La phobie scolaire que faire ? que croire ? (vidéo)


Phobie scolaire que faire ? que croire ?

La phobie scolaire que vous constatez chez l’enfant est dans toutes les bouches. Un enfant n’aime pas l’école: il souffre de phobie scolaire. Cette affirmation est l’une des plus célèbres tromperies dans le monde éducatif. Qui vient du monde des… labos.

Cela dit, pour relancer les ventes, on évolue maintenant vers « Refus scolaire anxieux », « Refus anxieux de scolarité » ou « Trouble anxieux scolaire »: le tout est de créer du vocable et du jargon pour vous tromper.

Mais commençons par redire ce que nous disons ici: certains signes commandent d’agir immédiatement. Des vomissements, des maux de ventre, des pleurs vous disent: « tout de suite, sans discussion, même si vous ne pouvez pas/voulez pas/souhaitez pas/n’avez pas les moyens/voulez y réfléchir. » En un tel cas, parce que la vie est sacrée, votre enfant passera avant vos emplois du temps, moyens, envies. Nous vous aiderons à y parvenir car toutes vos objections ont déjà trouvé des réponses, des solutions.

Maintenant, analysons. La phobie, c’est une peur. L’enfant a peur de l’école, il n’y est pas bien, il ne s’y sent pas bien. Il souffre à l’idée d’y aller. Pourquoi ?

Avez-vous déjà vu une « Phobie cinématographique », la peur d’aller au cinéma ? Jamais. Alors, pourquoi l’école ?

L’école et bon nombre de médecins peu scrupuleux disent que l’enfant est malade, qu’il a un problème. Le problème est de son côté, en fait. C’est lui, le problème.

Pourquoi phobie scolaire ? Pourquoi une phobie à l’école et jamais au cinéma ?

Est-ce que l’enfant a un problème spécial rien qu’à l’école qui mérite un traitement ?

Phobie scolaire: faut-il un traitement ?

Non. Si l’enfant n’aime pas aller à l’école, c’est qu’il y a un problème à l’école.

Une image trompeuse: la « phobie scolaire » n’est… ni un trouble, ni un handicap de l’enfant: c’est d’abord et avant tout une incompétence de l’école

Donner un médicament à l’enfant, c’est le réflexe. Réflexe malsain. Surtout si ce médicament est un anxyolithique (genre Ritaline), anxyolithique dont il faut rappeler qu’il était réservé aux fous jusque dans les années 50.Anxyolithique qui n’a, au surplus, aucune espèce d’effet curatif, il ne fait qu’abrutir l’enfant et lui abîmer le cerveau.

L’enfant n’a pas besoin de traitement. Il a besoin que son problème disparaisse.

Et, qu’il s’agisse d’un mauvais enseignant ou d’un problème avec d’autres enfants, cela revient au même: c’est du ressort du directeur de l’établissement et des enseignants, c’est eux, les responsables.

Car à chaque fois qu’il y a une phobie scolaire, il y a un problème de compétence. Ou si vous préférez, une phobie scolaire est le symptôme d’une incompétence de l’école; même si cette phobie est due aux autres élèves: l’école est censée empêcher le harcèlement, évidemment, elle est donc là aussi incompétente.

Vous comprendrez donc que lorsque ces gens diagnostiquent une phobie scolaire, alors qu’ils ne remettent pas en cause leur responsabilité, on a le droit de les envoyer promener. N’écoutez pas ces gens qui vous disent: « Votre enfant a une phobie scolaire. »

Un exemple pour comprendre la phobie scolaire

Imaginez qu’on vous mette dans une cave, enfermée, attachée avec une chaine, et que de temps en temps on vienne vous insulter et vous maltraiter; imaginez qu’ensuite on fasse venir un médecin qui vous dise: « Vous avez un problème, vous ne supportez pas cet endroit, vous êtes claustrophobe. Et comme vous n’aimez pas cette cave, vous êtes cavophobe », qu’en diriez-vous ? Vous diriez: « Mais non, ça va pas la tête ? Je vis un cauchemar, je ne supporte pas cette situation. Qu’on me sorte d’ici ! »

Eh bien, cette situation est celle de l’enfant dont on ose dire qu’il a une « phobie scolaire ». En réalité, il n’a rien du tout, il n’aime pas l’école parce qu’il y a un problème, et ce problème relève de la responsabilité du corps enseignant.

Alors que faire ? Eh bien, un enfant qui souffre à l’idée d’aller à l’école, vous ne l’y mettez pas. Vous le gardez avec vous, vous le faites garder, vous faites ce que vous voulez, ça n’a pas d’importance, le tout est de faire cesser cette souffrance. On a davantage besoin d’aller bien que de recevoir de l’instruction, et comme l’école n’enseigne pratiquement plus rien, l’enfant n’y perdra rien.

Ne vous en faites pas pour ce que dira l’administration, vous avez parfaitement le droit de garder votre enfant à la maison. L’école n’est pas obligatoire, quoi que dise la directrice de l’école ou l’inspection académique.

Et inscrivez-vous sur ce site, nous vous donnerons tous les trucs.

Nous parlions déjà de cette prétendue phobie scolaire ici.

C’est un business, comme on le voit ici.

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