Placement abusif par l’Ase


Enlèvement d’un enfant par l’ASE: de plus en plus fréquent. Comment faire pour que ça n’arrive pas

Voir aussi:

Jadis, c’était les gangsters qui enlevaient les enfants. Aujourd’hui, ce sont les Etats. Les Etats occidentaux, européens spécialement, sous l’influence des Etats-Unis gouvernés par des organisations anti-familles. Ainsi, on a environ 100.000 cas par an rien qu’en France ! Monstrueux, non ? Et cela sans réaction du public. Ou presque.

Il nous semble que tout d’abord vous devez avoir vu cette page qui rappelle en résumé les textes de lois qui entourent l’école à la maison et les contrôles.

Nous avons déjà vu quel danger représentait cette organisation, l’ASE, aux mains de ce qu’il faut bien appeler une secte au sein de l’Etat, moult fois condamnée.

Ce genre de choses n’arrive pas aux membres du site car ils sont protégés par la loi. Ils savent ce qu’il faut dire.

18 juin

« Bonjour Cécile et Rémy, bonjour à tous.

Je viens vous remercier pour tout ce que vous faîtes et pour votre belle énergie en connexion. je me suis abonnée en début de mois. J’ai commencé à donner des cours et des révisions à la maison à mon fils J. âgé de 9 ans qui était scolarisé en CM1 dans une école de quartier à côté de la maison. On nous avait dit beaucoup de bien lors de notre déménagement, sur cette école (quand je dis « on », c’est essentiellement le SESSAD ITEP (un centre médico social mis en place par l’état pour les cas des enfants scolarisés et en handicap..J. est atteint du trouble de l’apnée sévère du sommeil chez l’enfant et de troubles de comportement reconnu par la MDPH à 49%). Nous avions donc confiance, malgré depuis, plusieurs agressions et rackets… enfin passons, même si on signale, personne n’en tient compte de nos jours.

Et par expérience, encore moins l’état et l’école. Ils ont d’autres pré occupations. Et donc nous, en tant que parents responsables, nous nous rendons compte de plusieurs faits assez surprenantes et bizarre pour un cerveau humain en devenir. En effet, de nos jours, soit on nous « accuse » de ne pas nous occuper assez ou pas de la bonne manière, des nos enfants, soit on nous « accuse » de trop vous investir et de trop protéger nos enfants , ou d’avoir des points de vues ,un ressenti , différents et de vouloir être libres et acteur de sa vie et d’agrandir sa zone de confort et de vivre avec ce que la nature nous donne sans toujours vouloir tout contrôler et tout détruire….

Je me permet donc, après cette courte présentation, de partager avec vous notre expérience à ce jour de l’école à la maison.

Donc, suite à presque une année scolaire (juste avant que J. ne développe une petite dépression et une angoisse de l’école, voir une phobie, bien qu’il adore aller à l’école et voir ses copains…il stress toujours la veille (maux de ventre, voit des « fantômes », … il a souvent des crises d’angoisses)… Il dit souvent : » Oh non, demain il y a de l’école, je vais encore devoir supporter ma maîtresse… » Sa maîtresse lui donnait des coups de pieds (il a des bleues pleins les jambes) , le poussait contre le mur, le punissait tous les jours de classe en classe… lui disait « tu ne vaut rien, tu n’es rien, tu es un merdeux…. » (J. a fait le test de précocité par 3 fois et il est dit que c’est un enfant précoce.).

Tout a été signalé à la maîtresse (elle dit à l’enfant « de toutes façons personne ne croira ce que tu dis, tu mens. Et tout le monde est d’accord pour dire que tu mens ».). Elle nie tout en bloc et ne laisse pas les gens parler. Elle dit que on en veut à ses compétences , alors que en fait ce n’est que pour bien communiquer , trouver des solutions pour le bien de l’enfant.

Donc après et pendant tous ces péripéties , toutes autant rocambolesques que loufoques , Et au vu de l’état de santé de J. et du danger qu’il encourt si je laisse traîner la situation, Avec le médecin, nous avons décidé de lui faire l’école à la maison.

L’enfant était ravi. Nous avons suivit les conseils de Rémy et Cécile pas à pas et à notre rythme.

Nous avons testé la méthode singapour dans la librairie des cours gratuits, c’est super génial!

Je me redécouvre une âme d’écolière et une forte envie d’apprendre et d’avancer encore plus pour apprendre à m’aider et à aider d’autres personnes dans les mêmes problématiques.

Et on a commencé à faire des vidéos de partages sur you tube et un blog…

Et des révisions. J. était enthousiaste, il en voulait toujours plus. On s’est organisé, on a fait les cadrages nécessaires et J. était d’accord . Il demandait à quelle heure il devait mettre le réveil pour commencer sa journée avec l’école à la maison avant d’aller au lit, se levait, s’habillait et préparait son petit déjeuné, impatient de commencer à travailler avec son cahier et son stylo à la main, impatient et content. Il donnait même des idées et son avis pour qu’on puisse bien avancer ensemble dans cette nouvelles aventure enrichissante main dans la main,un travail d’équipe dans la joie, le partage et la bonne humeur, la complicité, l’amour inconditionnel (Tout ce que nous avions égaré en cours de route depuis sa scolarisation classique). J’ai remercié le divin.

Nous avons eu notre solution et notre moment de bonheur partagé.

J’étais entrain de me concentrer sur le choix d’un cours par correspondance sur ce site,

Et je reçois un appel. Je décroche, un monsieur, le chef de service de l’aide à l’enfance de la SSP de… me dit que je suis « invitée » à me rendre … afin qu’il me remette….

Donc après avoir découvert tous les bienfaits de l’école à la maison et sur le chemin de la guérison,

Je me concentre pour choisir une bonne école par correspondance qui serai bien adaptée à nos besoins et aux besoins de l’enfant.

Et, cet appel, et du monde devant la porte de notre maison.

3 personnes, puis 5 personnes, la SSP, La MDS… et j’en passe… Le monsieur le responsable,chef de service de la SSP qui me tend un papier tout mouillé (orages et pluies violents, alerte rouge, annonciateurs de dangers. Il faut se mettre à l’abri). Et bien non, pas le temps, il faut que je prépare les affaires du petit et il faut faire sortir au plus vite l’enfant du domicile familial, de son domicile. J. pleurait écroulé et paniqué.

Notez bien: ce n’est pas à cause de l’école à la maison que le problème survient, mais à cause de l’école classique. Notez également: cette maman a un SSP, donc elle a été avertie, elle a eu des signes annonciateurs. Il ne faut surtout pas rester sans rien faire dans ces cas-là. Or, elle n’a pas bougé. On a toujours des signes qui annoncent l’événement.

Enlèvement d’un enfant devant sa mère

Voici le contenu du papier:

« Ordonnance de placement provisoire »

« Le procureur de la république près le tribunal de Grande Instance de Meaux

Vu les renseignements recueillis et les pièces jointes,

Vu les articles 375 et suivants du Code Civil,

Attendu que la santé, la sécurité, la moralité ou les conditions d’éducation de :

– C… J., né………

sont compromises en ce que J. est au cœur d’un important conflit de loyauté;

Que de surcroît, J. présente de gros problèmes de comportement qui ont motivé son orientation en ITEP; Que toutefois, Madame C… refuse tout soin pour son fils malgré les préconisations des intervenants ; Qu’en outre, l’ensemble du travail des services éducatifs

est menacé par la volonté de Madame C…de partir précipitamment en Martinique (prévue le 21/06/2016) où aucun inscription n’a encore été effectué pour J.;

ORDONNE que ce mineur soit provisoirement confié à l’Aide Sociale à l’enfance de…. jusqu’à qu’il en soit autrement ordonné par le juge des enfants que nous saisissons ce jour par acte séparé.

Fait au parquet……. »(…)

Et comme le disait A. Einschtein :

« Il est plus facile de désintégrer un atome que des préjugés »

En bref, je me remets doucement de tout ça et je continue à avancer du mieux possible.

Et j’ai pensé : « je vais écrire à Cécile et Rémy pour suspendre mon accompagnement …. »

Dans l’action de cette pensée, c’est comme si ils ont déjà entendu ma demande, voici ce que je lis dans ma boite mail dans un de leur message de suivi :

… « Alors, nous voulions vous dire ceci: même si notre démarche ne correspondait pas à ce que vous aimez, même si vous aviez renoncé à l’école à la maison ou pensiez ne pas aller plus loin, même si d’ailleurs vous n’aviez pas d’enfant en âge, il serait bon de rester inscrit : nous vous enverrons dans les temps prochains, lentement mais sûrement, un énorme ensemble documentaire qui est unique au monde qui abordera des questions sans lien direct avec l’école. »

Alors je maintient mon inscription avec l’école à la maison. Et je fait la prière que le dernier enfant que j’ai mis au monde se porte bien. Je n’ai plus de contact avec lui jusqu’à que….quand..???

Bon courage à tous et je vous remercie pour votre honorable lecture et commentaires.

Cordialement LydieC »

Il y a là un cas magistral

Tout d’abord surtout, ne pensez pas que c’est le fait de l’école à la maison qui amène ce placement, mais une série de dénonciations, de délations qui ont démarré à l’école. Nous le redisons ici, les cas d’enlèvements à l’école représentent 99%, et très rarement l’école à la maison, et jamais quand c’est avec nous. C’est toujours ailleurs qu’à la maison que démarrent les problèmes.

Par ailleurs, il y a eu des signes et cette maman n’a pas voulu les voir. Quand vous avez un appel vous menaçant d’une intervention, appelez-nous immédiatement et, déjà, changez de domicile, même provisoirement. C’est la première mesure à prendre.

En revanche, tant que vous n’avez pas eu un jugement, vous ne devez en principe jamais subir d’enlèvement de ce genre (de « placement », officiellement).

Voyons maintenant la lettre :

« Attendu que la santé, la sécurité, la moralité ou les conditions d’éducation de :

– C… J., né………

sont compromises en ce que J. est au cœur d’un important conflit de loyauté »

Ceci est proprement délirant. Si tous les enfants de parents en désaccord devaient être placés, cela ferait du monde ! L’Etat se mêle de la vie d’une famille, ce qui est entrer ouvertement dans le totalitarisme.

« Que de surcroît, J. présente de gros problèmes de comportement qui ont motivé son orientation en ITEP; »

Affolant ! Le comportement d’un enfant ne peut en aucun cas motiver impérativement un placement tant qu’il n’est pas délictuel, sans quoi cela est associé à de la séquestration ou de la déportation. Où est-il dit qu’un « ITEP », établissement où l’incompétence le partage aux préjugés éducatifs les plus violents, pouvait bénéficier d’une confiance publique automatique ?

 » Que toutefois, Madame C… refuse tout soin pour son fils malgré les préconisations des intervenants »

Hallucinant là encore. Ces « intervenants » seraient donc comme des délégués du Soviet suprême dont la parole serait d’or et définitive ? Où sont les contre-expertises ? Nous connaissons une multitude de cas d’incompétence évidente. Ces intervenants décident donc de la vie et de l’incarcération d’un enfant (ou d’un « placement » ce qui revient à arracher l’enfant à sa mère et le mettre aux mains d’inconnus plus ou moins formés !) Où est-ce écrit dans la loi ?

Cette dame prodigue tous les soins qu’elle peut à son fils, elle a encore le droit de ne pas suivre les indications éventuelles des médecins. Ce n’est pas le cas en l’occurrence.

« Qu’en outre, l’ensemble du travail des services éducatifs est menacé par la volonté de Madame C…de partir précipitamment en Martinique (prévue le 21/06/2016) où aucun inscription n’a encore été effectué pour J. »

Ça, c’est le pompon ! Le « travail des services éducatifs »… déjà est fallacieux, c’est à la famille d’éduquer, pas à un service. Mais leur « travail », c’est-à-dire deux ou trois réunions où le conformisme le plus établi s’impose pour ne pas froisser les carrières, devrait être suivi à la lettre ?

Sauf à supposer que la mère mente et cache des éléments, ce jugement est contraire à la loi et au simple bon sens. Nous n’admettrions de « placement » que si le tribunal excipait de: violences ou maltraitance, absence absolue d’instruction, refus total de la mère de communiquer, désaccord formel du père. Le tribunal ne dit pas cela. Il est DONC DANS UN ABUS MANIFESTE.

Maintenant, inutile d’argumenter sur le fond. On empêche ces placements avant. Contactez-nous en nous disant « j’ai vu l’article sur le placement de l’ASE, je voudrais qu’on en parle », et on s’en occupe.

17 juin 2016

Sur la page Facebook:

Nous avons un nouveau cas qui change beaucoup de choses pour nous.

Nous savons tous que la dictature se met en place, ce n’est plus discutable maintenant.

Des parents – dont l’enfant va à l’école – viennent d’apprendre que leur fille a été enlevée par l’Etat, dans le collège.

Il y a lieu de lancer une ALERTE ENLEVEMENT. Nous prenons contact avec l’OFPRA, ces gens étant des réfugiés.

Leur cas n’est pas si spécial que cela:

– Il s’agit d’un couple remarié, le père naturel étant décédé, de gens venant d’un pays de l’Est. Ils ne travaillent pas. Ils sont en situation régulière de réfugiés politiques protégés par l’OFPRA. La maman est très malade depuis des mois et vient de subir une intervention chirurgicale. C’est le moment choisi par l’Etat pour agir.

Le tribunal de Bobigny a pris cette décision totalement contraire aux Droits les plus basiques. Il argue d’une nécessité de « protéger l’enfant ». L’enfant est parfaitement protégée à la maison, nous connaissons cette famille.

Nous conseillons donc désormais pour les gens dans ce cas:

– Dès lors qu’une assistante sociale demande à vous voir de manière insistante, n’envoyez plus votre enfant à l’école et préparez la sortie du territoire sans délai. Vous ne pouvez emmener d’enfant que si le second parent est d’accord, évidemment, sans quoi vous commettriez un contre-enlèvement. Eventuellement, une fois à l’étranger, mettez-vous sous la protection d’Interpol. Le délai constaté entre la demande insistante de l’assistante sociale en l’occurrence et l’enlèvement a été de deux semaines, vous devez donc faire vite.

Enlèvement d'un enfant, Dérive totalitaire des Etats

– Il est plus aisé pour l’Etat d’enlever un enfant dans un lieu public qu’à domicile, le domaine privé demandant des semaines de procédure. Vous saurez qu’il y a un risque (dépendant de la mentalité plus ou moins totalitaire du tribunal local) en fonction de l’insistance des services sociaux à vous contacter et vous voir. Au bout de trois coups de fil, vous pouvez estimer que vous êtes dans le collimateur et donc :

– Préparez dès à présent un déménagement hors de France, du Canada ou de la Belgique afin de gagner un pays libre (pour rappel, la France n’est pas considérée comme une démocratie mais comme une « démocratie imparfaite » dans le classement international de « l’Indice de démocratie »). Ce qui se passe en ce moment pourrait lui faire perdre encore quelques points. En Allemagne, chacun sait que la dictature anti-enfants est complètement en place (https://reseauinternational.net/allemagne-letat-vole-toujours-plus-denfants-dans-la-violence/). Soyez toujours prêts, vendez vos biens. Nous avons à Londres une maman, ancienne gradée de l’armée française, qui a fui la police française et le tribunal, ayant récupéré son enfant manu militari (à notre instigation, c’est nous qui l’avons convaincue de reprendre son enfant sans attendre). La police londonienne est venue la voir dans les 48 heures, elle s’est expliquée. A la fin de la discussion, la police a conclu: « Ils sont fous, en France » et lui a offert sa protection entière. Interpol a rejeté les demandes de la Justice française, jugées aberrantes.

– Les cas d’enlèvement par l’Etat ne concernaient jusqu’ici en France que les cas où l’enfant était maltraité et/ou sans aucune instruction donnée et/ou lorsque les parents naturels étaient en désaccord sur le choix de l’instruction. Il appert avec ce cas d’école qu’une enfant scolarisée, allant à l’école chaque jour, dont les parents n’ont fait qu’annoncer le souhait de faire l’école à la maison, peut être kidnappée. Au Canada en revanche, avec la tristement célèbre DPJ, coupable de maints abus sur les enfants (c’est en fait une organisation pédophile, n’ayons pas pur de le dire), l’enlèvement par l’Etat est couramment pratiqué. La Belgique suivra la France, comme d’habitude. Vigilance absolue donc.

– Votre priorité, si l’enlèvement a eu lieu, est de récupérer votre enfant par toutes voies moralement défendables, prévues par la loi ou non: la sauvegarde d’un enfant séquestré est toujours prioritaire en droit constitutionnel. Vous alerterez vos amis, la presse, manifesterez publiquement ou choisirez une option plus discrète visant à exfiltrer l’enfant au moment opportun. Nous n’en disons pas plus mais ce moment se présente toujours, l’Etat étant obligé de vous restituer régulièrement l’enfant. Comprenez ce que nous disons là.

– N’acceptez jamais un enlèvement par l’Etat, résistez préventivement par tous moyens à votre convenance. Constituez-vous en groupes le jour où l’enlèvement est prévu. Si l’autorité publique est en minorité, elle reculera. Notez le nom et toutes les coordonnées de chaque intervenant, récoltez le maximum d’informations pertinentes à leur sujet.

– Prévenez les institutions mondiales ou nationales: les divers Observatoires de la démocratie tels que l’Observatoire mondial des droits de l’homme, IDEA, The Economist Group (qui a créé l’Indice de démocratie sus-mentionné) etc., il existe diverses pages Facebook où prendre des contacts (telles que deux pages intéressantes « Democracy International »), l’Unicef (L’Observatoire National des Droits de l’Enfant – Unicef); en Belgique vous avez des équivalents tels que l’OEJAJ. Il y en a des centaines; choisissez les organisations qui ont pignon sur rue et accès aux institutions. Fouillez du côté du Parlement européen, de la Cour européenne de Justice, de l’Assemblée nationale, tapez des requêtes google type « droits de l’enfance », « droit des familles », « appel de décision de Justice abusive ». Les associations sont moins performantes et souvent peu disponibles. Il n’est pas inutile d’aller secouer le Ministère de la Justice en appelant le cabinet du ministre lui-même, il y aura des retombées. Donnez des noms. Appelez les télévisions, elles doivent régulièrement avoir des demandes de ce genre et cela pourrait déclencher une émission. Contactez certains sites dissidents et donnez des interviews.

Nous précisons que la plupart des organismes répondrons d’emblée qu’ils ne peuvent rien mais passez outre, écrivez, relancez, insistez, harcelez (jusqu’au point légal critique), arrangez-vous pour que l’information circule et s’ajoute aux autres. Il s’agit d’obtenir une remontée de ces informations dans les statistiques les plus importantes. Les organisations sont obligées d’enregistrer les communications, l’important est que l’information aboutisse dans le service qui enregistre. Vous recevrez alors un accusé de réception. Muni de ces éléments, vous pourrez alors aller voir les médias, votre avocat etc. Et vous entamerez vos recours, si vous le jugez utile, en portant plainte pour enlèvement et saisirez le Médiateur de la République (étant saisissable dès le départ puisqu’un tribunal a pris une décision et que le médiateur est saisissable après une décision de tribunal).

– Il s’agira à l’avenir de prévenir les réfugiés que la France n’est pas une destination à choisir.

– Nous signalons ce cas aux institutions sus-mentionnées.

– Vous pouvez indiquer ci-dessous les liens que vous connaissez vers les organisations crédibles et indépendantes des pouvoirs nationaux.

Conclusion: au lieu d’instruire paisiblement nos enfants, nous en venons à être un site de défense des droits… Nous accusons l’Etat de tyrannie caractérisée, de viol manifeste de la Constitution et d’atteinte aux droits individuels; et invitons chacun à résister dans les petites comme dans les grandes choses.

La solution ?

Munissez-vous de Stop-Signal, si vous êtes en cours de problème. Si vous avez déjà été jugé, contactez-nous par mail à la page contact.

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