Les maths, chapitre 1: les fondations et les principes de base (vidéo)


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Même si vous ne faites pas l’école à la maison mais seulement des cours de rattrapage pour votre enfant, ce que nous allons dire sur les maths vous concerne aussi. Si vous suivez ces conseils, 1/ le niveau de votre enfant s’améliorera 2/ il s’en trouvera mieux.[/s2If]

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Aujourd’hui, nous voyons la seconde matière de notre cursus (soyez tranquille, nous reviendrons sur chacune d’elle, pour les approfondir). Nous allons attaquer les maths et en tirer un autre grand trésor. Nous allons équilibrer la personnalité de l’enfant qui a gambadé en esprit durant le cours de français.

Les maths : fondations

Normalement, en CP, l’enfant sait compter. Mais vous pourrez l’aider grâce aux nombreux outils sur le net ou grâce à vos propres trucs: compter en faisant du rangement, en pliant des feuilles etc.

Oui, mais quels outils ?

A vous de l’explorer, surtout en fonction de l’âge.

Pour les CE, l’un de nos outils préférés pour les premières années des maths est celui-ci: ce blog de l’une de nos mamans prof de maths est tout simplement idéal car il se sert notamment de réglettes en bois.

En CE1, l’enfant apprend à additionner, soustraire, multiplier et même à diviser, puisqu’il commence à voir que le pendant naturel de la multiplication est la division (souvent l’enfant demande lui-même « c’est quoi le contraire de multiplier ? », dans le cours de l’année). Donc, à la fin du CE1 il connaît les principes de base. C’est ce que propose en principe aussi le système actuel, mais dans les faits, en France, on commence plutôt à faire des divisions en CM2, ce qui est trop tard.

Pour ces âges, ce témoignage vous intéresse:

Quand j’ai commencé l’école à la maison avec ma fille au début de son CM2, le défi était les maths. Depuis le CE1 elle disait « je suis nulle »! J’ai pris la méthode de Singapour (librairie des écoles), en prenant bien soin de prendre le livre du professeur. Au début, ma fille a été déstabilisée car aux antipodes de l’école alors j’ai tout fait avec elle, le cours, les manipulations, les exercices… Je ne pouvais pas dire « fais ça » et m’en aller… cela prenais au moins 45 min par jour. Puis petit à petit, elle a fait des exercices toute seule. Aujourd’hui en fin 6ème, elle a largement rattrapé ses lacunes et travaille beaucoup plus en autonomie. Je pense que ma présence l’a rassurée et qu’elle a pu prendre confiance en elle.

Plus tard, Griffon sera très bien, jusqu’en 3ème, ensuite vous avez un choix qui regarde toute la liste des cours.

Comment enseigner

Mentalement, les maths sont d’une simplicité enfantine. Il suffit de bien lire et d’y aller pas à pas.

C’est l’enseignant qui a cette fois le plus gros travail. Mais un travail amusant.

Être un détective

Il n’y a pas besoin d’être matheux pour enseigner les maths, pas plus que vous n’étiez obligée d’être prof de français pour commencer à enseigner le français.

les maths inspecteurs célèbres

En maths, vous allez commencer par vous amuser. Vous allez imaginer que vous êtes un inspecteur de police, un Colombo ou un Sherlock Holmes, un Hercule Poirot ou un Maigret, vous savez, l’un de ces policiers observateurs, tatillons, passionnés du détail.

Quand je faisais des cours de rattrapage à des enfants en difficulté en maths, je commençais toujours par leur demander quelle est la différence entre un bon et un mauvais inspecteur de police, que fait le bon inspecteur. Ils s’essayaient à me trouver des réponses. Je la leur (…) la suite dans votre accompagnement (cliquez ici) déjà accompagné ? connectez-vous (dans le menu) (en cas de souci, voir la FAQ). [/s2If] [s2If is_user_logged_in()]

Aujourd’hui, nous voyons la seconde matière de notre cursus (soyez tranquille, nous reviendrons sur chacune d’elle, pour les approfondir). Nous allons attaquer les maths et en tirer un autre grand trésor. Nous allons équilibrer la personnalité de l’enfant qui a gambadé en esprit durant le cours de français.

Normalement, en CP, l’enfant sait compter. Mais vous pourrez l’aider grâce aux nombreux outils sur le net ou grâce à vos propres trucs: compter en faisant du rangement, en pliant des feuilles etc.

Oui, mais quels outils ?

A vous de l’explorer, surtout en fonction de l’âge.

Pour les CE, l’un de nos outils préférés pour les premières années des maths est celui-ci: ce blog de l’une de nos mamans prof de maths est tout simplement idéal car il se sert notamment de réglettes en bois.

En CE1, l’enfant apprend à additionner, soustraire, multiplier et même à diviser, puisqu’il commence à voir que le pendant naturel de la multiplication est la division (souvent l’enfant demande lui-même « c’est quoi le contraire de multiplier ? », dans le cours de l’année). Donc, à la fin du CE1 il connaît les principes de base. C’est ce que propose en principe aussi le système actuel, mais dans les faits, en France, on commence plutôt à faire des divisions en CM2, ce qui est trop tard.

Pour ces âges, ce témoignage vous intéresse:

Quand j’ai commencé l’école à la maison avec ma fille au début de son CM2, le défi était les maths. Depuis le CE1 elle disait « je suis nulle »! J’ai pris la méthode de Singapour (librairie des écoles), en prenant bien soin de prendre le livre du professeur. Au début, ma fille a été déstabilisée car aux antipodes de l’école alors j’ai tout fait avec elle, le cours, les manipulations, les exercices… Je ne pouvais pas dire « fais ça » et m’en aller… cela prenais au moins 45 min par jour. Puis petit à petit, elle a fait des exercices toute seule. Aujourd’hui en fin 6ème, elle a largement rattrapé ses lacunes et travaille beaucoup plus en autonomie. Je pense que ma présence l’a rassurée et qu’elle a pu prendre confiance en elle.

Plus tard, Griffon sera très bien, jusqu’en 3ème, ensuite vous avez un choix qui regarde toute la liste des cours.

Comment enseigner

Mentalement, les maths sont d’une simplicité enfantine. Il suffit de bien lire et d’y aller pas à pas.

C’est l’enseignant qui a cette fois le plus gros travail. Mais un travail amusant.

Etre un détective

Il n’y a pas besoin d’être matheux pour enseigner les maths, pas plus que vous n’étiez obligée d’être prof de français pour commencer à enseigner le français.

les maths inspecteurs célèbres

En maths, vous allez commencer par vous amuser. Vous allez imaginer que vous êtes un inspecteur de police, un Colombo ou un Sherlock Holmes, un Hercule Poirot ou un Maigret, vous savez, l’un de ces policiers observateurs, tatillons, passionnés du détail.

Quand je faisais des cours de rattrapage à des enfants en difficulté en maths, je commençais toujours par leur demander quelle est la différence entre un bon et un mauvais inspecteur de police, que fait le bon inspecteur. Ils s’essayaient à me trouver des réponses. Je la leur jouais.

Je mimais le policier qui débarque avec ses gros sabots, qui touche et renverse tout. Qui s’accoude au bar où l’assassin a pris un verre, piétine des preuves et néglige des indices. Les enfants rigolaient. Je refaisais la scène, cette fois différemment. J’entrais prudemment sur la scène de l’assassinat, je regardais où je mettais les pieds, je regardais tout lentement, j’écoutais, prenais tout le temps nécessaire et relevais chaque élément pour mon enquête.

Les enfants trouvaient la réponse à tous les coups, même les touts-petits*.

Ils avaient compris ce que c’est que de faire des maths.

C’est ce que vous allez apprendre à faire à votre fille ou votre fils ! C’est d’une simplicité enfantine. Il n’y a pas besoin d’imaginer, pas besoin d’inventer, il suffit d’observer.

Observation, concentration

On va travailler la concentration. On va permettre à l’esprit des maths d’entrer dans l’esprit de l’enfant et d’y installer la concentration d’abord.

Vous allez apprendre à votre enfant à observer, ce sera un préalable aux maths. Vous mettez des objets sur une table, ils les observent, puis vous lui demandez de se retourner, et vous déplacez deux objets. Il doit deviner lesquels. Par exemple, ou autre chose qui vous plairait. Il va s’amuser à observer, il fera un bon début de matheux.

Vous demandez à l’enfant où vous voyez tel objet, telle forme de telle couleur: il doit le retrouver en observant partout autour de lui.

Pourquoi ne pas rebaptiser le cours ? le cours de maths peut devenir le « cours d’observation » ou le « cours d’enquête policière. » « Aujourd’hui, on fait cours d’observation » est plus attractif que le ténébreux « on va faire des maths. »

Vous allez apprendre à l’enfant à lire, et lire en maths, c’est lire un énoncé. Chaque mot compte. Tout est là. La seule chose, c’est qu’il manque des éléments pour accéder immédiatement au résultat. Il y a des « blancs ». Il faut donc poser les éléments. Ne pas aller plus loin, ne pas spéculer. Prendre le temps de poser les éléments, de bien se les mettre sous les yeux.

Quand il y a un « blanc »

Quand il y a un blanc, on s’arrête. La plupart du temps, c’est que l’enfant ne remarque pas un élément ou ne le « réalise pas » dans sa tête.

Quand vous faites du calcul mental et dites « 3.000 divisé par 1.000 ? », il ne voit pas qu’il y a 1.000 dans les deux chiffres. Au lieu de dire « tu ne vois pas qu’il y a tout de suite quelque chose à voir ? », dites-lui plutôt: « Entends-tu deux fois le même son ? » Comprenez ici que le son « mil » ne signifie rien pour l’enfant qui ne pense pas au chiffre, il pense que ça peut être un homonyme. Comme dans « j’ai mis le fromage dans le frigo ». Ou comme pour vous, étant petit, une « Deux Chevaux » ne voulait pas dire qu’il y avait deux chevaux. Il a peur de dire une bêtise et donc efface inconsciemment la piste qui pourrait être juste.

Vous voyez donc que votre question est cruciale. Une bonne question. Pendant qu’il cherche, cherchez vous aussi la bonne question à poser.

« A quel moment tu ne comprends plus ? » « Quel est le mot ou les mots que tu ne comprends plus ? » « D’accord, tu comprends les mots mais tu ne vois pas comment tu pourrais résoudre. Changeons les données et prenons de plus simples… »

Patience

C’est compliqué de rester patient. Il y a des fois où on l’étranglerait. Parfois, on crie. Ce n’est pas dramatique, mais il vaut mieux inviter l’enfant à reprendre le raisonnement autrement.

Par exemple, apprenez-lui en calcul mental à reconnaître les chiffres: pairs, on peut les diviser par deux (qu’est-ce que pair ? c’est le dernier chiffre uniquement qui compte); multiples de 3, l’addition des chiffres et l’addition des chiffres de l’addition est multiple de 3. Exemple : 39 3 + 9 12 1 + 2 3. Etc (le cours vous donne les éléments).

Illustrer pour comprendre les maths

Vous vous servirez des objets, au début du calcul mental: allumettes, voitures, boîtes, cubes, bonbons etc.

Même plus tard, lorsque vous faites des maths plus compliquées, illustrez. Vous illustrerez autant que nécessaire avec des dessins, des schémas, car la représentation visuelle est d’une grande utilité dans cette matière abstraite.

Ensuite seulement, on va se demander quel principe peut conduire de l’un à l’autre, quel point ils ont en commun: de quelle manière ils se mesurent, comment on les agence, on les compare, on les rapproche etc. On va chercher quelle est l’action à faire, l’action qui n’est pas demandée dans l’énoncé mais qui est le moyen de répondre. Le principe qui permet de les utiliser pour résoudre une énigme. Dans un énoncé, il y a un invisible qu’il faut découvrir.

Première étape cruciale

La première étape d’observation est évidemment cruciale car sans une bonne lecture, l’erreur est assurée. Comme le suggère Henri, qui sait de quoi il parle dans l’un des commentaires, « Il faut insister sur le fait qu’un raisonnement juste entraîne un résultat erroné si les prémisses le sont (si le détective a mal relevé les indices, par ignorance ou mauvaise foi) ». Le moment venu et quand il aura acquis cette conscience de ce qui est faux et de ce qui est vrai en maths, montrez à votre enfant comment on fait pour se tromper, faites-lui la démonstration d’une mauvaise observation ou d’une mauvaise lecture. Laissez-le vous corriger.

La seconde étape consiste à se poser la bonne question, et elle dépendra de la manière dont vous aurez familiarisé l’enfant avec elle. Il s’agit évidemment toujours au départ de mettre en pratique un principe qui répond à une question. Comment calcule-t-on la surface d’un rectangle ? Il le sait parce qu’il l’a fait. De nombreuses fois. Vous lui aurez fait faire des tas d’exercices, jusqu’au moment où il sait complètement, que c’est un jeu d’enfant pour lui. Les maths, c’est de la pratique avant tout.

Cette pratique et cette connaissance intime des premiers principes lui permettent d’aller vers les suivants.

Le raisonnement

L’esprit des maths va ensuite faire pousser la logique chez l’enfant. Les maths sont l’apprentissage du raisonnement, sans lequel aucun propos n’est sérieux. Notre société qui jadis était très cartésienne est maintenant chaotique et le raisonnement a pratiquement disparu, la logique est un peu bannie, on entend des opinions politiques basées sur des comportements privés, on voit des budgets votés sur un enthousiasme sentimental… L’enfant qui sait tenir un raisonnement est la perle rare. S’il a appris à marier sa subjectivité et son objectivité, à associer sa liberté avec une construction intellectuelle valable, alors il va aller loin, très loin.

Vous allez lui expliquer posément qu’une chose qui est vraie n’est pas fausse et qu’une chose qui est fausse n’est pas vraie. Croyez-nous, ça vous semble évident à vous, mais c’est une découverte pour un enfant : le monde des maths est divisible en deux, ce qui est vrai et ce qui est faux. C’est un premier pas. C’est la naissance du discernement. En maths, c’est facile, il n’y a qu’une seule réponse. Si le ciel est bleu, il n’est pas noir. Cela va planter en lui le sens du vrai et de la vérité, et le sens de ce qui est juste.

Soyons donc clairs avec l’enfant, en maths, articulons bien les énoncés. Et pour vous assurer qu’il suit, là encore, faites-lui de faux raisonnements, laissez-le vous corriger.

Pratique du calcul mental

Quand vous démarrez les opérations, pratiquez-le très souvent, au début tous les jours, plusieurs fois par jour même, à toute occasion. Ainsi, vous en ferez régulièrement, jusqu’à une maîtrise suffisante.

Le calcul mental est indispensable. Bien sûr qu’il y a des calculettes et des ordinateurs, mais savoir compter modèle le cerveau. N’oubliez pas que tout travail du cerveau lui est bénéfique. Vous ferez donc faire régulièrement du calcul mental, les cours que vous avez vous le permettent. Nous ne développerons pas plus les conseils techniques, puisque les cours vous disent tout ce qu’il y a à faire. La seule chose qu’ils ne vous diront pas, c’est l’état d’esprit que vous devez avoir.

Ce que vous n’avez pas le droit de faire

En maths, il y a une chose qui n’est pas permise à l’enseignant(e), c’est de laisser un enfant passer une partie du cours sans la comprendre. C’est l’obligation formelle de l’enseignant. L’enfant ne doit jamais se retrouver en situation d’impasse, sinon il cultive une mauvaise image de lui-même et un dégoût des maths. Donc, on fera des exercices et on en refera jusqu’à ce qu’il comprenne et s’approprie le mécanisme. Il importe peu que vous preniez du retard, mieux vaut tout arrêter que de passer à autre chose sans avoir compris. Une incompréhension en maths a détourné plus d’un esprit d’une carrière matheuse, et une stupide négligence d’enseignant peut fait perdre une vocation d’ingénieur.

Si toutefois il y avait un blocage, on pourrait essayer de voir si un autre chapitre reprend la même notion sous un autre angle. Dans ce cas, on sautera le pas. Mais on reviendra ensuite immédiatement sur nos pas et on reprendra le fil du cours (si je puis dire).

De même, il y aura des chapitres moins faciles que d’autres pour votre enfant, son tempérament fera un tri, vous veillerez donc à noter dans votre classeur d’enseignant les notions pas tout à fait acquises pour y revenir.

Quelle est la méthode en cas de panne ? Vous revoyez avec l’enfant la notion une semaine plus tard, un mois plus tard, puis deux mois plus tard. Brièvement, mais vraiment, avec deux exercices. Vous verrez, c’est très efficace.

*: Cette technique s’appliquait dans 3 cas: au tout début, lors des crises de doutes lorsque l’enfant se demandait à quoi servaient les maths, et pour les enfants en grande difficulté, complètement perdus.

________________________

Catherine nous écrit:
Merci Rémy,
Car vos conseils en mathématiques portent leurs fruits, J. est à fond là-dedans. Je ne l’avais jamais vu aussi excité pour un cours de mathématiques. Il m’a dit : maman !!! C’est super les mathématiques avec Colombo, la prochaine fois je ferai les mathématiques avec Sherlock Holmes. Il m’a bluffé, alors que je suis attentive en général, il a déplacé un objet, qu’il a pris soin de bien caché, petit coquin! Lorsqu’il a fallu trouver l’objet que le voleur avait dérobé, je voyais bien qu’il manquait un objet à son emplacement, mais impossible de dire quoi. Voyant que je ramais, il a fini par me le dire, je suis restée scotcher. Je vous remercie infiniment de rendre mon petit garçon heureux.
Cela anéantie tout ce que l’on a pu dire sur lui, qu’il manquait d’attention et de concentration. Et qu’il était soit-disant atteint de dys.
Il suffit juste de rendre les choses attractives et cela éveil son intérêt et le pousse à s’impliquer. Il voit maintenant les mathématiques comme un jeu. D’ailleurs, il m’a dit de vous dire : « Rémy ! La méthode de Sherlock Holmes marche trop bien et c’est trop génial, je comprends mieux! Merci Rémy! »
J’en profite pour faire de même, car on s’est vraiment bien amusé, d’ailleurs il n’a pas cessé de dire qu’il avait passé une super journée.  Je vais m’efforcer de l’appliquer pour les autres matières afin que ce soit un plaisir à chaque fois. Voilà !
Amicalement, C

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