- Bienveillance, humanisme, un discours omniprésent
- Qui dit le contraire, qui se dit malveillant ?
- Du bon sens
- En fait, on parle d'amour mais on ne veut pas en parler
- Est-ce une valeur suffisante ?
- Non, et c'est même en réalité une lâcheté, un manque de volonté, une absence de force, du sentimentalisme et du libéralisme
- Des extraits de 3 bons livres, spécialement pour les garçons
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Video et sujet passionnants, merci Rémy ! Nous venons de l’écouter en ménage. Merci pour les références de livres que vous donnez.
Si l’on revient à l’étymologie, bienveillance signifie « vouloir le bien ». C’est donc un acte de la volonté, et non des sentiments…
Oui, absolument, et c’est un peu trop oublié !
Comme bien d’autres mots, celui de bienveillance est utilisé à tort et à travers et très souvent détourné de son vrai sens.
Dans l’aumône la personne peut chercher l’agrément de Dieu donc la donation n’est pas vraiment unilatérale et la personne qui reçoit peut aussi la prendre comme un don de Dieu au travers là personne qui donne donc elle ne se sent pas en dette envers vis à vis d’elle dans ce cas précis.
Je suis d’accord il peut se caché une grande miséricorde à travers une sévérité apparente.
Oui, en effet, si l’autre personne la reçoit dans la Foi.