Gérer différents niveaux en classe / Un bébé dans les bras


Nous sommes souvent apostrophés par des parents qui pensent

Vous libérer

plusieurs niveaux
Plusieurs niveaux, c'est faisable !

Voilà le but. Car lorsqu'on a des enfants de plusieurs niveaux ou un bébé dans les bras, on a intérêt à gagner du temps pour mieux s'occuper de chacun d'eux.

A priori, plus il y a d'enfants, plus c'est difficile.

Nous allons vous dire une chose: nous avons 7 enfants et ce n'est pas plus difficile que lorsque nous n'en avions qu'un seul, notre première fille. On va donc chercher le contraire: plus il y en aura, plus ce sera facile.

Et avoir plus de temps pour soi. Nous allons vous le proposer. Et cela va vous permettre de mieux vivre et vous consacrer aussi à vous-même, spécialement à ce que vous considérez être votre réussite. L’un des buts de l’éducation est de vous donner de la liberté. On acquiert de la liberté en développant des capacités, et non pas seulement en faisant des choix entre des choses existantes (sujet de philo magnifique !).

Or, quand on a plusieurs enfants, et a fortiori plusieurs niveaux scolaires à « gérer », on est débordé. Sur-engagé, coincé, kidnappé. Certes, on développe des capacités, mais ce n’est pas pour autant qu’on a plus de temps à soi ! Alors quand vous lisez des conseils vous invitant à prendre du temps pour vous, vous fulminez.

Plus il y a d'enfants, plus c'est facile

Vous verrez que plus vous avez d'enfants, plus il vous sera facile de les élever. Quand nous n'avions que Victoire, c'était terrible. Nous (enfin surtout sa maman) la surveillions tout le temps, nous nous inquiétions d'un rien, dès qu'elle toussait, ou rendait, ou ne mangeait plus, ou ne s'endormait pas. Elle occupait 18 heures sur 24 de la maman. Que s'est-il passé à l'arrivée de Gauvain ? Ils ont occupé 18 heures sur 24. A deux. C'est-à-dire que chacun d'entre eux prenait deux fois moins de temps que la première toute seule. Au troisième, nous étions nettement plus relax, les 3 ne dévoraient qu'une douzaine d'heures par jour. A ce moment-là, nous avions créé notre entreprise d'export, qui nous mangeait toute la journée, donc nous avons dû apprendre à nous occuper plus vite et mieux des enfants. Nous n'avions plus le temps de nous poser des questions autour du landau.

Lorsque le 4ème est arrivé, nous avions en plus pris une activité de chambres d'hôtes avec restauration sur place de produits frais. Vous voyez le tableau ? Il pouvait y avoir une fuite dans une chambre d'hôtes, à l'export un client américain furibard à cause d'un transporteur bloqué, le comptable qui se demandait si on allait finir l'année, un ou deux procès familiaux, le banquier qui nous envoyait des lettres de menace, un enfant malade, un client de chambre d'hôte qui partait sans payer et un client japonais qui exigeait une nouvelle gamme de cosmétiques à laquelle nous réfléchissions en préparant les repas de nos convives. Et toujours nos quatre bambins dans les pattes, qui se faisaient mal, tombaient, se blessaient, se disputaient, disparaissaient 4 heures durant tandis que nous cherchions partout où, sur quelle route, l'enfant avait pu partir sans se retourner, ou dans quel trou il avait pu tomber. Dont l'une tombait dans un bassin, ce que venait nous dire son frère de 3 ans en trottinant et en articulant mal, que nous ne comprenions qu'au bout de 2 minutes "Victoiye é tomée dan yeau" "Hm ?" "Victoiye é tomée dans yeau !" "Attends, je suis au téléphone mon chéri et ça vient de sonner à la porte, dis à Victoire que j'arrive tout de suite", et lui, hésitant, puis "Mais non Victoiye est tomée dans yeau!" et c'est à ce moment-là que je comprends, Victoire est tombée dans l'eau, "Où, où est-elle ?", "ya-bas", et me voilà à soulever de terre le bonhomme et à courir, avec lui dans les bras, à courir comme un dératé, sautant l'escalier du parc d'un bond, affolé, les yeux en larmes, pour trouver finalement ma Victoire bien vivante, ses petits doigts accrochés au bord du bassin en pierre, la tête hors d'eau et pleurant en silence, effrayée. Et si ce n'était cela, c'était autre chose, et tout je crois, mon Dieu oui, tout nous est arrivé. Sauf le pire. Merci mon Dieu.

Le parc de la maison
Le parc de la maison

Eh bien cela, ça se passe, on le vit et on le surmonte. On y arrive. On vit des choses et on apprend, on se nourrit. Nous avons 7 enfants aujourd'hui et c'est beaucoup plus facile qu'avec un seul. Nous voyons de jeunes couples débordés avec un seul enfant: ils n'ont tout simplement pas l'habitude, ils sont débutants, aussi préoccupés (au sens plein du mot, préoccupés, c'est-à-dire occupés par avance, déjà pris !) qu'un jeune serveur débutant dans un grand restaurant. Il y a autant de différences entre un jeune couple avec un enfant et un couple avec 5 enfants qu'entre la passagère d'un cargo terrorisée par la tempête et le vieux loup de mer qui fume tranquillement sa pipe en contemplant le grain. Tout est question d'habitude, et donc de pratique. Nous y revoilà. La seule chose, c'est... ? de s'y mettre, bravo ! Vous allez vous y mettre et ça se fera, et vous apprendrez très bien.

Et d'ailleurs vous n'avez pas besoin de nous pour vous y mettre, vous avez déjà commencé !

Vous ne pouvez pas savoir comment éteindre un feu de casserole d'huile si vous n'avez pas appris, vous paniquez. Quelqu'un qui sait attrape un linge mouillé, le prend aux coins rabattus sur ses mains, s'approche tranquillement et pose le linge sur la casserole; la flamme s'éteint. De même, vous ne savez pas comment gérer un "feu d'artifice d'enfants" turbulents qui se chamaillent et partent dans tous les sens. Quelqu'un qui sait entre dans la pièce, fait deux gestes, tous les enfants le regardent, s'arrêtent, se font attentifs, et la classe peut commencer.

Pourquoi vous raconter notre histoire ? Ce n'est pas pour nous mettre en valeur. C'est juste pour vous rassurer. Pour que vous sachiez qu'il y a toujours des parents qui y arrivent avec 10 fois plus de charges que nous-mêmes, nous en avons rencontré à côté desquels on se sentait en vacances, des parents avec des enfants hospitalisés, qui eux-mêmes étaient malades. La croix et la bannière. Nous préférions notre sort.

En fait, on s'habitue, on apprend, on est plus rapide, plus efficace, plus attentif au fur et à mesure. L'éducation des enfants fait de nous tous des gens très spéciaux.

Voilà pourquoi vous verrez qu'avec 3, 5, 7 ou douze enfants, et différents niveaux, vous y arriverez aussi bien, et peut-être mieux qu'avec un seul.

Bon. Ce qui veut dire que si vous démarrez, vous n'allez pas prendre 5 niveaux différents dès la première année. Vous allez d'abord apprendre.

Et si vraiment vous ne pouvez pas faire autrement (par exemple vous vivez dans la vallée de la Save, au beau milieu de la Haute-Garonne sinistrée, où il n'y a aucune bonne école et personne qui soit capable de vous aider), vous ferez un excellent emploi du temps pour chacun. Que chacun ait une occupation quand vous vous occupez d'un autre.

Ne pas mettre nos inquiétudes d'adultes sur la tête de nos enfants

Passons du coq à l’âne. Vous avez vécu le problème de l’appétit : les parents s’inquiètent d’un manque d’appétit du petit dernier. Il mange moins qu’avant. Heureusement, parce que si un enfant de 5 ans devait manger autant qu’un nouveau-né, il devrait ingérer des centaines de kilos chaque jour. La croyance selon laquelle l’enfant doit manger davantage que ce qu’il mange par lui-même est à oublier. Sachez que l’enfant mange à sa faim. S’il mange moins, c’est que son organisme a moins de besoin. Un enfant, c'est très bien réglé; ça porte les vêtements dont il a besoin et oui, mesdames, un enfant sort en culotte courte et en chemisette sous la neige, il rentrera quand il aura froid (c'est un sujet sur lequel nous reviendrons parce que là, nous nous attaquons à une montagne).

Eh ! bien, ce sera la même chose avec le travail. Tout ce que vous avez à faire est de ne pas écœurer l’enfant, ni de le forcer sans cesse. Vous l’encouragerez, et ça se fera tout seul. Vous le bloquez en vous inquiétant, vous le propulsez en vous décontractant.

Si vous créez une ambiance favorable au travail sans une exigence excessive, l’enfant travaillera à sa faim.

Oui, il faut évidemment lui donner des directions ou même des directives, parce qu'il resterait bien 3 heures allongé dans le canapé. Mais avec un peu d'astuce, un peu d'autorité aussi, on arrive à le mettre en route.

Dès lors que l’enfant travaillera volontiers, gérer les niveaux sera beaucoup plus facile. C'est la première étape, la première victoire. Vous donnez à l'un, avec quelques explications, et il décolle ! Et pendant ce temps-là, vous pouvez vous occuper de l'autre ou des autres.

L'adversaire n°1: la fatigue

Si vous n'êtes pas au point sur ce chapitre: https://l-ecole-a-la-maison.com/heures-de-sommeil-horaires-de-l-enfant. Vous l'avez vu donc on n'y revient pas. Mais c'est fon-da-men-tal: on ne gère pas bien un enfant quand on est fatigué (enfant ou parent), et c'est épouvantable avec plusieurs enfants ! Donc: retour sur cet article, et assurez-vous que vous avez des enfants bien reposés, et que vous vous arrêtez à temps, que vous n'allez pas jusqu'à la fatigue.

Deux (autres) adversaires quand on a différents niveaux : la jalousie et la déconcentration

trente enfants dont certains de différents niveaux

Les deux autres redoutables adversaires du cours à plusieurs niveaux sont par ailleurs la jalousie et la déconcentration. Vous savez ce qu’on a dit de la déconcentration. C’est plutôt une interruption de la concentration dont il faudrait parler. Elle dépend beaucoup de la quantité de sommeil, évidemment.

Faites progressivement travailler l'enfant sur des tâches plus longues. Soigneuses. Démêler des fils de laine, des coloriages complexes, inspecter tout le sol de l'étage à la recherche d'une bille que vous avez cachée... Tout ce qui prend du temps est bon pour la concentration. Et bien sûr la lecture, faites-le lire.

Pour ce qui est de la jalousie, vous (...) la suite est réservée aux membres accompagnés, pour activer votre accès membre, passez par ici. Déjà membre accompagné ? Connectez-vous dans le menu du site (en cas de souci, voir la FAQ)

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  • Bananasplit dit :

    Je n ai pas vu le temps passer, merci beaucoup pour ce regal. Gérer différents niveaux est une affaire délicate et les parents doivent faire attention en effet. Nous, nous avons un système de rotation des tâches.

  • Avec mes 7 chéris même si cette année je n’ai que 3 niveaux à gérer plus un petit bbout de 3 ans qui voudrait participer, n’est pas toujours évident. Votre article me permet de remttre les choses en place dans ma tête.

  • Merci beaucoup de partager tout ces merveilleux conseils et votre expérience personnel. C’est vraiment encouragent.

  • Marie-T et François Yao-Moreau dit :

    De précieux conseils à lire et à relire ! Ils sont aussi très concrets et vont pouvoir servir à nos trois enfants… ! Merci aussi pour votre témoignage !

  • Magnifique ! Et bravo a vous Rémy et Cécile, vous tirez les êtres vers le haut, et la réussite, que dieu vous bénisse. J’ai toujours le sourire quand je vous lis ! Une belle vie agitée et organisée, ça vaut le coup de vivre !

  • Un grand merci pour tous ces conseils et exemples…
    Il est très important, que les choses paraissent concrètes, moi je me lance bientôt, je suis très encouragée par mon mari, qui croit que j’ai tout ce qu’il faut pour mener cette tâche à bien..
    Oh comme j’aimerais en être aussi sûre!
    Il faut dire que je suis maman de trois enfants 3, 4 et 5 ans, débordant d’énergie, explosifs et avec de forts caractères…
    Donc ma crainte est la gestion des trois niveaux différents.
    Avec la foi et vos conseils cette expérience sera riche et grande.

    • Rémy et Cécile dit :

      Bonjour Leslie, la gestion de plusieurs niveaux ne vous posera pas de problème grâce à la formation qui vous montrera comment procéder. Amicalement.

  • Clotilde de Larouzière dit :

    Bonjour Remy et Cecile
    En ce début d’année scolaire je crois que je vais devoir relire régulièrement vos conseils !
    La semaine dernière fut plutôt chaotique… je dois éviter l’approximation car le matin ils sont tous autour de moi en disant « bon qu’est ce qu’on fait ? » L’autre problème est la grande qui voit les petits faire des bricolages et dit « bon je peux arrêter ? Et faire le piquage moi aussi. » Et moi de lui répondre « non tu sais il faut avancer ! Tu es en cp maintenant ! » Bref je pense qu’il ne faut pas paniquer… tout va se mettre en place tout doucement.

  • fabrice lazzerini dit :

    Bonjour, merci pour vos articles, mais quand on regarde vos vidéos et lisons , cela semble simple,… mais en situation c’est plus compliqué!…et on est loin d’y arriver!!…on se découragent!…ce n’est pas facile même quand on applique bien vos conseils car notre enfant n’est pas motivé n’a pas envie de faire l’école!! rien que le mot l’ambiance commence à se faire ressentir….
    c’est dur dur….
    par contre on arrive pas ouvrir le lien pour des conseils d’activités à faire pour les plus petits?…
    Merci et A bientôt espérant réussir positivement!!..

    • Rémy et Cécile dit :

      Prenez le temps, donnez-vous le temps de pratiquer. Si vous n’aimez pas, votre enfant n’aimera pas. S’il n’est pas motivé, c’est que vous n’êtes pas motivé. Ou alors vous ne savez pas le faire passer: amusez-vous, faites-vous plaisir, passionnez-vous pour la matière. Vous verrez, nous en reparlerons. C’est pourquoi nous vous disons: prenez le temps. Nous vous donnerons des trucs progressivement.
      Le lien est mort en effet, nous l’avons supprimé, merci de l’avoir signalé.

  • « Vous le bloquez en vous inquiétant, vous le propulsez en vous décontractant »…j’ai remarqué cela avec l’expérience, quel bonheur de vous voir me le confirmer.
    Excellent article ! Merci

  • Vous avez une approche super intéressante, vos conseils tiennent de votre expérience et semblent tout à fait appropriés, je dis « semblent » parce qu’il me faut les appliquer maintenant.

    Euh! j’ai presqu’envie d’avoir un 2ème enfant…;) et pourquoi pas…
    Il est vrai qu’avec 1 enfant, unique, c’est très prenant. Et il m’arrive de ne pas pouvoir le satisfaire entièrement. Il voudrait jouer, vous savez jouer comme joueraient des gosses de 5 ans ensembles. Holala! je crève, mes genoux ne supportent pas. Me mettre à 4 pattes et rouler et rouli et roula, hou!!! vous avez du le faire ça? moi j’ai failli me casser les cervicales en faisant une roulade sur le lit, je suis tombé sur les fesses comme un coco en lançant le javelot, on peut dire que j’ai fait les 400 coups pour jouer comme. Donc, avoir plus d’1 enfant, ça arrange pas mal.

    Mais, merci beaucoup pour cet article, je sais que de nombreux parents s’en régalent aussi.

  • bonjour a vous
    effectivement de nous raconter votre histoire me fait relativiser ma situation !
    avec 7 enfants vous y êtes parvenu ! allier la vie active ( professionnelle ) , la vie de maman et à présent la nouvelle vie d’enseignante me parait tout à fait réalisable!
    merci de nous motiver et de nous rassurer !!!
    ps (message plus personnel )je voudrai vous envoyer une revue de photos argentiques que nous éditons et réalisons nous même.
    pouvez vous me communiquer votre adresse postale !
    très amicalement
    Célina

    • Rémy et Cécile dit :

      Bonjour Céline, nous sommes en voyage actuellement, mais merci de penser à nous.

  • Nadège Charlette dit :

    merci pour cet article.
    Depuis la reprise, après les vacances de Noël, l’ambiance est nettement meilleure à la maison et mes deux enfants sont très motivés pour travailler. ce qui a changé : « Vous le bloquez en vous inquiétant, vous le propulsez en vous décontractant », tout vient de là!

  • sandrine dit :

    Émouvant… Cela fait au moins 3 fois que je relis pour les bons conseils d’organisation ! Et chaque fois j’en ai des frissons… On ressent et on se sent vivre !
    Ce n’est pas le seul article qui donne cet effet, mais là par rapport au sujet on ne s’y attend pas (contrairement à rencontrer les sentiments de l’enfant, etc.). Et pourtant, c’est celui qui a provoqué le plus ces émotions !

    • cecileetremy dit :

      Voilà qui fait très plaisir Sandrine. Un beau voyage se doit de comporter des surprises…

  • Merci Rémy et Cécile pour vos précieux conseils ! Quelle vie trépidante avec 7 enfants ! J’adore votre enthousiasme 🙂 Pour ma part, je me sens souvent comme une poule sans tête pour réaliser tout ce qui me tient à cœur. Mes journées étaient déjà bien chargées et voilà que je me rajoute le défi d’instruire mes 2 filles de 4 ans d’écart… moi-même ! Organisation – Discipline – Patience – Motivation – Disponibilité etc tout est à reconsidérer pour mener la barque familiale à bon port et un jour à la fois j’y arrive… La parentalité, quelle belle aventure tout de même 🙂

  • Aude GENDEK dit :

    Bonjour Rémi et Cécile,
    Je me sentais débordé avec mes 3 filles 9,4,et 1 an avec 2 niveau à gérer, mais en lisant votre article et avec votre expérience familial je me sens tout de suite en vacances ! C’est vrai que gérer les niveau c’est assez sportif, surtout quand les cours par correspondance sont bien chargés! Mais on prend le pli petit à petit et l’organisation arrive petit a petit…mais c’est sur qu’il est bon d’avoir vos conseils sur ce sujet.merci beaucoup.

  • Bonjour ! Mes plus jeunes enfants sont ados à présent, et je suis grand-mère déjà mais je garde de précieux souvenirs de l’époque des 6 à la maison. Je les ai élevés ! Un au sein, un autre qui joue, le repas préparé d’une seule main, dormir si profondément pour cette si précieuse énergie à déployer le lendemain … je l’ai fait, instinctivement, parce qu’il fallait bien ! A présent, juste 2 ados adorables et volontaires, c est du gâteau ! Alors à toutes les mamans de famille nombreuse, (ou pas d’ailleurs ) , rejouissez-vous, j’affirme que c’est plus facile avec le temps.
    Amicalement
    Marie

  • laure DBJ dit :

    Bonjour,
    Je suis très satisfaite et passionnée par l’apport très riche de votre site et donc de votre travail et réflexion en partage. Commençant tout juste l’école à la maison, (ce mois de septembre 2020) même si je me suis inscrite en février, je ne me suis pas encore beaucoup aguerrie dans l’expérience, mais par contre, pour le moment, sur le choix et la préparation, j’ai énormément avancé intérieurement dans la compréhension des enjeux à la fois personnels et collectifs du projet d’école à la maison, et aussi la conscience du monde qui nous entoure. Que ce soit par votre site ou ‘autres, de qualité, par tout ce que je regarde et qui m’ouvre les yeux encore un peu plus dans de très nombreux domaines évidemment tous reliés entre eux. J’ai la joie de me sentir de plus en plus responsable et qu’on soit nombreux à le devenir, choisissant nos valeurs, les transmettant à nos enfants, et refusant l’oppression, la bêtise et le mensonge sous toutes ses formes. J’ai beaucoup à apprendre avec l’école à la maison et je m’en réjouis. Merci de vous impliquer comme vous le faites, dans vos contenus, avec vos idées, votre humanité, vos élans, votre foi. Le monde se réveille et nous assumons tous, de plus en plus, chacun ou nous sommes, ce que nous pensons et ce qui vibre dans notre coeur. Laure

  • Isabelle P dit :

    Merci beaucoup pour ce partage fort intéressant. J’aurais aimé avoir plusieurs enfants mais je n’ai pu en avoir qu’une. De ce fait , comment gérer une adolescente de 13 ans en cette période de confinement qui ne peu plus voir ses amis (les parents ne veulent pas) Elle aime beaucoup faire les cours par correspondance mais ce n’est pas très motivant toute la journée seule avec sa mère. J’ai tenter de joindre les parents de notre région inscrit sur le site mais hélas pas de suite.

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