enceinte est sans danger !

La parole est désormais aux tribunaux : il faut écouter les familles qui s’estiment victimes !

Dr Michel de Lorgeril

Retrouvez ici son blog : https://michel.delorgeril.info

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  • Aline Severt dit :

    Psychologue et pédiatre, je vous rejoins tout a fait et considere beaucoup de ces mots abusifs. Je dis souvent aux parents de ne pas considerer leur enfant comme tel mais de repenser le mode d’education. Les méthodes globales et autres sont tres dangereuses en effet et le lien de cause a effet reste a etablir, il est troublant certes.

  • Oui autisme et dyslexie sont a bien distinguer. Mais dyslexie c est un mot utilisé souvent a tort comme vous le relevez très justement. Dans mon métier, je vois beaucoup d’enfants consideres soi-disant comme dyslexiques ou dyscalculiques, en réalité c’est tout simplement qu’ils n’ont pas reçu à l’école l’enseignemnt necessaire.

  • delphine dit :

    Dans les classes Montessori, ces étranges phénomènes affublés de noms barbares que sont la dyslexie ou la dyscalculie, et j’en passe, n’existent même pas.
    J’en tire mes propres conclusions… Ne serait-ce pas au système classique qu’il manquerait une case [à cocher] ?

    Delphine

    • Bonjour Delphine.
      Je me permet juste de répondre quand à votre commentaire.
      J’ai 4 garçons, tous étaient scolarisés dans un école Montessori depuis tout jeune, jusqu’à il y a quelques semaines (entre 5 et 8 années selon les ages).
      J’ai le regret de dire que j’ai un enfant « diagnostiqué » comme dyslexique. C’est à la maison qu’il est à présent avec l’ensemble de ses frères.
      J’aime et j’adhère encore à cette merveilleuse méthode Montessori, à condition qu’elle soit correctement pratiqué.
      Il y a tout un état d’esprit, une philosophie derrière cette méthode, qui selon moi demande une recherche personnelle, une ouverture d’esprit, et surtout une véritable disponibilité à l’enfant qui ne peut être offerte dans des classes surchargées.
      Je ne parlerais pas donc pas d’un manque du système classique( puisque j’ai connu le même manque auprès de Montessori ), mais d’un désir de rentabilité destructeur. On remplie les classes, on oublie l’humain pour entrer dans des systèmes normatifs et rigides. Malheureusement, même Montessori peut en être victime.

      • Caroline dit :

        Ma fille a toujours été en montessori (2-3 et 3-6) puis lorsque dans l’ambiance 6-9 cela s’est mal passé et que ma fille a été diagnostiquée, par de nombreux professionnels de la santé, dyspraxique et dysgraphique, l’école Montessori n’a plus voulu s’adapter à elle…. Etant parent fondateur d’une ancienne école Montessori je peux vous dire que certaines éducatrices montessori AMI refusent de prendre des enfants dys et autistes dans les classes montessori donc ils se retrouvent avec que des élèves qui rentrent dans leur cadre et qui sont faciles !?! Un comble pour une pédagogie qui a été élaborée pour s’adapter SURTOUT aux enfants handicapés, puis qui a ensuite été bénéfique à tous les enfants 😮

  • Un bon diagnostic, posé à temps permet une meilleure adaptation au cas d’un enfant qui présente des difficultés scolaires , et de comportement. Il ne s’agit pas de dire : ce n’est rien, ça va s’arranger, mais d’avoir une pédagogie efficace.
    Les Canadiens détectent très tôt pas mal de cas d’asperger (sorte d’autisme) et les prennent en compte, dans les crèches, à l’école primaire et secondaire. Ce qui permet à ces enfants de suivre un cursus normal sans problèmes et à leurs parents de résister au découragement, car il y a quelque chose à faire, et qui réussit en plus.
    Ceci dit, je suis d’accord avec vous.

    • Albane PROY dit :

      VOUS avez entièrement raison. Le canda est tout à fait en pointe dans ce domaine.

      Ma fille a été aidée par une équipe canadienne formidable, ce que je n’ai pas trouvé ailleurs (même aux USA où je dispose des meilleures assurances et donc de l’accès au meilleurs spécialistes).

      Il faut avoir le courage de le dire, à la connaissance et j’ai beaucoup cherché, seuls les canadiens ont une approche efficace. C’est un fait.

      Bien amicalement

  • Pour sortir des troubles occasionnés par un mauvais apprentissage, à tout âge, il existe des solutions proposées par des logothérapeutes de l’école d’Elisabeth Nuyts. Voir le site : https://www.savoir-apprendre.info/
    Certains enfants, considérés comme autistes, se sont vus retirer cette étiquette après avoir suivi ces méthodes. Bien sûr, un véritable autisme n’est pas concerné par cette thérapie. A lire : « Dyslexie, dyscalculie, troubles de la mémoire, préventions et remèdes » d’E. Nuyts.

    • Oui, nous sommes en effet sur la même longueur d’onde, d’ailleurs nous exposons les conclusions de nos travaux sur notre page consacrée à la Dyslexie et qui porte le sous-titre « Disent-ils vrai ? »: peut-être l’avez-vous lue ? Merci Cécile.

  • Je suis à fond dans ce probleme, je regarde cette video et me dit que on fait pas assez pour les parents dyslexiques alors les enfants aussi se retrouvent avoir le probleme.

  • Amédée dit :

    Autisme, dyslexie, c’est la question. Merci beaucoup de ce vigoureux coup de volant, en droite ligne jusqu’ici j’étais ballotée entre les spécialistes qui me disait tous que mon enfant avait un probleme et puis j’entends dire que ce n’est peut-etre pas l’enfant mais l’école qui a un souci de méthode. Et là paf je tombe sur votre site qui le dit mieux que moi, ça soulage énormément. Je souhaite reflechir sérieusement à l’école à la maison.

    • Albane PROY dit :

      Pardonnez moi mais que l’école dit-elle au sujet de votre endant ? Observez vous des »anomalies » ou des comportements curieux à la maison ? Les psys vont vous répondre en majorité qu’il souffre d’un problème de la sphère autistique. Ce qui ne veut RIEN dire. Je suis maman d’une petite fille qui a réellement un problème (c’est rare) et en France personne ne m’a aidée. Nous avons vu des dizaines de spécialistes qui préconisiaient tous des solutions différentes, voire opposées, et où personne n’espérait vraiment de progrès. Sur ce point, rassurez vous, des solutions existent pour l’aider à progresser. Ou pour valider l’idée souvent proposée par Cécile et Rémy que le problème ne vient pas de l’enfant ce qui esr très souvent exact.
      Je vous assure avoir entendu des spécialistes français à peu près tout et n’importe quoi. Y compris que j’étais à la source du problème de mon enfant (car je lui répondais lorsqu’elle me posaait des questions) et que l’enfant ne communique pas par la parole avant l’âge de 18 ans. Même une psy était hautement toxique pour elle. En gros il fallait que je la laisse « souffrir à l’école » en la scolarisant avec des enfants de son âge (alors qu’elle est précoce de l’avis de…. toutes les autres personnes). Quel est en fait le problème de votre enfant ?

      Bien amicalement.

  • Ethanael dit :

    Autisme, dyslexie, des mots qu’on entend de plus en plus, ça n’existait pas dans ma jerunesse on peut se demander en effet s’il n’y a pas une part d’invention dans ce domaine de l médecine scolaire qui entre nous est indépendant et fonctionne sans contrôle sérieux de la part des grands spécialistes de l’enfance et ducerveau.

    • Albane PROY dit :

      L’ennui premier est que les médecins qui se « chargent » deces enfants sont formés pour touver une « maladie » à laquelle on donne un remède médical. Par exemple dans la cas de ma fille ellle A physiquement dans le cerveau la trace d’un problème. Mais il peut se résoudre par une sorte de rééducation ou plutôt par une éducation spécifique. AUCUN médicment ne sait faire cela et les médecins ne semblent pas vouloir comprendr, en France en particuliet, que cerains troubles ne relèvent PAS tout simplement de leur compétence.

      D’une autre façon le milieu médical échoue de façon chronique dans les soins donnnés aux toxicomanes. Parce que ce ne sont pas des malades, mais des intoxiqués (même s’il y a une période assez courte de manque suivie d’une dépendance psychique de lobgue durée). En dehors de maladies voilées par la prise de stupéfiants où le médecin a toute sa place, le problème n’est EN RIEN médical.

      Bien amicalement

  • cheapy girl dit :

    Je suis très touchée par cet article, car nous sommes en plein dedans. Cela fait des années que le corps médical affirme que mon fils est dyslexique et j’y croyais au début, n’y voyant pas malice, mais peu à peu cela a posé d’énormes problèmes pour lui, il a fallu l’accompagner chez des spécialistes qui n’y changeaient pratiquement rien et puis surtout il était comme nous persuadé qu’il avait un problème. Un jour nous avons commenbcé à avoir des doutes en lisant un article et ce que je lis ici me le confirme: mon fils N’EST PAS dyslexique, il a simplement été à une mauvaise école.

  • nous n avons eu ce probleme dans notre famille je pense que chez nous les professeurs ne disent pas que l enfant a la dyslexie ce serait invraisenblable

  • Merci pour cet article qui me perturbe je dois dire, on m’a tellement répété que mon fils était dyspraxique que je ne sais plus où j’en suis, je reconnais que j’ai souvent des doutes sur l’école mais découvrir que l’école est peut etre plus responsable que mon fils me fait un certain effet. Merci en tous cas ca me fait réflechir.

  • Je suis maman de 7 enfants dont la plupart sont grands maintenant.

    J’ai scolarisé à la maison , certains d’entre eux pendant plusieurs années. Les 5 scolarisés à la maison ont tous une bonne situation et très ouverts au monde. Ils sont, pour 3 d’entre eux, à l’étranger.

    Mais si je vous écris aujourd’hui c’est à propos de votre sujet sur les enfants autistes.

    D’abord il ne faut pas en avoir honte, un autiste est différent mais il est loin d’être sot. Il ne répond pas à nos normes, certes, mais il a souvent des dons.

    Nous avons un fils adoptif autiste qui a était scolarisé en milieu ordinaire. Cela n’était pas facile pour les instituteurs, Mais nous avons réussi jusqu’à ses 16 ans, où là, l’éducation nationale nous a demandé de le garder à la maison.

    Notre fils de 8 ans présente, lui, une anomalie génétique qui lui engendre des difficultés au niveau de ses mains, et une petite taille. Il a besoin d’aide dans son quotidien mais est un enfant très intelligent, Il savait lire avant d’entrer en CP. Cela dit, l’école a refusé de le scolariser à plein temps. Nous avons donc pris la décision de le scolariser à la maison afin de ne plus le pénaliser. Il prenait de plus en plus de retard…

    Il ne faut pas hésiter à mettre un nom sur les difficultés, il ne faut pas les occulter. Mais il faut s’adapter à chaque enfant, ce que ne fait pas l’éducation nationale. L’école enferme les enfants dans des cases, (classes) par age. Elle ne cherche pas à savoir ce qu’il est capable de faire, et s’il a des qualités. Elle cherche les défauts. Un autiste peut lire même si vous ne pourrez pas toujours l’entendre (notre fils autiste lit). Notre petit de 8 ans, qui ne peut tenir un crayon, écrit à l’ordinateur ( ce qui lui a été refusé à l’école.).

    Les diagnostiques sont importants pour que les parents et les éducateurs puissent avancer avec leurs enfants en toutes connaissances de leurs difficultés sans pour autant les y enfermer. Avec leurs limites, tout en ayant une ouverture vers un avenir. Le diagnostique est à la fois pesant et soulageant, Car enfin on peut mettre un nom sur des limites et non des incapacités. Ce n’est plus de la mauvaise volonté, mais quelque chose à accompagner.

    Sur ce merci pour votre site et vos conseils…

    Sabine Arduino

    • Rémy et Cécile dit :

      Merci beaucoup Sabine pour ce beau témoignage, vous avez mille fois raison. Votre fils est un vrai, authentique cas. D’autres sont un peu légèrement dits autistes par certains enseignants. Dans les cas authentiques, en effet, vos recommandations prennent tout leur sens. Voilà un commentaire qui apporte !

  • Elisa Trottier dit :

    Ok je poserai ma question ici!

    Un des p
    -Dictée
    roblème que j’aimerais avoir de l’aide ces au niveau du français. Mes filles sont dyslexique et tu as écris sur le sujet comme quoi ce n’est pas nécessairement une vrai étiquette.

    Donc je veux bien dire à mes filles: voilà tu es guéris… mais bon maintenant on travail ça comment.

    Cette année, je n’ai pas travaillé très fortement le français car nous avons concentré nos effort au maths (car l’an dernier on a fait le contraire) et avec l’arrivé du bébé ces plus facile pour moi d’enseigner les maths!

    Ceci dit: j’ai trouver ma méthode pour les maths (singapour et malheureusement mes livres sont commander avant que je sache qu’en passant par vous, vous auriez une prime… la prochaine fois)

    Donc pour le français je me cherche encore. Au Québec nous n’avons pas la même grammaire et oui une belle réforme inutile qui appauvrir la langue encore une fois. Alors je cherche une méthode plus tradi. Nous avons fait AED ce qui nous a plus, mais je ne sais pas si je vais le refaire. Comme j’ai la CX9 est-ce que vous trouvez qu’en achetant exemple:
    -le manuel de grammaire
    -Étude de la langue
    ça serait assez complet, ou trop de matière ou pas assez??? Bref une peu de direction SVP

    J’ai feuilleté les manuel que je trouve toujours extrêmement bien fait.

    Merci

  • Oui, la musique metal nuit au développement de l’enfant.

    J’écoute du metal avec régal depuis mon plus jeune âge mais je me rends compte que cela m’a énormément dérangé.

    Article courageux merci.

    • Rémy et Cécile dit :

      Oui en effet, en espérant que vous pourrez vous soigner.

  • Bonjour,

    Merci beaucoup pour cet article, qui j’espère ouvrira les yeux de beaucoup de personnes.

  • sophie pierroux dit :

    Bonjour,
    Ma fille est en cm1 et est épileptique (réfractaire) c’est à dire que malgré les médicaments elle continue de faire des crises (2/semaines). Cette fréquence de crises dure depuis presque 2 ans car avant les médicaments étaient efficaces. J’ai aussi l’impression qu’elle a qq traits autistiques mais pas sur. Bref depuis 2 ans les apprentissages à l’école sont très compliqués + les crises à l’école de plus en plus mal acceptées par le corps enseignant. D’après ce que nous ont dit les spécialistes, cette fréquence de crises (c’est à dire qu’elle a actuellement une activité cérébrale épileptique très active actuellement) va s’arranger mais pour l’instant l’école à l’école est très compliqué je vais la descolariser. Mais j’ai peur qu’a la maison elle n’est pas envie de travailler, je récupère avec elle ses cours car elle est souvent absente mais elle n’en a pas toujours envie
    merci
    sophie

    • Rémy et Cécile dit :

      Gardez-la quelques temps à la maison. Si les crises cessent, alors RETIREZ-LA de l’école.
      Les phrases qui commencer pas « j’ai peur que » sont fréquentes, les peurs n’ont de raison d’être que si vous restez seule. Votre fille travaillera très bien à la maison car vous allez apprendre à lui donner du plaisir en travaillant.

  • sophie pierroux dit :

    j’aimerais avoir vos méthodes svp.
    merci
    sophie

  • Marco1969 dit :

    Bravo !

    Maintenant je vais vous donner le numéro du collège de mon fils et vous allez les appeler !
    Je vous souhaite bon courage !

    Par contre, si l’équipe éducative vous répond ;
    1/ Votre enfant est dyspraxique, il faut une école spécialisée.
    2/ Dyspraxie = handicap
    3/ Pourtant il est très intelligent ….

    Je vous rassure…c’est le discours qu’ils tiennent !

    Heureusement que certains médecins nous soutiennent et ont expliqué à notre enfant la même démonstration que vous venez de faire !

    Alors des questions se posent ;
    Les psychologues scolaires sont ils réservés aux enfants ?
    Le soutien scolaire est il réservé aux enfants ?
    L’apprentissage est il réservé aux enfants ?

    L’enseignant doit il s’arrêter de réfléchir, de se former, d’évoluer pour faire grandir nos enfants « différents » au sein de la communauté scolaire  » ?

    Merci

    • Rémy et Cécile dit :

      Quand une école dit « Votre enfant est dyspraxique, il faut une école spécialisée », c’est simplement qu’elle est… incompétente.
      L’enseignant et le système refusent de se former: c’est plus simple d’étiqueter l’enfant. Hélas.

  • Tout passe par les parents,émotion,mode de vie,fonctionnement..manie:
    notre éducation est que de moitié car l’enfant ABSORBE:FILTRE…il deviendra le « résultat de lui même ,dans son devenir »…il prend,il laisse ….il triera….il y reviendra plus âgé….

    j’aime penser au » non dit »:il y a la moitié de ce que l’on dit à l’enfant
    l autre moitié passe par nos actes: il répète,il copie :c’est le MIMISME..
    L’ enfant parfois est » fénnéant »porteur de ce que l’on lui donne..sentiment PROTEGE(notre amour ) …c’est là qu’il n’a rien à faire:épanoui il invente,va dans l’imaginaire …il GRANDIT dans sa psyché
    UNE vie D’enfant
    Parfois il est rebelle à faire l’inverses de ce que l’on attend de lui,il n’a pas écouté/REBELLE ado..
    et ENFIN QUE se passe t’il dans son CERVEAU?
    LES troubles sont APPARENTS: souci de mémoire,d’attention,d’organisation:assemblage mental…trouble cognitif (dit le médical)
    Ma réponse:FAIRE CONFIANCE en notre enfant
    Mon envie: aussi …… le STIMULER (rejoint votre vidéo:pas d’autiste…)pourtant vous n’avez pas employer ce verbe/est ce volontaire?

    Puis à l’école:
    lenteur d’écriture…CHOC FAMILLIAL mon mari « transfère sur l’enfant (sa jeunesse ):souffrance »
    Ambience de doute,l’enfant dans un climat d ‘insécurité ATTENTION
    Maitresse AGRESSIVE
    ALERTE DERIVE ou pas de chance :dépression enfant /devenant tout petit ….et directrice insignifiante contente que l’enseignante soit partie l’année d’après…trop tard dégâtsSss .

    Ma réponse :je dépose mes enfants à l’ école encore ;c’est une admiration que je porte aux Parents L’ECOLE A LA MAISON (même pour une petite période,ou plusieurs années),avec des activités extérieures pour se mélanger aux autres;

    Ma question:
    mon fils de 9 ans à cette étiquette il est dysorthographique léger dit l’orthophoniste
    je vois une lenteur d’écriture,puis je vois une émotion triste du 1 er jour d’école il ajoute un « e « a son prénom ;puis une mémoire de restitution pas fidèle au texte/comme une non patience,une gêne,un rejet,la poésie par le son chantant cela marche,mais parfois le blanc,le cerveau est débranché;impossible de ne pas bouger les doigts assis sur la table…ne pas se tromper pour faire le cartable rapidement avant de sortir de la classe….
    je ne sais pas ce qui peu être à ma portée pour l’aider?
    financièrement actuellement je ne peu pas faire de stage « apprendre à apprendre « qui sont sérieux et la graphothérapeute me semble un bon accompagnement,et au long terme;je vous demande conseil à mon tour sincèrement pour une nouvelle piste?;un livre?
    le CERVEAU reste encore un mystère,mais si une méthode efficace pour la mémorisation à apprendre dès le plus jeune âge serait la bienvenue,merci
    mon témoignage est pour faire avancer,parents vous n’êtes pas seul,
    merci aux enseignant qui se forment pour leur travail supplémentaire sortant des études ils apprennent encore…
    ce site est un repère bonne continuation à tous, … aux enfants

  • Adélaïde dit :

    Bonjour, je suis tombée sur votre site en effectuant une recherche pour scolariser les enfants dys à la maison. Ma fille a 7 ans et des difficultés à l’école. Après un bilan orthophoniste, le médecin scolaire a décidé de faire des aménagements pour ma fille à l’école, les même que pour les enfants diagnostiqués dyslexiques. Or, la maîtresse ne veut pas les appliquer car, le diagnostique définitif n’a pas été posé, qu’elle n’a pas que ça à faire et pas qu’elle à s’occuper. Elle baisse les bras, laisse ma fille seule dans la classe pendant la récréation ou lui fait faire son travail en retard dans la cour devant les autres élèves. Ma fille est malheureuse et très perturbée.
    J’ai décidé de me battre pour elle et je souhaite explorer toutes les possibilités pour lui offrir ce qu’il y a de mieux pour elle. Je suis très heureuse d’avoir trouvé ce blog.
    Merci.

  • Albane PROY dit :

    Rémy, Cécile lorsque vous dites qu’un enfant diagnostiqué (à la va vite, il existe de rares cas ) autiste en bien OUI, il va montrer des signes qui y font penser. J’ai eu le triste privilège de constater cela chez des adultes, des personnes détenues depuis plusieurs années dans des condition d’isolement extrême type QHS, eh bien le va et viens d’avant en arrière, les fait de chanter à voix basse, d’avoir des TOCS, de présenter une apathie complète suivie d’une crise violente, tout cela fait partie des troubles de l’autisme. C’est le milieu de vie imposé qui créeait les sympt$omes, ces hommes étaient entrés « normaux » tout au moins sur ce point.
    Bien des enfants passent des journées d’hospitalisation de « jour » et ne sont pris en charge que par deux spécialistes dans la journée. Le reste du temps, ils sont parqués dans une salle commune avec les cas les plus divers dont la vue aggrave les symptômes de façon presque mécanique.
    Ma fille a été « secouée » pas très longtemps, nous nous sommes expliquées, d’avoir été contrainte d’être gardée au milieu d’enfants très gravement perturbés, mutiques ou hurlants. J’ajoute qu’elle a toujours été « partante » pour faire des activités avec d’autres (randonnées, soirées pyjamas etc…) et que son rejet du milieu en question est donc spécifique.
    Je suis maman d’une enfant VRAIMENT diagnostiquée hyper active avec trouble de l’attention. Elle change de chaine comme une télécommande si l’on peut dire. Rien ne sert de punir, de gronder ou de se montrer compréhensif, parce que RIEN de tout cela ne marche.
    Non, j’ai suivi une méthode connue au Canada et qui consiste dans le très jeune âge à faire « entrer » l’information « B » puis après le changement de chaine le « A », puis le « BA ». Révélation pour l’enfant, le monde est lisible, il se rassure et ne s’opppose plus à apprendre d’autres combinaisons. Ma fille a « appris » très vite mais UNIQUEMENT avec cette méthode. Ce que je veux dire est que même dans les cas avérés, RIEN n’est perdu. Par exemple, en ce moment elle n’apprécie pas vraiment les cours de géographie (il faut dire que pour la cinquième nous vivons dans les poubelles, les fronts pionniers d’amazonie et autres comparaisons entre des populations qui n’ont pas assez de points communs pour cela. Ah si, la dernière fois nous avons fait la pauvreté dans le monde (version fortement politisée). Donc, pour la conduire à la table de travail je sais que deux solutions sont possibles. Faire comme tout le monde, maintenant nous allons faire un peu de géographie, il faut ouvrir le livre à la page 45. Dans mon cas ce sera des pleurs, des crises de colère et une frustratiion qui fera perdre une bonne heure. Si en revanche je la prépare, tu sais, nous avons pris un peu de retard sur la géographie, alors il va faloir faire deux devoirs cette semaine. Le lendemain, tu es forte en math (elle aime bien), c’est parfait, mais demain il va falloir attaquer la Géographie. Tu choisis le matin ou l’après midi ? Ayant le sentiment de choisir et ayant été amenée à accepter la nécessité du devoir, il faut moins de cinq minutes pour commencer la leçon de façon efficace. Plus les enfants sont petits, plus ce type de ruse sera nécessaire. Aujourd’hui, elle jongle avec les impératifs du moment et tant qu’elle ne prend pas de retard marqué, je la laisse faire. C’est cela aussi les préparer à grandir, les laisser, quand cela est possible avoir une action et une responsabilité sur le travail à fournir.
    De plus ces enfants sont TRES sensibles aux appréciations des correcteurs (cette année nous n’avons que des dames) et le bulletin de note portant la mention « Très bon trimestre, travail soigné, bravo ! », a été pour elle une vraie récompense en elle même. Ces éloges sont à elle et non à moi seulement, car le soin pris pour la présentation et le souci de faire bien relèvent de Sa volonté.
    Est-elle distraite ? OUI ! Est-elle peu capable de retenir les leçons ? NON ! Elle s’est habituée à utiliser des « trucs » et des « astuces » qui lui permettent d’être fière, comme toute élève appliquée de son travail. La mise en place est TRES pénible, mais une fois la méthode comprise, elle avance, « presque » comme tout le monde. Et la différence même entre elle et d’autres n’est plus une souffrance car elle sait jouer de sa mémoire flash comme personne !
    Nos enfants ont très souvent des points faibles montés en épingles et des points forts méprisés voire niés par l »école actuelle. Dans ce cas comment espèrer qu’ils s’épanouissent ?

    Bien amicalement

  • véronique dit :

    Bonjour . Mon mari et moi sommes très tentés par l’école à la maison et notre fils de 10 ans est partant .Le ic concerne le second qui a pendant plusieurs années souffert de troubles autistiques ( régressif : à partir de 2 ans ) . Après un redoublement de sa grande section , nous lui avons évité l’affectation en CLIS et il suit à ce jour un CP normal ( avec 15 h d’auxiliaire de vie ) . Je n’ai donc rien contre notre école et son institutrice, qui le porte , mais je veux VIVRE avec mes enfants , être là pour eux durant les quelques années durant lesquelles nous allons vivre sous le même toit , leur donner le meilleur .
    Hormis le fait que notre fils ( 7 ans1/2) est toujours gêné par quelques troubles , mes questions portent sur les ennuis que l’administration pourrait nous chercher vu que son cas est suivi par la MDPH , qu’on lui octroie une allocation ( et à moi aussi) , qu’il dispose d’une auxiliaire de vie scolaire et d’un SESSAD ( éducatrice qui vient à l’école) . Je crois que le risque qu’on nous dénonce aux services sociaux et/ ou qu’on nous supprime les allocations est fort . D’autant plus que nous percevons le RSA et qu’ne assistante sociale nous voit donc régulièrement . Qu’en pensez-vous ? N’allons nous pas au devant des embêtements ?
    Cordialement

    • Rémy et Cécile dit :

      Bonjour Véronique, merci pour ce message. Eh bien, quelle avalanche d’interventions, quelle foule d’intervenants !
      Vous savez, votre fils n’avait aucun trouble avant d’aller à l’école. Pourquoi ?
      Il va vous falloir choisir: votre enfant ou le programme qu’on a décidé pour lui. Mais nous tenons à vous le dire: le problème ne vient pas de votre enfant. L’enfant ne fait que refléter ce qu’on lui a donné. S’il y a trouble, ça ne vient pas de ses hormones; cela vient de ce qu’on lui a donné.
      Si vous choisissez de vous occuper de lui, comme des milliers de parents qui aujourd’hui se rendent compte des choses et qui sont venues avec le même propos que vous, vous devrez renoncer à certains de ces avantages. Qui n’en sont pas en réalité et nous vous expliquerons pourquoi.
      « Je crois que le risque qu’on nous dénonce aux services sociaux et/ ou qu’on nous supprime les allocations est fort  »
      On peut vous dénoncer où l’on voudra, ça n’a aucune importance. Les allocations familiales sont intouchables. Suivez bien les démarches pas à pas que nous décrivons.
      Le RSA n’a aucun lien non plus. Vous perdrez ce qui est relatif à ces accompagnements plus ou moins qualitatifs: MDPH etc.
      Le seul embêtement que vous risquez, c’est la peur. Il n’y a rien devant vous car la loi est pour vous: vous choisissez le mode d’éducation que VOUS voulez.
      Voyez aussi cette page: https://l-ecole-a-la-maison.com/avez-besoin-navez-pas-besoin/

  • Bonjour à tous.
    Ayant avec mon épouse pris la décision de pratiquer l’école à la maison pour notre fils Evan (11ans), nous avons fait part de nos intentions à la pédopsychiatre du CMPP qui suivait Evan depuis quelques mois.
    En effet, au cours de son passage à l’école primaire, Evan est devenu de plus en plus ingérable. Il éprouve de grandes difficultés en classe et est très suvent en conflit avec les autres entants qui l’on pris pour tête de turc. Les difficultés n’ont fait qu’empirer et un jour, mon fils a fait l’école buissonnière toute une journée, sans d’ailleurs que l’école ne nous informe de son absence.
    Donc, depuis son entrée en 6e, il était suivi en CMPP . Les ennuis rencontrés en primaire n’ont pas tardé à réapparaître de plus belle . Le collège n’a que des sanctions à infliger à mon enfant, seul solution à leurs yeux pour le « remettre dans le droit chemin ». A la maison, Evan explose souvent en colères ou en pleurs, il se sent bon à rien et nul, comme il dit.
    J’ai mis du temps, mais ai fini par comprendre la situation dans laquelle il était et ai donc décidé de m’occuper moi-même de son éducation.
    La pédopsychiatre à eu du mal a accepter , car j’ai l’intention d’arrêter aussi le suivi, qui n’a jamais rien apporté à mon fils, mais au contraire a renforcé son sentiment d’infériorité.
    J’ai résisté ses arguments, mais j’ai peur que mon épouse fasse machine arrière, car la pédo à réussi à semer le doute en elle sur le fait que mon fils à un problème . Selon la pédo, il faut différencier les problèmes scolaires et psycho. Je ne suis pas d’accord, tout est lié.
    Si vous avez des arguments pour convaicre ma femme, je suis preneur. Je ne céderait pas. les vacances de février arrivent et je ne remettrai pas mon fils à l’école, ni au CMPP.

    • Bonjour,
      Je viens tout juste de déscolarisé mon fils de 11ans, en difficultés scolaires depuis la maternelle. Les professeurs le considérant comme un enfant immature, perturbé, insolent, … Cela a laissé des traces. Il est en train de devenir le profil type du futur délinquant (insolence, vol, exclusion, …) Il manque de confiance en lui, il a consulté des spécialistes (pédo psychiatre, orthophoniste, psychologue, …) pendant des années, sans résultats, rendez-vous pris sur les heures de cours, ok ça le soulage sur le moment mais sur du long terme ça renforce l’idée; c’est lui le problème. Je sais car je lui ai bien souvent renvoyé cela car je voulais qu’il y rentre dans cette case!!! En le déscolarisant, je reprend ma responsabilité de parent, d’éducateur car l’école est en train de le détruire.

  • Pour commencer,
    Merci à Rémy et Cécile de leurs bons conseils. Parents SOYEZ PRUDENTS. Il ne m’appartient pas de vous dire si vos enfants nécessitent un suivi médical « psy »ou non.
    Ne prenez JAMAIS contact avec un hôpital type CHU où vous risquez la dénonciation calomnieuse alors même que vous vous présentez de votre propre chef. Si vous le faites, payer le bilan et inscrivez vous sous un faux nom et une fausse adresse. (ce sera moins cher que l’avocat plus tard)
    Pour avoir attendu 8 mois un rendez-vous que j’ai demandé à déplacer pour être reçue le même jour par un autre pédopsy que SANS avoir vu ni moi, ni ma fille j’ai été signalée enfin ma fille 9 ans en 6ème (avec bilan très favorable de l’académie), comme enfant en péril immédiat.
    J’ai eu moi la chance de trouver une CMPP où tout se passe merveilleusement bien, les pros sont bienveillants et me médecin parle avec sa patiente, gaétane, en consultation au lieu de l’ignorer au profit de sa mère qui elle, ne vient pas consulter.
    Mais si vous devez attendre un peu plus, soyez évasif sur la raison du rendez-vous demandé, ‘offrez’ vous le privé avec dépassement d’honoraires. En attendant, les conseils de Cécile de Rémy viennent à bout, avec l’aide des cours de la grande majorité des problèmes.

    Je suis de qu’il convient d’appeler une « notable », une personne qui n’ a pas de passé pshchiatrique, ni judiciare, par plus que de problèmes de drogues ou de beuverie. J’ai même cessé de fumer quand j’ai été enceinte de ma fille, et je n’ai jamais repris.
    Eh bien, j’ai été présentée devant le juge des enfants. Sur deux rapports celui de l’aliéniste qui veut la placer sous neuroleptique, psychothérapie , et je crois psychomotricité le tout devant durer une journée par semaine pour deux rendez vous de 45 minutes. Le reste du temps, l’enfant est supposé « jouer » avec d’autres patients. Seulement ce ne sont pas des jeunes ordinaires. Des gosses les pauvres qui hurlent, frappent, se mutilent, se déshabille en public. Résultat au bout de 6 jours de « bilan » ma fille revenue plus tendue, angoissée et inquiète que jamais, se sentant presque « trahie » par les adultes qui ne voulaient pas lui parler et même un peu par moi qui lui imposait ce parcours.

    Ma fille selon le rapport s’exprime trop bien, après 10 ans de FICV, il m’a fallu trois immenses journées assaisonnées de tests pour « accepter ce miracle ». J’ai fait un démi de grossesse (écrit en toute lettres). J’ai refusé de trop espérer à 36 ans pendant 3 jours. Je possède une espace allongée. Ce modèle pour les personnes qui ne connaissent pas le concept consiste à proposer 6 ou 7 places assises. Mais les deux dernières diminuent de ce fait le volume du coffre. JE FAIS monter ma fille dans le coffre !!! si si !
    Il est anormal que j’ai découvert mon état dans un pays x, d’avoir commencer les examens sérieux dans une ville z, pour en définitive prétendre que je n’ai pas accouché à l’Ile de Ré ou j’avais choisi d’attendre la venue du bébé ( tout en étant productive dans mon travail par Internet). Je confirme, depuis la création du pont, les futures mamans de ré accouchent et sont suivent à la Rochelle, la clinique du mail à la Rochelle. Alors évidemment vu de la sorte, j’ai une personnalité déséquilibrée. Partout, mais en particulier dans la région ma belle santé financière, les biens immobiliers etc font mauvais effet. Alors que j’ai reçu le Travailleur social de secteur dans la pièce cuisine/salle à manger de ma maison de campagne le décor est encré dans le passé et pompeux. Je vous évite la liste des ordis (5 + 1 portable, imprimantes lazer couleurs (4 ), plaques à induction, four, sèche linge et lave linge. Pour vous donner un idée j’ai voulu m’inspirer en respectant l’ADN de la maison un caractère « anglais » à l’ambiance pub. Comment diable ces personnes réagiraient-elle devant les 200m2 et dont je dispose à Limoges et l’apprtament luxueux de mes parents.
    L’aliéniste du CHU vexé comme un poux que j’exercer mon droit normal à choisir un autre médecin (la thérapie se passe bien mais c’est quelque chose de léger qui l’amusent de toute façon)
    L’avocate de Paris, très impliquée, m’a fait dresse un dossier démontrant les preuves de scolarité (avec des photocopies de son travail à divers âges). Je possède plusieurs attestation de voisin ou de personne entrant régulièrement ici (il faut par exemple faire ramoner nos deux cheminées au moins tous les 6 mois), Un mot d’un livreur en matériel informatique a qui elle parle avec politesse et aime bien lui faire parler ses passions, le lot du facteur. J’ai aussi dû démontrer que ma fille faisait du sport, pratique des reprises collectives, et promène avec on propre grand poney Néo.

    Elle m’a conseillé de ne pas mêler mon passé et mes projets américains. C’est sidérant mais être trop instruit peut se retourner contre moi. Donc je vis de ma « mini » agence immobilière qui gère mes nombreux logements de standing. Le reste relève de ma sphère privée (comme la personne que je fréquente disons bibliquement, mais qui étant mariée souhaite passer un moment agréable dans nulle crainte que j’exige plus’un resto et un petit tour dans mon appartement de Limoges alors que ma fille est à la campagne. L’image des beaux-pères successifs me fait horreur. J’espère comme toute femme rencontrer un jour la personne cultivée, bienveillante et partageant avec moi les mêmes valeurs. Alors que je ferais bon accueil à ses enfants comme ma fille devra trouver sa place auprès de lui.
    A l’audiance, cela a marché ; car, alors que ma fille courrait le risque réel d’être placée POUR SIX MOIS, nous sommes reparties avec quelques expertises et quand même de l’enquête sociale.
    Je pense ne pas me tromper en me considérant comme une personne équilibrée, alors , même si je juge la procédure infâme, je vais obéir. Même chose pour ma fille (malgré un suivi e une mise en place d’une « thérapie » depuis 5 mois.
    Je ne panique pas aisément, mais ne pouvoir rassurer son enfant alors que j’ai toujours observé la loi et elle aussi à travers moi que le fait de m’être arrachée pour non conformisme était possible.
    Tout est mêler et une fois de plus transformer à charge, « Gaëtane » serai « mieux » à l’école. Ce que je redoute c’est que l’on préconise malgré des notes plus que correctes l’entrée de ma fille au Collège. Elle a à peine 10 ans, est douce, apprécie les activités extra scolaires que l’école à la maison permet. Visites, sorties, découverte des grands hauteurs français et étrangers avec une analyse de texte au cours de la lecture. Elle souffrirait sans aucun doute terriblement, que ce soit d’être arrachée à une famille aimante et plus encore de plonger dans les collèges autour de nous ou près d’un enfant sur deux « présente des difficultés de lecture, de calcul simple etc.. Si les résultats sont là, peut-on dénier le droit à un parent d’instruire dans la famille.
    Pour fini le rôle de mes parents 83 ans tous les deux choque. Bien que vifs d’esrpits ils ont besoin de mon aide. Pour le moment, ils vivent « chez moi » (je suis propriétaire de maison de campagne). Nous avion envie de lui offrir une éducation de qualité, dans un milieu stable, avec beaucoup de verdure autour, elle sort tous les jours, va au portique ou encore s’occupe de la cabane en bois faites par son papi.
    Le torchon qui m’accuse déclare et les rôles ne sont pas clairs.
    J’ai en effet signalé mais dans un sens plus lyrique qu’autre chose, que c’est l’habitude chez nous d’avoir en quelque sorte un couple bis (mon Tonton et ma Marraine étaient mes seconds parents) de la façon la plus pure et la plus enrichissante.
    Là encore on m’accuse de présenter son papi en entretenant des confusions scandaleuses comme papi-papa. Mon pauvre père, ancien chef de bureau directeur associé de KPMG dont la rectitude morale est absolue le vit TRES mal.
    Non, je n’ai pas installé à la maison un homme « provisoire » pour être un « papa » ou passage.
    Des démarches sont en cours aux USA (nous n’étions pas mariés) pour faire reconnaître ma fille dans ses droits (il faut savoir que de ce côté il n’y a pas de famille connue)
    On m’a fait comprendre qu’aussi longtemps que l’analyse ADN ne serait pas pratiqués pour confirmer la filiation, j’étais priée de me taire (j’ai une armée en guerre pour interlocuteur) L’avocat estime que la procédure pourrait mettre encore deux ans à aboutir, moins si je rentre au USA.
    J’ai donc dit à ma fille qu’elle a été profondément désirée par nous deux et que même si son papa n’est plus là, elle a droit d’en être « fière »
    Ma fille a été déclarée de père inconnu, je n’ai donc pas à me justifier auprès de qui que ce soit. On me suppose peut-être lesbienne et on suppose que ma fille est le produit d’un FIV. Outre que c’est FAUX, en quoi cela concerne-t-il en droit l’intérêt de l’enfant ?
    Nous avons repris les cours depuis le début de la semaine, puisque Gaëtane pleurait et vomissait (jusque dans le bureau de madame le juge, dont la greffière à murmuré qu’elle était « émotive à l’excès »)
    Bon j’ai me dit on obtenu un jugement bienveillant et inespéré, j’admets que j’ai tout de même un peu de mal à réjouir !
    Bien amicalement à tous

  • Jessika Couillard dit :

    Les « dys » sont un véritable fond de commerce. Dans notre ville, les enfants dys sont récupéré directement au collège par une employée qui les amène chez l’orthophoniste pour leur(s) cours de la semaine et qui les ramène ensuite. Les listes sont complètes sur 2 ans car les cas sont suivit dès le CP jusqu’au lycée!
    C’est tout au plus du soutien scolaire remboursé par la sécu et je trouve celà honteux.

  • A Albane.Du bonheur que de lire que finalement l’institution education nationale fabriquerait des jaloux plus que des compétents.Je me rends compte que lorsqu’on entend parler d’autisme de la part des parents ce souvent des gens isolés ou qui n’ont qu un seul enfant alors qu’en réalité, il est vital qu’un enfant communique avec un autre enfant pour assimiler les interactions sociales d’apres moi et bien entendu si le systéme scolaire l’isole il ne peut communiquer.Pour ma part c’est ce qui est train d’arriver à mon fils.Harcelé l’an dernier dans sa classe, nous l’avons changé d’école et là je découvre avec stupeur que le corps éducatif demande aux enfants d’évaluer leur code moral entre eux.Les enfants notent des croix dans un tableau a double entrée avec croix à mettre ou non dans des cases pour gagner la clef du respect, la clef du travail la clé de l’écoute et la clé de l’espace et du temps.Mais puisque mon gran de 9 ans vient d’arriver en Cm1 et bien il n’ose pas mettre une croix dans la case relative au respect quand sa voisine lui a dit qu’il était bête.Et a demandé à sa maîtresse au sujet de sa voisine.Cette dernière a répondu « une telle est gentille » donc Jérémi n’a rien voulu cocher dans cette case.Et de plus m’explique que ses camarades de classe ne veulent pas lui parlerEt tout ça parce qu’il a eu le malheur » d’aller voir la maîtresse pour lui dire que les autres ne veulent pas jouer avec lui.Dés qu’il arrive ils s’eloignent.Donc j’envisage par la suite de l’enlever de l ‘école et de lui faire l’école à la maison,surtout si ça part comme ça.Mais c’est vrai qu’il est compliqué d’être une mère pas mal isolée finalement parce que des copains qui sont là pendant le passage de l’assistant social ou aller à deux parents pour l’inspection académique ça permet de se sentir plus sûr de soi parce que moins isolée

  • bonjour,
    mon fils gabriel a 8 ans depuis un an je me bat pour reconnaître qu’il a des troubles du langages et de l’écrit, je me suis battu avec l’école pour des aménagement et du soutien en lecture et écrit, plus d’ortho et on a réussi a le faire reconnaître dyslexie dysorthographie on a fait avec l’école un dossier gevasco pour une avs, le médecin scolaire, l’ortho et les autres médecins nous soutiennent et on aide notre fils en lui faisant des activités tel que la pêche, le foot il aime aussi travailler le bois avec son père, il ne se sens pas avoir une maladie juste quelque difficultés et ses mieux.
    un enfant ne devrais pas se sentir différent ni être mis a par a cause de difficultés dont il ne peut rien faire .

  • S Sansse dit :

    J ai un problème avec mon fils Je l ai inscrit pour les cours (…) il est a sa 2 eme leçon de français qui est la conjugaison le verbe être et avoir pas le moyen de lui faire faire les verbes il doit chercher tout seul. Je suis désespérée et j ai peur d avoir fait une bêtise en lui faisant l Ecole à la maison car je suis énervée Qu il ne cherche pas à savoir écrire  » tu es » comment faire lui donner toutes les réponses et lui faire apprendre par la suite???? Ou est sa dyslexie

    • Rémy et Cécile dit :

      Bonjour, réponses dans la formation, pensez-vous bien à la suivre ?

  • J ai une niece qui a 10 ans, intelligente mais son gros probleme lorsqu elle a de mauvaises notes, c est qu elle recopie toujours faux et une fois a la maison fait ses devoirs ou en classe faux , est ce un manque de concentration?? Nous travaillons sans cesse avec elle. Avez vous une methode ou une explication a cela merci de m aider. Nous faisons les devoirs a la maison et elle suit tres bien, au retour les notes sont mauvaises. A t elle un probeme?

    • Rémy et Cécile dit :

      Bonjour Leila, il peut y avoir plusieurs facteurs, que nous abordons largement dans l’accompagnement mais avant de se lancer dans des diagnostics complexes, il importe de pratiquer beaucoup et avec une bonne méthode. C’est en effet par la pratique que l’enfant peut vaincre ses difficultés, avec suffisamment de plaisir, d’émulation, de challenge. On y arrive toujours car les cas de ce type sont à la fois très nombreux et pratiquement toujours résolus. Il n’ y a qu’en de rares cas qu’il y a un problème autre. Et même quand il y a un problème autre, la juste pratique corrige l’essentiel du souci. Il s’agit ensuite de faire en sorte que des perturbateurs, comme le manque de sommeil, les écrans ou l’alimentation imparfaite, soient progressivement corrigés.

  • Mandy CHIC dit :

    Bonjour Cécile et Remy merci beaucoup pour cette vidéo de Remy, j’ai du me déplacer pas mal de fois. On cherchait un handicap chez mon enfant parce qu’il ne voulait pas travailler. Il fallait l’emmener chez le psy? Aussi , j’ai arrêté de l’emmener.

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