Ecole à la maison: Combien de temps pour s’adapter ?


Vous avez pris la décision. L'Ecole à la maison, vous vous êtes lancés. Bien. Mais il vous faudra combien de temps pour s'adapter ?

Il semble difficile de retirer son enfant, pour le moins on a besoin d'un délai ? Il faut préparer nos proches, nos voisins, l'institutrice ? Parlons-en.

D'abord ne redoutez pas le regard de vos proches. Que vous preniez la décision aujourd'hui ou dans 6 semaines, leur avis n'en sera pas changé. Cette internaute a raison quand elle dit : « Quant aux réactions des individus de votre entourage, elles sont inévitables et peu vous comprendront y compris votre famille - Seul le bien-être de votre enfant doit être pris en compte ! »

Mais se pose la question: dans combien de temps mon enfant sera-t-il capable d'être un bon élève, après qu'il ait passé par l'école, par la méthode globale etc ?

Il faut du temps à certains parents. C'est leur manière de fonctionner, et c'est très bien si ça marche.

Mais ce n'est pas la seule manière et l'important, c'est que l'enfant ne soit pas laissé pour compte. Aucun de nos enfants n'a eu besoin d'une seule heure pour s'adapter. La question c'est : s'adapter à quoi ?

Imaginez que vous soyez coach d'une équipe de salariés. Vous avez un résultat à livrer dans 2 semaines mais la formation que doivent passer ces salariés prend 6 mois, que faites-vous ?

Cette situation se pose tous les jours. Aux USA, des équipes doivent gagner des championnats avant le délai de récupération, des politiques doivent être élus alors qu'ils sont inconnus, des produits doivent être livrés alors qu'ils ne sont pas encore conçus.

Hm. Pas possible, murmurez-vous.

Combien de temps pour s'adapter ?

Pourtant, vous avez notre promesse que ça se fait tous les jours.

Alors, comment fais-je pour que mon enfant qui ne sait ni lire ni écrire à 8 ans, imbibé de global, sache lire et écrire dans 6 mois ?

C'est le genre de challenge d'aujourd'hui et de demain.

Il y a une solution à cette quadrature du cercle. C'est là que le bon génie du coaching, inspiré de textes fort anciens, a une réponse géniale.

On pense que l'école a eu une influence telle sur l'enfant qu'il lui faudra des mois pour s'adapter. En fait, l'école n'a eu aucune influence sur nos loupiots parce que quand nous avons commencé l'école à la maison, nous leur avons donné de quoi l'oublier instantanément, sans délai.

Si vous avez laissé l'enfant avec le global longtemps, alors il faut un temps pour revenir de là. Mais ce temps est pour vous, pas pour lui, c'est un temps durant lequel vous allez élaborer la bonne méthode. Pas quelque chose de compliqué, non, quelque chose de simple, une stratégie, une manière de faire, un truc, un dialogue etc. Vous allez lui donner ce qu'il peut recevoir, dès le départ, et ne pas exiger ni même souhaiter qu'il soit performant dès le départ.

Ecole à la maison: Combien de temps pour s'adapter, quand on y pense et qu'on ne sait comment faire, à qui il faut s'adresser, si l'enfant va être désocialisé etc. sur https://l-ecole-a-la-maison.com/wp-content/uploads/2013/02/adaptation.jpg

La notion "d'adaptation" qui est souvent évoquée relève de l'idée répandue. Elle signifie "l'enfant doit s'adapter pour être au niveau que j'attends de lui", et c'est une vision qui vous bloque des mois effectivement parce qu'elle pose dès le départ une difficulté: que l'enfant s'adapte. Or, il est un véritable accidenté après la globale, il lui faudra du temps, c'est évident.

Inversons les choses maintenant et disons: nous nous adaptons à l'enfant.

Et ô miracle, l'enfant s'adapte en un clin d'oeil, vous pouvez scolariser un enfant en Chine ou au Japon et d'une semaine sur l'autre, ça ne pose pratiquement aucun problème pour lui. L'enfant est beaucoup plus capable d'adaptation que nous. Dès lors, ne projetons pas nos angoisses sur lui, ne soyons pas dans le doute, ne lui laissons pas comprendre que nous pensons qu'il n'y arrivera pas.

On va lui demander, non pas d'atteindre l'objectif, mais de se mettre en marche avec nous.

Donc, vous pouvez commencer tout de suite, sans délai. Avec une méthode adaptée qui lui permettra de revenir à niveau (celle que nous vous proposons sera parfaite ;-)), le tout c'est qu'on parte dès maintenant de son point à lui.

Ne pas trop se projeter vers le futur

C'est la raison pour laquelle nous ne vous disons jamais : il doit être à la hauteur, il doit remplir l'objectif. Non. C'est comme ces soldats qui se demandent s'ils vont gagner la guerre, c'est absurde et démotivant : ils doivent combattre et la victoire leur sera donnée ou non, cela dépendra notamment de leur engagement. Jeanne d'Arc répondait: "Les hommes se battent, Dieu donne la victoire". On pourrait en tirer : "ne nous projetons pas dans l'avenir en misant sur la réussite, faisons ici et maintenant ce que nous devons faire."

L'adulte aura là encore le plus à faire, il aura du mal à donner la bonne méthode adaptée à ce que l'enfant a reçu auparavant. Et il aura du mal à obtenir que l'enfant soit au niveau qu'il exige parce que l'enfant n'a pas les prérequis et qu'en effet, il lui faudra du temps pour les avoir. Mais s'il prend la résolution de s'y mettre, il obtiendra la victoire. En tous cas il aura fait tout ce qu'il faut pour cela.

Par conséquent, tout enseignement doit être personnalisé, justement, vous allez adapter l'enseignement à l'enfant en chair et en os que vous avez devant vous.

Ce n'est plus l'enfant qui va se plier au programme, à la corporation, à "l'éducation nationale", c'est vous et le programme qui allez vous adapter. Vous aurez un objectif impossible donc vous allez trouver des recettes inimaginables. "Ils ne savaient pas que c'était impossible, c'est pour ça qu'ils l'ont fait", dit le coach.

Soyez souple, adaptatif, adapté

Telle la vague qui épouse la côte et revient sans cesse à la charge, tranquillement, sans chercher à faire tomber la falaise dans la journée, vous allez bâtir votre enfant. Et ça va être extraordinaire.

Vous allez trouver. L'enfant, lui, comme il dispose d'une plasticité cérébrale énorme, il va réussir.

Si on exige qu'il ait les prérequis qu'il n'a pas, c'est le blocage, l'échec scolaire, la dyslexie, la phobie scolaire et tout ce patafar jargonesque inventé pour faire croire que l'enfant a un problème alors qu'il réagit a-bso-lu-ment normalement. L'enfant n'a pas de problème. N'importe quel enfant peut réussir. N'importe lequel.

Les adultes, spécialement les professionnels de l'éducation, les médecins scolaires, les psys etc brouillent les pistes. Ils ne savent pas, ils n'ont pas appris. Ce sont des certitudes d'adulte et d'ailleurs oui, les adultes peinent à s'adapter. C'est davantage pour eux qu'il faut un délai. Ça fait 40 ans qu'on aurait dû adapter le système et voyez: rien n'a été fait ! C'est bien la preuve qu'ils ne savent pas s'adapter. Ils sont fossilisés. Comment pouvaient-ils vous conseiller ?

Un mot encore : Quand vous renseignez quelqu'un sur la route à prendre, une personne qui vous demande comment aller à tel point, vous ne lui dites ni "prenez votre temps avant de partir, c'est trop tôt", ni "c'est trop tard", ni "vous partez du mauvais point". Non, vous lui indiquez le chemin en partant de là où IL EST. C'est la clé.

Thrive Leads Shortcode could not be rendered, please check it in Thrive Leads Section!

  • Très bien. J’ajouterais l’importance de l’Amour! Un enfant qui se sait apprécié a toujours envie d’en donner plus. Un enfant qui aime apprend. Un enfant qui est aimé écoute.
    Si vous êtes frustré ou nerveux, voter pour un congé « maladie » hihihi!
    Vous devez être centré pour bien enseigner à votre enfant. Non pas parfait, mais centré.
    Comme il est si bien dit, c’est à nous , adulte de s’adapter et de suivre l’enfant. Quand une notion intéresse l’enfant, il se met à en parler, à la dessiner, à la jouer et cela est parfait. Ne freinez pas, de grâce, en voulant « passer aux choses sérieuses »! C’est comme ça que l’enfant apprend, par le plaisir!
    Peu importe ce que l’on fait dans la vie, quand on aime, on se souvient. Quand on aime pas, on tâche d’oublier. Sans vous « casser les cheveux en quatre » tenter de rendre votre cours intéressant et pour ce faire, soyez intéressé!
    Bonne chance. À mon avis, il n’y a pas d’adaptation, seulement un temps avant de prendre sincèrement la décision de s’y mettre. Après ce laps de temps empli de question et d’angoisse…
    Tout va bien!

  • Violaine dit :

    Oui c’est important de commencer avec cette idée,j’ai fait l’erreur un temps de faire comme si mes enfants avaient le niveau qu’ils devraient avoir,on saute de tel sujet à tel autre alors que la premiere chose n’est pas acquise…du coup tout le monde pédale dans la semoule,le mieux est de voir ou chaque enfant en est dans chaque matiere et de repartir de là…
    (Pour la réflexion sur jeanne d’Arc je ne crois pas qu’il faille se braquer,c’est juste un exemple ..croyants ou non croyants on peut tirer un enseignement de toute religion ou philosphie..il ne faut pas se bloquer sur des mots ou des apparences sinon on risque de passer à côté de beaucoup de choses enrichissantes non?)

  • Oui partir de là où l’enfant se trouve et bien souvent même sans avoir sauté de classe, l’enfant a des niveaux très différents d’une matière à l’autre et même d’une notion à l’autre dans la même matière… C’est peut-être cela qui est le plus difficile savoir réellement à quel niveau en est notre enfant, pour chaque notion, pour chaque matière.
    En ce moment le soir je lis aux enfants un morceau d’une histoire. En ce moment nous lisons une BD sur la vie de Jean-Marie de La Mennais. C’est un prêtre qui a fondé de nombreuses écoles.
    J’aime beaucoup ce qu’il dit ici : « Les enfants n’ont pas à s’adapter à l’école. C’est l’école qui doit s’adapter à eux, pour respecter leur personnalité, leurs traditions … » Tout l’inverse du programme de nos politiciens.

  • khanfouss dit :

    Bonjour, en d’autre termes il faut penser solution non pas problème, la théorie st simple maintenant il faut appliquer et voici la difficulté

  • Sberna-Dessauges Dominique dit :

    j’aimerai m’inscrire

    • Rémy et Cécile dit :

      Vous y êtes arrivée Dominique ? En page d’accueil.

  • Sberna-Dessauges Dominique dit :

    je veux m’inscrire ! SVP MERCI

  • Très bon article à relire régulièrement pour nous ajuster correctement au progrès de notre enfant!
    un examen de conscience pour les parents et ce au quotidien en somme! merci encore.

  • Très bon article. Cependant j’airais préférais l’avoir en début de formation….!
    Encore merci

    • Rémy et Cécile dit :

      Merci de l’avoir fait remarquer, Fanny, nous l’avancerons plus tôt.

  • tifenn Pilet dit :

    Merci pour ces mots pleins de bon sens!!!! Tifenn

  • Maud Billen dit :

    Merci pour cette article, nous sommes en début de parcours ( 2 semaines) avec 3 enfants (9, 7, 5)
    et un énorme retard surtout pour l’aîné.

    • Rémy et Cécile dit :

      Chi va piano, va sano. Mais va quand même 😉

  • C est vrai que lorsque je ne me fixe pas d objectif avec mon fils concernant son travail ça se passe souvent mieux que lorsque je lui en fixe.

  • bennani amina dit :

    C’est vrai qu’on doit s’adapter à l’enfant car il part d’un point qu’on ne peut réellement délimiter, mais parfois même en partant d’un point concernant la scolarité, il y a beaucoup à faire en termes de motivation et reprise du goût et du sens du travail, certains enfants qui commencent l’école a la maison peuvent partir d’encore plus loin que 0, c.-à-d. non seulement pas beaucoup d’acquis mais en plus même pas l’envie de le faire, et la le parcours est encore plus long, et nécessite comme vous dites de patienter d’y aller pas a pas de ne pas être pressé ni s’alarmer du niveau ou des acquisitions mais encourager juste l’effort d’avoir de nouveau envie d’apprendre et d’aller vers le savoir, nous avons vécu cette expérience avec nos 2filles, aujourd’hui elles passent le bac en candidates libres, avec beaucoup de projets d’avenir, l’envie d’étudier et d’aller le plus loin possible. C’est beaucoup de travail mais u n énorme plaisir et une joie de voir l’évolution et l’épanouissement, il y a encore des réglages sur certains détails mais le gros est de fait..
    Courage à tous c’est plus que possible, il suffit d’y croire fort..

    • ohayon ohayon dit :

      Bonjour à tous,
      C’est tout à fait vrai, nous faisons l’école à la maison de notre fille ainée de 11 ans, ceci depuis seulement 3 semaines. Je constate que je dois travailler sur ma patience, je suis trop pressée qu’elle atteigne un certain niveau scolaire. Je ne dois pas m’alarmer autant …. Merci pour ce beau message plein d’encouragement.

  • Bonsoir
    votre article me réconforter, vraiment tres intéressant
    Merci

  • Manjola Grison dit :

    Tout à fait d accord. C’est bien ainsi que je me suis lancée. Suivre l’enfant à partir de son niveau, éviter de mettre la barre très haut et s’amuser avec lui quand besoin est…!
    Bravo pour votre article

  • Merci pour cette guidance,qui est en fait une déprogrammation mentale
    Nécessaire vers la confiance de soit .ce sera un bon départ pour moi qui n est pas encore
    Reçu les cours.cioa le système.merci bop

  • Ah, la pression du programme…
    En plus, on sait, en tant que parent, quand c’est le bon moment pour apprendre telle ou telle chose. Et quand on enseigne au moment où l’enfant est prêt pour ça, ça rentre comme dans du beurre.

  • Flopyrene dit :

    Je rejoins un commentaire précédent. Notre inquiétude n’est pas tant sur l’adaptation de l’enfant aux cours (nous envisageons précisément l’école à la maison pour permettre un redémarrage en douceur de notre dernière fille à son niveau et à son rythme ce que l’école classique n’est pas en mesure de proposer) mais sur la capacité à pouvoir reprendre un goût à l’apprentissage et à un minimum d’efforts après des années de perte/absence de confiance et d’estime de soi, de mise en place de stratégies d’évitement dans les jeux et la vie quotidienne et d’un rapport à l’école exclusivement mais fortement centré sur les relations avec les copines à la récré et à la cantine…Quand l’idée même de faire une activité induisant un apprentissage est devenue conflictuelle, qu’il n’y a plus aucune motivation, l’école à la maison peut-elle représenter une solution où risque-t-elle d’aggraver la peur de notre fille de ne plus être aimée si elle n’y arrive pas ?

    • Rémy et Cécile dit :

      « Quand l’idée même de faire une activité induisant un apprentissage est devenue conflictuelle, qu’il n’y a plus aucune motivation, l’école à la maison peut-elle représenter une solution où risque-t-elle d’aggraver la peur de notre fille de ne plus être aimée si elle n’y arrive pas ? »
      Tout dépendra de votre manière de faire l’école à la maison. Si vous suivez la bonne méthode, elle libèrera votre fille de cette peur. C’est le type de peur qui survient à l’école et ne peut arriver à la maison dès lors que vous connaissez les trucs pour lui donner confiance en elle-même et confiance dans l’affection que vous avez pour elle.

  • Sabrina Thibaut dit :

    Rassurant cet article,
    merci !

  • stephan sanchez dit :

    Avec courage et motivation nous pouvons sauve les enfants de la médiocrité du système
    merci!!

  • virginie minois dit :

    merci pour ce coaching remotivant et qui est d’une simplicité évidente; a force d’attendre des autres (éducateurs, enseignants) qui n’ont que des beaux discours a nous dire et aucunes solutions a nous donner. on se rend compte qu’on ne ‘créer » ni ne ‘vivons « notre vie mais celles d’autres personnes qui sont satisfaits de leur médiocrité légale. j’ai hâte de lire la suite…..

    • Rémy et Cécile dit :

      🙂 Merci Virginie !

  • clairemnice dit :

    Merci pour cet article fort motivant.
    Effectivement mieux vaut regarder le présent plutôt que vivre dans le futur.

  • mireille schwaederle dit :

    Bonjour,

    Je suis dans la même situation que Flopyrene et ces mêmes questions m’ont taraudées… Je n’ai aucun objectif de résultat lorsque nous travaillons ensemble (ma fille a 12 ans et commence tout juste l’école à la maison), je fais tout mon possible pour simplement lui redonner le plaisir de l’effort et la curiosité intellectuelle. Ce n’est pas évident, pour l’instant, elle fait ce que je lui demande comme un automatisme hérité de l’école. J’ai mis des horaires strictes dans la journée, pour créer une routine, qui je l’espère (en tout cas c’est le but) lui permettent d’acquérir un peu d’autonomie, en tout cas sur l’organisation. Par contre, pour les leçons elles-même, elle se laisse distraire très facilement, aime rire et chanter, ce qui est très bien, mais pour réviser une leçon de grammaire ou de maths, ce n’aide pas toujours. Je dois rester à côté d’elle : d’un côté ça la rassure et lui montre que je la suis, m’intéresse… mais d’un autre, j’ai peur que cela l’infantilise un peu, car si je suis amenée à m’absenter, elle attend passivement, exactement le contraire de ce que je recherche, c’est-à-dire, « je travaille parque que je suis surveillée et pas parce que ça m’intéresse »…
    La juste distance… je crois que vous avez un article à ce sujet ?…
    Rémy et Cécile, merci pour tout ce travail formidable !
    Mireille

  • CAILLEAU Leyre dit :

    Bonsoir! Voilà mon fils qui a 12 ans, nous partons à zéro sur son programme que nous adaptons à une façon différente / trop mécanique celle du collège. Rendre vivant le cours! J’ai donné une astuce pour mémoriser les cours d’histoire. Comme les paragraphes sont courts et précis, et qu’il ne voulait pas apprendre, je lui ai suggéré de faire dans sa tête un film sur les évènements historiques. En fait, comme s’il était au cinéma!! ;D Je l’ai laissé choisir sa méthode. Et puis, surprise : il l’a adopté. Il m’a dit !: « Maman, j’ai trouvé ça plus facile! » . Je lui dis toujours de faire comme il le sent. J’avoue que parfois, j’ai un effort à faire sur un peu de recul à force d’avoir pris tous les harcèlements scolaires qu’il a eu. Je dus me vider de tout cela avec lui, en faisant avec un baton du kinomichi. Cela nous aide avant les cours à respirer mieux et mieux coordonner. Je dirai du kinomichi tranquille et serein comme si nous étions des majorettes. Grâce à cela, il a tenu le choc de tout sortir de ce qui se passait au collège. J’étais bien assise car vraiment il a raconté des choses que jamais il racontait après ses cours. Il s’est délesté et cela m’a remis en question pour justement l’adaptation. Merci à vous tous! Bon réveillon à tous! <3

  • Thomas Taylor dit :

    Très bien, mais en Belgique il faut réussir aux examens de tous les deux ans. En cas d’echèc, les enfants doivent être souscrit à une école subventionné. Mais s’il ne réussit pas dans une école subventionné c’est parce que l’enfant n’a pas assez travaillé.

  • Bonjour
    je suis tout à fait d’accord c’est à l’adulte à s’adapter à l’élève et c’est la tout l’avantage d’un enseignement personnalisé.
    Toutefois j’ajouterais que l’on ne doit pas oublié la sensibilité de l’enfant en tant qu’individu qui lui aussi peut traverser une période de remise en questions ou évoquer des doutes; d’où la nécessité de composer avec cela.

  • Vanopdenbosch Nicole dit :

    mon petit garçon à 11 ans n refusait d’aller à l’école.
    Sur le conseil du médecin, Merlin est resté à la

  • Christine CREPILLON dit :

    Je pratique l’école à la maison depuis un trimestre avec mon fils de 10 ans après bien des mésaventures et des vexations avec l’institution scolaire, tant publique que privée, et effectivement très rapidement on repart du niveau de l’enfant, sans plus trop se référer au niveaux artificiels de l’administration, c’est une question de bon sens. A mon humble avis, si en tant que parent on a pris cette décision, c’est déjà que l’intérêt de l’enfant est primordial pour nous, et que sa souffrance dans l’institution nous est insupportable, cela s’inscrit dans une démarche d’éducation bienveillante. Il faut du courage pour s’affranchir du quand-dira-t-on, et votre blog est vraiment un appui car ce n’est pas évident d’envoyer bouler une institution à laquelle on nous a appris à obéir docilement, même adulte, cela en dit long sur notre conditionnement ! Vos vidéos gratuites donnent une pêche incroyable et rassurent. Je crois que les parents qui font ce choix mal perçu par la société en général, y compris les proches, le font avant tout parce qu’ils ont un regard aimant sur leur enfant. Ce qui m’a sidérée c’est que l’institution n’apprend pas aux enfants à se servir de leur magnifique cerveau bourré de neurones. Je savais que mon fils avait d’énormes lacunes en français (ils ne font plus de conjugaisons et la méthode globale est une catastrophe) mais même en mathématiques, matière qu’il aime et pour laquelle il est doué, il a été dérouté parce que nous avons fait des opérations à énigmes, des problèmes, etc., choses inconnues au bataillon pour lui ! Votre blog est vraiment formidable, j’en parle autour de moi, cela rassure même ma mère de 80 ans, car les anciens aussi se rendent compte du problème mais pour eux cela semble révolutionnaire de quitter le système, en tout cas autour de moi !

    • Rémy et Cécile dit :

      Magnifique ! Voilà, vous avez sauvé votre enfant, Christine.

  • Hélène Larroque dit :

    Bonjour,
    Voilà où j’en suis :
    -pour ma fille de GS, j’ai commandé les cahiers de la boîte à bons points.
    -pour celle de CE2, je suis en contact avec le cours (CX1). Il faut que je leur donne une idée précise de son niveau afin de choisir son niveau pour la rentrée. Je vais le faire dès demain.
    J’ai qq appréhensions car je trouve le niveau du cours (CX1) très élevé mais ils ont l’air assez disponible pour aider les mamans. Est-ce bien d’attendre la rentrée pour faire le courrrier à la mairie?

    -je dois attendre la rentrée pour savoir si mes petites seront prises tous les matins en crèche. Elles auront de manière déjà sûre 2 journées entières à la crèche et je voudrais deux maitnées de 2H30 en plus. J’ai bon espoir. Sinon, je pense prendre une jeune étudiante pour prendre soin d’elles pendant les deux matinées concernées. je ne me sens pas capable de gérer les petites en même temps que l’école.
    -je me suis procuré des menus hebdomadaires que je vais potasser dans l’été car je prévois de faire les courses une fois par semaine et d’anticiper mieux les repas afin de gagner du temps.
    -je me renseigne pour les activités extra-scolaires : j’attends la réponse du conservatoire pour mon aînée, je cherche un cours de danse pour la seconde.
    -j’ai un tableau sur lequel je note toutes mes idées d’activités à faire en dehors des CX2.
    -je réfléchis à l’organisation d’un coin classe dans notre séjour qui est grand. Que pensez-vous de travailler sur un coussin devant une table basse pour la petite de 5 ans?
    -je me mets dans la tête que je reprends le travail à mi-temps et que je dois être plus efficace et organisée sur l’entretien de la maison. J’ai des moments de doute sur ma capacité à tenir dans la durée. Mais mentalement, je ne m’engage que pour un an et je sais qu’il faudra bien une petit mois avant que ça roule. J’envisage de prendre une femme de ménage si je suis débordée.
    -mes filles sont très motivées : elles en parlent autour de nous et ont retenu certains points car je leur ai déjà parlé d’un petit règlement : je pensais avoir une petite cloche que je sonnerai chaque matin une première fois pour qu’elles se préparent et une seconde fois pour le top départ.
    Mon mari est kiné et nous conseille de commencer par 5 minutes de gym et d’étirements. Est-ce une bonne idée?
    -je commence à faire du tri dans la maison pour gagner de la place car je pense qu’on va amasser du matériel.
    -j’ai vu avec qq mamans d’une école proche de chez moi que nous pourrons faire de temps en temps des échanges entre midi et 2h pour maintenir l’amitié avec des enfants scolarisés et se sentir au même rythme que les autres.

    Merci pour vos conseils et remarques. Je me reconnais en de nombreux points sur votre vision de l’éducation, cela m’encourage.
    Je suis motivée mais parfois j’ai quand même peur que ça m’épuise…
    Je vous tiendrai au courant de l’évolution mais je suis preneuse de vos avis si il vous semble qu’il y a des points importants que je n’aborde pas encore.
    Bonne journée et à bientôt,

    • Rémy et Cécile dit :

      « Est-ce bien d’attendre la rentrée pour faire le courrrier à la mairie? »
      Vous n’avez aucune urgence.
      « je ne me sens pas capable de gérer les petites en même temps que l’école. »
      Nous vous montrerons quand même comment faire.
      « -je réfléchis à l’organisation d’un coin classe dans notre séjour qui est grand. Que pensez-vous de travailler sur un coussin devant une table basse pour la petite de 5 ans? »
      Vous regarderez « la salle de travail » qui vous répond. Oui, un gros coussin pour la petite sera bien un temps mais elle voudra bientôt une table aussi.
      « -je me mets dans la tête que je reprends le travail à mi-temps et que je dois être plus efficace et organisée sur l’entretien de la maison. J’ai des moments de doute sur ma capacité à tenir dans la durée. Mais mentalement, je ne m’engage que pour un an et je sais qu’il faudra bien une petit mois avant que ça roule. J’envisage de prendre une femme de ménage si je suis débordée. »
      Si vous le pouvez, très bien. Sinon nous vous le montrerons.
      « -mes filles sont très motivées : elles en parlent autour de nous et ont retenu certains points car je leur ai déjà parlé d’un petit règlement : je pensais avoir une petite cloche que je sonnerai chaque matin une première fois pour qu’elles se préparent et une seconde fois pour le top départ. »
      Oui !
      « Mon mari est kiné et nous conseille de commencer par 5 minutes de gym et d’étirements. Est-ce une bonne idée? »
      Absolument. Nous le recommandons également.

    • Soukaina dit :

      Bonjour Hélène
      Quand vous dites que vous avez opté pour le cours (CX1) pour votre enfan de qu’elle cours s’agit car je suis nouvelle et je n arrive toujours pas a lire les diffèrents cours conseillés sur la liste .
      Merci du retour

      • cecileetremy dit :

        Bonjour Soukaina, allez sur la page des avis sur les CPC pour avoir les noms équivalents aux codes.

  • Nadège Charlette dit :

    Merci pour cet article qui ne fait que confirmer mon choix quant à la déscolarisation de mes deux plus jeunes enfants.
    Prendre le temps et s’adapter à chacun est important.

  • Angélique Papin dit :

    Merci pour cet article fondamental. Oui, priorité à l’enfant. C’est vrai qu’en qualité d’adulte, je me reconnais pétrie d’obligations toutes faites envers les institutions. Je n’ai pas trouvé d’arguments vraiment saisissants à rétorquer aux détracteurs. Je me sens faible de ce fait. Il faut que je parvienne à m’en libérer pour être moi et mieux respecter mon enfant, ce qui est bon pour lui.

  • Marie Sa dit :

    Je suis tout à fait d’accord avec vous.

    • Rémy et Cécile dit :

      ça vient en pratiquant.

  • Alexandra dit :

    Bonjour,
    Merci pour vos précieux conseils, votre expérience de longue date ainsi que celle de tous les parents qui font partie du réseau nous font gagner un temps énorme (et c’est aussi tellement rassurant)!!!!
    Vos bons conseils avisés permettent de construire une base solide pour l’instruction en famille à la maison mais en laissant toujours cette liberté d’adapter les choses selon nos besoins et goûts personnels….
    Ce travail de transmission est juste excellent!!!! Merci encore à vous Rémy et Cécile mais aussi à tous les parents qui complètent à merveille tous les thèmes abordés….

    • Rémy et Cécile dit :

      Merci Alexandra, votre soutien nous va droit au cœur.

  • Merci. Cela fait du bien ce genre de rappel!

  • Intéressant et rassurant, merci à vous.

  • segolene dit :

    on avance ,tranquillement
    nous suivons vos mails d’information sans hâte mais avec beaucoup d’interes , je fouille dans vos innombrables rubriques et sous rubriques, c’est extraordinairement motivent ….
    je vois la , l’occasion de mettre a profit une créativité mise de coté depuis quelques temps.
    alors continuons!!

  • duchenne dit :

    s’ adapter à son enfant afin qu’il progresse c’est la clé, il veut réussir ,avec du soutien et de la motivation ça fonctionne.

  • C’est vrai, après presqu’un an, je viens de me rendre compte que l’école à la maison nécessite une sortie de la « prison psychologique » qu’est l’exigence du niveau : « mais tes enfants ont-ils le NIVEAU ? »
    Nous suivons des cours par correspondance, il y a des devoirs à renvoyer, des appréciations plus ou moins constructrices… des interrogation de nos proches.

    Il est très difficile se dégager mentalement de ce but à atteindre : mon enfant a fini son CE2 (ou autre), il a ingurgité, plus ou moins de force, la somme des connaissances proposée par la structure choisie et il a le niveau pour passer dans la « classe supérieure » ; Dans la précipitation de finir les semaines, il a fallu ruser, écrire soi-même une partie des devoirs, crier puis finalement donner les réponses… sans avoir pris le temps de regarder d’où l’enfant partait et surtout s’il était prêt, à ce moment, pour cette notion.
    Dans l’angoisse de l’obtention de ce niveau, de gré ou de force, nous en oublions de rire, de chanter, d’apprendre des poésies, de rêver, de jouer… bref d’aimer ce que nous avons choisi.

    Plus les semaines passent, plus ce que je pensais rassurant pour moi (les cours par correspondance) sont source de stress et de lassitude pour tout le monde. Je réfléchis donc à une solution beaucoup plus libre où chacun pourra explorer les notions fondamentales à son rythme, au moment où il aura les pleines capacités pour les ingérer, les digérer, et s’en construire… petit challenge pour 5 enfants.

    L’année touche à son terme, j’espère vous faire part de mon avancée prochainement.
    Merci pour votre soutien !

    • cecileetremy dit :

      « Dans l’angoisse de l’obtention de ce niveau, de gré ou de force, nous en oublions de rire, de chanter, d’apprendre des poésies, de rêver, de jouer… bref d’aimer ce que nous avons choisi. »
      Tout est dit ! Merci pour ce témoignage.

  • Merci pour cet article, j’ai commencé cette semaine grâce à vos précieux conseils.

  • odile saint-dizier dit :

    Bonjour
    Pour notre part nous avons dû faire un petit rétro-pédalage pour nous adapter au niveau de notre fille .Elle est ravis je vous dirais dans 9 mois les résultats mais nous n’avons pas de doute quant à sa réussite

  • smartmag dit :

    Je suis tout à fait en accord avec cette façon de voir l enseignement. Je suis maman de 4 enfants, deux filles de 26 et 22 ans deux fils de 17 et 11 ans. Mes deux filles ont réussi leurs scolarités respectives mais toutefois elles n’en ont gardé de très mauvais souvenir Profs cassant, irrespectueux envers les enfants injustes, centrés sur eux même… Rien n est fait pour responsabiliser les prof par rapport à leur pédagogie selon eux le problème ce sont nos enfants et surtout les parents, alors que nous en avons des preuves tous les jours ils ne sont pas meilleurs parents que les autres et leurs vies qui se résument à rester des étudiants professionnels nous le prouvent à de maintes occasions…
    Ma grande qui est très scolaire ne s est pas du tout épanouie à l’université après un bac général elle a donc décidé de faire un BTS en alternance une licence de droit financier et un master tous cela en alternance, je n ai jamais exigé j ai toujours encouragé et félicité, ma seconde savais qu elle irait jusqu’au Bac et basta aujourd’hui à 22 ans elle est directrice commerciale d une agence dans une grande ville. Mon fils de 17 ans a été en permanence dénigré par les professeurs et l écoles malgré ses énormes capacités il a fabriqué son premier meuble à 8 ans( un bureau pour sa cousine) il négociait les matériaux au magasin de bricolage récupérait des chutes de bois pour ses fabrications. Il est fort pour inventer des systèmes sur mesures, qu’il soient motorisés ou pas ..L’école st surtout le collège lui a bousillé son estime de lui même encore aujourd’hui alors qu il est embauché dans un métier qu il aime câblage haute tension en CDI alors que les profs lui disaient « tu ne trouveras jamais un patron qui veut de toi ! » Il a effectué des stages pro en 3 eme pendant toute son année c était le seul moyen de le garder scolarisé ensuite au lycée pareil, il a toujours trouvé des patrons sans problème. J ai vu les profs s’ acharner à 15 en conseil de discipline sur mon pauvre Thomas je l ai défendu bec et ongles, ils me l ont reproché. Je leur ai pour ma part reproché de ne pas savoir faire preuve de pédagogie ni montrer aucune remise en question mais de s’attaquer en bande organisée sur un gamin en difficulté, c est honteux. Je l ai soutenu face à eux face à leurs reproches sur ma position: Je leur ai dit « oui j’en soutient mon enfant vous êtes à 15 à vous plaindre de lui à le dénigrer le garçon que vous me décrivez n’est pas celui que je connais ni celui que me décrivent les gens qui le croisent dans la vie » oui je le soutiens ! je ne tient pas à le retrouver pendu dans la cave… A cet instant il se sont calmé … Aujourd’hui Thomas à toujours des souffrances et un manque de confiance mais il est enfin épanoui dans son activité pro dans sa vie et je le rassure dès que je sent qu il doute. Enfin pour Noa 11 ans j ai décidé de ne plus laisser l’ecole briser ses envies de savoir et d’apprendre pour des raisons de gestions disciplinaires et administratives notre école est minée à la base et cela ne date pas d’hier…Nos enfants sont notre avenir! Nous devons les aider à s’épanouir et à fabriquer leur propre bonheur chaque jour. Donc Noa n’ira pas au collège. Merci de votre
    attention…cordialement Magali

  • Il est temps que NOUS PARENTS fassions valoir le droit de nos enfants à ne plus se faire juger par certains enseignants, qui se prennent pour des médecins et qui trouves tout les maux impossibles à nos enfants dés la maternelle, ces maux qui bizarrement rapportent du « fric » à tout ces métiers qui ne sont pas reconnu par la sécurité sociale (psychomotricien par exemple) … C’est de l’acharnement envers nos enfants !!! Il faut se lier « nous parents » et faire remonter à l’état, surtout que le nouveau ministre de l’éducation nationale est contre ce phénomène (dys par exemple) qui prends de l’ampleur jusqu’à présent car certains parents suivent des directives faussées…. STOP A CE BISNESS ABUSIF!!!

  • Vanessa QUESADA dit :

    C’est vrai que si ce monde éducatif qui vient faire la moralité aux parents qui s’occupes de leurs enfants, seraient effectivement formés à la véritable instruction qui prends en compte chaque enfants dans sa globalité et bien bizarrement ce petit monde de professionnels fonctionnerai moins bien et serait en pénurie de petits patients…. le Bisness en prendrait un coup …. Mais nous aurions des familles heureuses et c’est ça qui dérange… Pourquoi faire des économies lorsqu’on peu faire marcher tout ce système en place et qui s’accroche!!!Histoire de fric encore oui…

  • Sandydany dit :

    Après 3 ans d’Ief, je reconnais que l’adaptation c’est pour nous parents et non pour les enfants en effet! Pourquoi sacrifier notre jeunesse pleine d’entousiasme quand il y a moyens de faire autrement! Nous prenons le quand dira-t-on avec joie et jubilons avec les enfants, surtout à la rentrée qui pour nous, n’est pas la rentrée! Merci pour cet article qui nous encre encore plus dans notre démarche!

  • merci pour cet article , il me permet de m’épanouir à la perspective de bien faire . Et aussi laisser faire . Je suis assez directive ,je me soigne lol .

  • Effectivement, s’adapter à quoi? à l’absence de stress? à la liberté? à la joie retrouvée?

  • Mon aîné qui rentre en CE2 mais cette fois à la maison, va suivre les jeux-exercices alphas et Montessori que j’avaiq prévu de faire à son petit frère de presque 5 ans. Et le cadet de 6 ans et demi qui a un peu pratiqué les alphas en GS et qui sait parfaitement lire, nous aidera tous ! Votre article, très bien rédigé comme à votre habitude, me conforte dans cette idée et nous guide. Merci beaucoup !

  • Quand vous remarqué que les yeux de votre enfant brillent après chaque activité que vous faites avec lui dans la joie et l’amour, sachez que vous avez appuyé sur les bonnes boutons pour provoquer ce genre d’ étincelles.
    l’enfant a besoin juste qu’on lui donne du temps et à ce moment là va nous émerveiller.

  • Merci pour cet article qui me réconforte! Je pense qu’avec la confiance et le fait de ne pas stresser (nous parents), l’enfant s’adapte à toute les situations!

    • cecileetremy dit :

      Oui, voilà la bonne mesure humaine. Un bon départ permettra de meilleures performances, si besoin.

  • Ça me semble compliqué de s’adapter à l’enfAnt avec des cpc. Pourtant vous les recommandez…

  • Merci pour ces conseilles . Je sens grâce à ce site que mes peurs s amenuisent …
    « sois le changement que tu veux voir dans le monde «  gandhi
    Merci à tous

  • J’aime bien cet article il recentre l’essentiel : l’enfant

  • Catherine Breuil dit :

    Je pense à toutes ces années où je n’ai pas su m’adapter à mes fils et je ne veux pas déprimer donc il faut que j’accepte d’avoir raté le coche avec humilité. Bref, je m’adapte.
    Que pensez vous du livre d’André Stern? En le lisant, je trouvais le concept des apprentissages informels intéressant…..
    Comment avez-vous été scolarisés vous même ?

    • cecileetremy dit :

      Vous allez découvrir tout ça jour après jour.

  • cadajanin dit :

    Quand j’ai commencé l’école à la maison avec ma fille au début de son CM2, le défi était les maths. Depuis le CE1 elle disait « je suis nulle »! J’ai pris la méthode de Singapour (CX9), en prenant bien soin de prendre le livre du professeur. Au début, ma fille a été déstabilisée car aux antipodes de l’école alors j’ai tout fait avec elle, le cours, les manipulations, les exercices… Je ne pouvais pas dire « fais ça » et m’en aller… cela prenais au moins 45 min par jour. Puis petit à petit, elle a fait des exercices toute seule. Aujourd’hui en fin 6ème, elle a largement rattrapé ses lacunes et travaille beaucoup plus en autonomie. Je pense que ma présence l’a rassurée et qu’elle a pu prendre confiance en elle.

    • cecileetremy dit :

      Bel exemple d’un retournement de conviction.

  • Nadege76 dit :

    Bonjour
    J’ai fait l’école à la maison à mon fils pendant 1 mois en fin de son CE1 car à l’école ça se passait tellement mal qu’il ne mangeait plus et ne dormait plus. J’ai refait l’école à la maison pendant le dernier trimestre de son CE2 (pour des raisons médicales).
    A chaque fois j’ai été stupéfaite par le nombre de notions qu’il a pu rattraper en peu de temps et à quelle vitesse la motivation pour écrire et travailler est revenue…en grande partie, je pense, parce qu’il était aimé et respecté dans sa différence pendant les apprentissages et qu’il pouvait prendre son temps pour apprendre, se tromper sans être raillé ou rabaissé, avancer à petits pas quand c’était difficile pour lui et plus vite quand il était à l’aise, être dans un environnement calme…
    Il va « rentrer » au collège en septembre mais il le fera par correspondance. Il s’en réjouit. Je suis tranquille car on avancera à son rythme mais je sais d’avance qu’il apprendra mieux.
    Merci de nous avoir rappelé dans cet article ces éléments de réflexion.

    • cecileetremy dit :

      « A chaque fois j’ai été stupéfaite par le nombre de notions qu’il a pu rattraper en peu de temps et à quelle vitesse la motivation pour écrire et travailler est revenue »
      Oui. Dès qu’on retrouve un processus naturel, on obtient des résultats.
      Il y a les raisons que vous donnez et puis il y a le travail très savant de l’école pour déconstruire ce qu’elle considère de vieilles manières de penser obsolètes.

  • cécile feuillard dit :

    Merci beaucoup ! Voilà qui dissipe la pression ça fait du bien !

  • De mon point de vue, c’est plutôt au parent qui fait le cours de s’adapter à son enfant.. C’est de lui dont il est question.. Et puis stresser ne sert à rien.. Le plus dur est de franchir le cap.. Après le mieux c’est de se faire confiance et de vivre l’instant présent..

    • cecileetremy dit :

      Jemina, c’est exactement ce que nous disons ici.

  • GratitudE dit :

    Je pense surtout qu’il faut se servir des durs moments que l’on a peut être subit dans notre scolarité et comparé aux moments plus agréables. Quand on est bien on apprend bien. Par expérience personnelle j’ai été dévalorisé et insulté par bon nombres de professeurs. A la suite de cela j’ai dévorer ma formation de PNC avec une telle aisance que je me suis posé énormément de questions sur l’impact que ces réflexions auraient pu avoir sur mon futur. Il faut se laisser le bénéfice du doute et savoir reconnaître ses erreurs, se remettre en question et surtout avoir de l’estime pour soit car on est capable !

  • Eclat du Soleil dit :

    Voilà un bel article de bienveillance pour nos enfants, merci beaucoup. Chacun est différent. Ils ont des besoins, des difficultés ET une histoire qui leur est propre. Adaptons nous à eux… tout simplement. Hâte de lire votre prochain cours. Merci encore.

  • Sofiane Doggui dit :

    merci j’avais besoin de lire cet article

  • Virginie dit :

    Merci beaucoup pour votre article. Je suis contente de participer à cette aventure pour mes enfants, cette année.

  • sophielavois dit :

    Très bel article ! Merci. C’est exactement ce que je me suis dit lorsque j’ai constaté quelques lacunes pendant le confinement. J’ai alors pris le temps, j’ai remis mon enfant au centre. Le seul « impératif » était de faire un pas après l’autre sans stress de résultat. Et ce fut magique : à chaque déblocage je voyais des étoiles dans les yeux de ma fille, je la voyais prendre de l’assurance et de l’autonomie. C’est bien le seul cadeau que j’ai trouvé à ce confinement obligé …

  • Hourya BAHJAOUI dit :

    Bonjour Rémy et Cécile
    J’ai pris connaissance des CPC je commence à faire des évaluations a mes enfants afin de mieux me positionner sur le niveau que l’on devra suivre je pense aux cours CX5. Nous commençons dès demain.
    Merci encore pour ce que vous faites. Hourya

  • Vazagasy dit :

    J’avais réellement besoin d’entendre ce que dit cet article. Mes 2 plus vieux ont fait l’école maison toute leur scolarité jusqu’à cet automne. Ils ont 9 et 10 ans et viennent de rejoindre les bancs de l’école pour la première fois de leur vie parce que je suis arrivée au bout du rouleau, au bord du burn-out. Le sentiment quasi constant dans les 2 dernières années que j’essayais à tout prix de faire entrer un programme (aussi bon soit-il !) dans leurs têtes. Je leur martelais qu’il fallait qu’ils s’y fassent, qu’ils s’adaptent pour « réussir ».
    Aujourd’hui ils sont loin d’être mécontents à l’école qui pourtant est complètement inadaptée à eux. Je ne peux que me demander à quel point moi aussi, bien qu’aimant mes trésors de tout mon coeur et de toutes mes forces, j’étais inadaptée à eux. C’est très certainement un élément central dans ma réflexion sur le retour à l’école à la maison.

    • Léonie de l'école à la maison dit :

      Bonjour amie, vous dîtes : »parce que je suis arrivée au bout du rouleau, au bord du burn-out. » Vous avez tout de même assuré pendant 5ans ! Les coups de fatigue n’épargnent personne mais vous êtes probablement dans une période de « crise » vous même sur d’autres plans de votre vie. Nous sommes là pour désamorcer les situations de blocages avec les enfants, là aussi pour vous garder en bonne santé et avec une bonne énergie, nous sommes là pour débriefer et vous donner du recul et des conseils pratiques pour ne pas en arriver à une situation de trop plein. Ils se trouvent bien à l’école, c’est un peu tout nouveau tout beau et avec des libertés qu’ils n’ont pas à la maison, la question est : ces libertés sont elles bonnes pour les bâtir ?

  • Francine dit :

    Nous découvrons l’école à la maison sommes heureux de pouvoir nous occuper d’avantage de nôtre enfant. Merci pour votre aide.

  • {"email":"Email address invalid","url":"Website address invalid","required":"Required field missing"}

    Thrive Leads Shortcode could not be rendered, please check it in Thrive Leads Section!

    s2Member®
    >