[s2If current_user_can(access_s2member_level2)]
[/s2If]
- Voir aussi Les jeux qui aident à la concentration
Les problèmes posés par la concentration, très souvent évoqués
On se trompe quand on pense que l’enfant n’arrive pas à se concentrer.
On a tort de penser qu’on a des problèmes de concentration car en réalité les êtres humains sont concentrés en permanence. Votre enfant est concentré sur ses pensées, il est concentré sur la mouche qui vole ou sur la veine de sa main !
Il est extrêmement rare que l’enfant passe d’une pensée à l’autre toutes les deux secondes. En réalité, il est certes ailleurs, mais quelque part. Sa concentration ne pointe pas sur le bon élément, mais elle existe et cela doit vous rassurer.
Ce que nous devons donc faire, c’est le ramener sur l’objet de l’étude. C’est ce qu’on appelle la focalisation.
1. Débarrasser l’horizon des sujets d’inattention
La première chose, naturellement, est de ne pas laisser d’éléments perturber la focalisation (focus en anglais). Vous supprimez donc télé, radio, vous éteignez le téléphone, vous fermez la fenêtre si on fait les foins dehors (à moins que vous alliez étudier cette activité). Le petit dernier jouera dehors ou dans sa chambre, ou en silence. On ne se mettra pas devant la fenêtre mais plutôt face à une partie close de la pièce.
1bis. Débarrasser l’enfant du zapping
Il n’y a pas que la zapette de la télé, il y a aussi la zapette intellectuelle ! Soyez plus spécifique avec votre enfant, conduisez les conversations à leur terme, respectez des silences qui lui permettent de[s2If current_user_cannot(access_s2member_level2)]réfléchir à ce que vous lui dites. Ne zappez pas. Sans insister lourdement, laissez-lui quand même l’habitude de conclure une discussion. Faites-lui des conversations qui favorisent une attention et une réflexion et qui aient une fin. Ou alors, cette conversation se déroule sur plusieurs jours. Lorsque vous lui faites apprendre par exemple les capitales d’Europe, faites-le durant une vraie séance en une première fois, selon la méthode que nous vous indiquons au chapitre « apprentissage«
2. Pratiquer des activités propices
Pratiquer des activités qui forcent à la concentration est excellent : coloriages, échecs, golf, point de croix, jeux de cartes ou de société, mots croisés, sudoku etc. Les compétitions sportives sont bonnes. Tout ce qui fait réfléchir sur un sujet spécifique. La concentration intellectuelle associée à une posture spécifique du corps est l’idéal: il y a association, ce qui accroit nettement l’efficacité. Et comme d’habitude, donnez l’exemple.
3. Changer d’activité
Ne restez pas tous les jours sur la même activité, par exemple les échecs, ce serait très dommageable pour votre cerveau. Celui-ci a besoin d’irradier dans toute sa dimension et non dans un seul lobe.La concentration a besoin d’une bonne santé universelle du cerveau.
Les jeux intellectuels qui demandent de l’adresse sont très bons, le ping-pong également, le badminton, le squash. Et puis la danse quand elle demande de la précision: tango argentin par exemple, c’est un très bon vecteur de santé mentale. Mais le tout, c’est de varier.
4. L’organe à solutions
Le cerveau est appelé par les Anglo-saxons l’organe à solutions. Pour dire autrement les choses: il n’est pas fait pour résoudre des problèmes. Le cerveau n’aime pas les problèmes, mais il aime chercher des solutions. Donc vous n’allez jamais parler des problèmes en tant qu’objets d’étude mais vous les évoquez en tant que point de départ. Vous ne poserez pas la question « c’est quoi le problème ? » qui n’apporte pas grand chose si ce n’est de la tension. Vous allez concentrer l’effort vers la recherche de solutions.
Pour ce faire, vous allez visualiser la finalité et la situation finale. Puis, vous partirez de là pour vous demander « comment ai-je fait pour en arriver à cette situation parfaite ? »
5. Célébration
Vous allez célébrer à chaque fois les découvertes de solutions, vous allez vous mettre en tête ou dans la tête de l’enfant qu’il a déjà résolu des problèmes. Vous ne lui proposerez pas des problèmes trop ardus, mais uniquement des problèmes qu’il est en mesure de régler, ainsi sa concentration ne sera pas douloureuse. La concentration deviendra un automatisme si elle est un exercice agréable. Célébrer ces réussites va lui rendre agréable le travail qui a été effectué. cela va ancrer l’idée que l’enfant est un découvreur de solutions, pourvu qu’il se creuse la tête.[/s2If] [s2If current_user_can(access_s2member_level2)]réfléchir à ce que vous lui dites. Ne zappez pas. Sans insister lourdement, laissez-lui quand même l’habitude de conclure une discussion. Faites-lui des conversations qui favorisent une attention et une réflexion et qui aient une fin. Ou alors, cette conversation se déroule sur plusieurs jours.
2. Pratiquer des activités propices
Pratiquer des activités qui forcent à la concentration est excellent : coloriages, échecs, golf, point de croix, jeux de cartes ou de société, mots croisés, sudoku etc. Les compétitions sportives sont bonnes. Tout ce qui fait réfléchir sur un sujet spécifique. La concentration intellectuelle associée à une posture spécifique du corps est l’idéal: il y a association, ce qui accroit nettement l’efficacité. Et comme d’habitude, donnez l’exemple.
3. Changer d’activité
Ne restez pas tous les jours sur la même activité, par exemple les échecs, ce serait très dommageable pour votre cerveau. Celui-ci a besoin d’irradier dans toute sa dimension et non dans un seul lobe.La concentration a besoin d’une bonne santé universelle du cerveau.
Les jeux intellectuels qui demandent de l’adresse sont très bons, le ping-pong également, le badminton, le squash. Et puis la danse quand elle demande de la précision: tango argentin par exemple, c’est un très bon vecteur de santé mentale. Mais le tout, c’est de varier.
4. L’organe à solutions
Le cerveau est appelé par les Anglo-saxons l’organe à solutions. Pour dire autrement les choses: il n’est pas fait pour résoudre des problèmes. Le cerveau n’aime pas les problèmes, mais il aime chercher des solutions. Donc vous n’allez jamais parler des problèmes en tant qu’objets d’étude mais vous les ANCHOR évoquez en tant que point de départ. Vous ne poserez pas la question « c’est quoi le problème ? » qui n’apporte pas grand chose si ce n’est de la tension. Vous allez concentrer l’effort vers la recherche de solutions.
Pour ce faire, vous allez visualiser la finalité et la situation finale. Puis, vous partirez de là pour vous demander « comment ai-je fait pour en arriver à cette situation parfaite ? »
5. Célébration
Vous allez célébrer à chaque fois les découvertes de solutions, vous allez vous mettre en tête ou dans la tête de l’enfant qu’il a déjà résolu des problèmes. Vous ne lui proposerez pas des problèmes trop ardus, mais uniquement des problèmes qu’il est en mesure de régler, ainsi sa concentration ne sera pas douloureuse. La concentration deviendra un automatisme si elle est un exercice agréable. Célébrer ces réussites va lui rendre agréable le travail qui a été effectué. cela va ancrer l’idée que l’enfant est un découvreur de solutions, pourvu qu’il se creuse la tête.
Regardez la petite vidéo sur la concentration qui se trouve sur cette page.
Un exercice
Allez sur une page de métronome, puis, au rythme du métronome, demandez à l’enfant de faire un compte à rebours à partir de 10, de 50, de 100. Puis, faites un compte à rebours de 10 en 10, de 5 en 5, de 2 en 2, de 3 en 3.
Si on veut, on peut regarder ça, mais sans obligation: https://jeanreve05.voila.net/concentration/concentration
[/s2If]
Casinos that
The most well-known games are accessible for
Once you have won
Koi is a gambling game where the player guesses the exact colour of a particular card online casino american express by viewing which card it resembles.
the first time, you will be able to cash out your winnings. free on your computer, without downloads or additional downloads. offer random number generators are an excellent method to increase your chances of winning most money.