Plus dur de s’occuper des enfants qu’aller au bureau ?


Assertion qui elle aussi pullule sur le net: s'occuper des enfants serait plus dur. Plus dur de s'occuper des enfants qu'aller au bureau ?

D'autres vidéos de réponse sur la page consacrée aux réponses en direct de Rémy aux questions des parents

Réduisons en miettes cette assertion.

Plus dur de s'occuper des enfants qu'aller au bureau ?

Au moins, quand on s'occupe des enfants, on a moins de chance de se retrouver avec un tueur à la porte de son bureau.

Voir aussi :

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  • Rester à la maison pour s’occuper de ses jeunes enfants est aussi fatiguant que d’aller au travail semble t-il d ‘après divers témoignages. Des hommes aussi s’y sont « collés », mettant entre parenthèses un métier pour lequel ils avaient fait des longues études….Assez vite, cette occupation familiale les laisserait insatisfaits, ils éprouveraient le besoin de s’investir ailleurs en plus, toujours d’après ces témoignages.
    Le travail à la maison qui met la personne un peu à l’écart, ouvre souvent la porte aux réseaux sociaux, ( gourous si nombreux!)… Il peut fragiliser une personne isolée manquant de confiance en elle. Heureusement les enfants grandissent et deviennent autonomes. (Après l’adolescence, vers vingt ans !)
    Un coach est nécessaire parfois pour aider à donner sens à ce qui semblerait un abandon de la vie active.(Un coach plein de sagesse s’entend, comme vous Rémy.)

    • cecileetremy dit :

      « Rester à la maison pour s’occuper de ses jeunes enfants est aussi fatiguant que d’aller au travail semble t-il d ‘après divers témoignages »
      Comme nous le disons, la fatigue n’est pas un critère en soi.
      « Le travail à la maison qui met la personne un peu à l’écart, ouvre souvent la porte aux réseaux sociaux, ( gourous si nombreux!) »
      Dieu merci il y a moins de gourous à craindre, dans la virtualité, que dans la réalité de l’école ! Si vous saviez les témoignages qu’on a ! l’école n’est vraiment plus la même… C’est l’antithèse en fait.

      Amitié.

    • Aurélie dit :

      Merci Paul, car c’est justement ce que je ressens.
      J’ai arrêté de travailler (un emploi de cadre – je suis ingénieur -, bien payé mais qui ne me plaisait plus et que je ne regrette pas, hormis pour l’aspect social) pour me consacrer à donner la vie, malgré un âge déjà avancé. J’y ai mis, je crois, toute mon énergie, toutes mes tripes, toute ma force vitale même, et le résultat est magnifique. Mais j’ai morflé, comme on dit. Moi qui était solide comme un roc, je n’ai, depuis ma grossesse, que des ennuis de santé. Fatigue. Problèmes de sommeil. Impression de ne servir à rien… D’anciennes passions sur lesquelles il faut faire une croix (aviation)… Et effectivement, envie de s’investir ailleurs, de produire, en tous cas de faire autre chose que juste « maman » (sans trouver l’énergie de le mener à bien).
      Et pourtant, Dieu sait que pour rien au monde je ne confierais l’éducation ou l’instruction de ma fille à quelqu’un d’autre. Je n’ai de cesse de lui donner le meilleur, et je continuerai.
      Mais quelque chose en moi est insatisfait. S’ennuie ? Se trouve trop isolé. Souffre de la réputation oisive des femmes au foyer (au passage, l’article si lamentable du magazine Elle, que vous commentez, a peut-être pour seul mérite de redorer un peu notre blason, même si les arguments sont en effet grotesques).
      Et votre vidéo me fait prendre conscience que mes soucis de santé sont de la famille de ceux du burn-out (mes médecins disent : « stress »). A la maison avec un enfant, je ne suis pourtant pas surmenée… Mais 4 ans après, je n’ai toujours pas encaissé mon changement de vie.
      N’est-ce-pas en cela que s’occuper de ses enfants peut être plus difficile que d’aller au bureau ?

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