Vous avez remarqué ? On en parle plus du tout de ce qui a été décidé en 2018, l'horreur des ateliers sexuels à l'école. La guerre aux familles a été déclarée avec cette offensive à faire frémir. Vous l'ignoriez ? Voilà ce qui se fait maintenant dans les écoles.
Une maman nous écrit encore ce matin:
Des choses à la crèche ont commencé à le mettre mal, il a commencé à changer il guettait sous les vêtements de femme.. j’ai compris plus tard grâce à DIEU que c’était le résultat de l’exposition d’objets à caractère sexuels ( poupées nues avec appareil sexuel bien formé,moulé )
Voir aussi
Il y a maintenant des cours d'éducation sexuelle
pour les tout-petits, ainsi qu'aux grands, où l'on parle de choses dont nous n'aurions pas eu idée à 16 ans.
Jugez-en par vous-même.
L’enfant est dans le nouveau programme considéré comme
partenaire de l’adulte dans les cours, lesquels sont
PARTICIPATIFS (sic !).
Des "ateliers sexuels participatifs"
On ne fera donc pas que de la théorie, il y aura des démonstrations. Autrement dit, l'enfant sera invité à participer avec l'enseignant.
Apprentissage du plais.r lié au toucher du corps, à la mast....tion.
Cet apprentissage commence à l’âge de zéro an (sic, donc dès la crèche).
Entre 6 et 9 ans, on enseigne tous les « types de sexualité », dont la s.d.mie !
On est en pleine folie furieuse.
Cela se fait à votre insu, comme la vaccination obligatoire que vous ne devez pas oublier, comme cela a été dit dans les sphères dirigeantes, au ministère et dans les académies.
Il suffit de taper "education sexuelle ecole" sur internet pour trouver des articles.
De la maternelle à la terminale, la loi prévoit, en plus des cours de SVT (au CM2, en quatrième et en troisième) qui abordent le versant biologique de la sexualité, « trois séquences d’éducation à la sexualité au minimum » par an pour aborder ses « dimensions psychologiques, affectives, sociales, culturelles et éthiques » [et physiques, ce qu'on ne répète pas beaucoup]. Ces séquences sont des groupes de parole dispensés par des professionnels formés, issus de l’équipe éducative (prof, infirmière, CPE…) et d’associations agréées comme Le Planning familial ou SOS homophobie. Ces interventions sont annoncées aux associations de parents d’élèves en début d’année et partent des préoccupations des jeunes."
20minutes titre:
Une rumeur sur l'éducation sexuelle à l'école refait surface en ligne
Mais dit dans son article:
Ce document est bien publié par le bureau européen de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Tiens donc ! une "rumeur" qui est tout de même bien publiée par l'OMS !
Que contient-il ?
Les rédacteurs y préconisent d'« expliquer aux enfants âgés de zéro à quatre ans ce qu’est la masturbation infantile précoce et de leur proposer de jouer au docteur »
Bref, 20minutes parle de rumeur mais... confirme la rumeur. Tout est dans l'art du titre.
Il y a encore peu, tout cela semblait une folie fictive, un fantasme complotiste, c'est d'ailleurs ce que disaient les très complaisants Monde ou Libération.
Or, ceci est tout à fait officiel et publié. Il n'y a plus lieu de nier.
Communiqué:
Derrière des arguments louables (le bien-être des jeunes, la lutte contre la pornographie et les violences sexistes, le respect mutuel, savoir dire non), nous savons que des associations ou des intervenants formés à l’éducation à la sexualité vont intervenir systématiquement dans les classes. Leur agrément IMS (Intervention en Milieu Scolaire) mis en avant par madame Schiappa, ne comporte, comme nous l’avons vu au fil des témoignages, aucune garantie de préservation de la sécurité psychique des enfants. Nombre de ces intervenants s’appuient en effet sur des idéologies et des théories qui ne respectent pas le rythme de maturité affective de l’enfant et/ou qui sont prônées dans les scandaleux « Standards européens d’éducation à la sexualité » et la « Déclaration des droits sexuels » de l'IPPF (International Planned Parenthood Federation) dont nous dénonçons les dangers depuis des mois[3]. Les enfants sont donc bien en risque d’être exposés à des contenus sexuels de manière précoce et traumatique, sans qu'aucun contrôle ne soit possible ni de la part des parents ni de la part de professionnels formés sur le développement affectif des enfants. Toutes nos démarches pour que les instances officielles françaises renoncent à la référence à ces textes internationaux ont été vaines, et ces Standards sont toujours préconisés sur le site Canopé du Ministère de l’Éducation nationale[4].
La Grande-Bretagne vient de faire un pas en termes de sexualisation précoce des mineurs, en instaurant des cours obligatoiresde consentement sexuel à l'école qui seront délivrés dès le plus jeune âge (4 ans). Les petits Britanniques « y recevront les ingrédients d'une relation sociale et/ou amoureuse respectueuse, qu'il s'agisse d'une relation virtuelle (qui peut être le terrain du cyber harcèlement) ou "physique". »[5] Nous pensons qu’un enfant a d’abord besoin d’être protégé par un interdit clair et fort en matière de sexualité avec des adultes garants de sa sécurité affective et physique.
Comment agir ?
-Nous vous invitons à la plus grande vigilance à la rentrée de septembre 2018 et à interroger dès la rentrée les enseignants de vos enfants et le directeur/la directrice de l’établissement, lors des réunions prévues à cet effet, sur les applications de la loi après l’annonce de la secrétaire d’État.
-Vous pouvez demander qu’on vous fournisse des études scientifiques démontrant les effets positifs de ce type d’éducation (à notre connaissance, il n’y en a pas qui soient valables, et nous serions curieux de lire celles qui existent).
-Vous pouvez alors questionner sur le matériel « pédagogique » qui sera utilisé. Un film, Le « miracle de la vie » de Lennart Nilsson, a été passé dans des classes de CM2, et il montre un pénis éjaculer dans le vagin d’une femme filmé par micro-caméra et un accouchement avec vue sur le périnée de la femme. Les films de la série « Le bonheur de la vie »[6] comprennent un dessin animé montrant un personnage enfantin féminin caresser le sexe d’un personnage masculin pour lui provoquer une érection en expliquant que le pénis doit être en érection pour permettre la pénétration dans le vagin (passage à 1mn39). Vous pouvez demander à voir ces documents plusieurs jours avant le cours, vous constaterez ainsi s’il n’y a « rien à cacher ».
La pédophilie arrive et assume complètement le viol de l'enfance... au nom de la protection de l'enfance. On regrette amèrement les peines les plus sévères
-Vous pouvez à cette occasion indiquer vos limites d’acceptation sur cette question.
-Vous pouvez exiger de connaître les jours où ces cours auront lieu et leur contenu exact. Les « techniques » habituelles pour éviter les protestations des parents consistent à ne pas les informer, ou à inscrire « activités diverses » sur l’emploi du temps, à mentir sur leur contenu (« on va parler de la reproduction animale », ou « l’infirmière va vérifier le carnet de vaccinations », ou « ne vous inquiétez pas il n’y aura aucune image choquante » alors qu’en réalité on montre un accouchement, et une éjaculation dans un vagin), ou à prévenir les parents la veille afin qu’ils ne puissent pas s’organiser dans leur vie quotidienne au cas où ils prendraient la décision de s’opposer à la présence de leur enfant à ces cours, ou à mettre ces cours début juillet, juste avant les vacances pour que les parents ne puissent pas exprimer ensuite leurs protestations, etc. Une multitude de moyens existent pour vous mettre devant le fait accompli, ce qui est contraire à la circulaire 2003-027 du 17 février 2003 [7] indiquant que « les parents d’élèves doivent être informés et/ou associés au projet éducatif (voir sur le site pour plus de détails)[8]. En cas de litige avec l’institution scolaire, par exemple pour un manquement à son devoir d’information, vous avez la possibilité de porter plainte devant le tribunal administratif (voir les recours possibles sur le site[9]).
-Surtout, inscrivez-vous massivement dans les instances représentatives de parents d’élèves afin de pouvoir informer les autres parents et apporter votre critique lorsque ces cours seront discutés dans les réunions parents/enseignants.
-Si votre enfant présente des troubles suite à cet enseignement (cauchemars, difficulté d’endormissement, refus de retourner à l’école, ou autres), faites-les constater rapidement par un médecin et demandez un certificat descriptif (surtout sortez-les de cet enfer ! note du site).
-Comme dans le témoignage ci-dessus, on risque de dire à votre enfant qu’il sera interrogé sur le cours d’éducation sexuelle et qu’il aura peut-être une mauvaise note dans cette matière…, prix de sa protection par vous.
-Pour que vous soyez moins seuls, vous pouvez tenter de vous regrouper par villes sur notre forum qui permet de communiquer uniquement par message privé avec les autres membres. Vous pouvez vous inscrire sur le lien suivant :
http://contreeducsex.kanak.fr/login
Nous rappelons qu’en tant que professionnels de l’enfance, nous ne sommes pas opposés à une information sur la prévention des risques sexuels, sur le recours possible à la contraception et à l’IVG, sur savoir dire non, sur l’égalité homme-femme, mais nous demandons que cette information ait lieu sous une forme respectueuse du rythme de développement affectif de l’enfant et de l’adolescent, ce qui n’est pas le cas actuellement.
Cordialement
Le REPPEA – Réseau des professionnels pour la protection de l’enfance et de l’adolescence
Nous n'avons aucun conseil à vous donner, il nous semble qu'il vous appartient exclusivement de décider si oui ou non, votre enfant doit rester à l'école.
Du moins, dans ce qu'on appelle encore une école et que nous considérons comme un centre de lavage du cerveau...
Si vous ou un ami est obligé d'y rester, voici
une lettre que vous pouvez donner au directeur d'établissement, que nous a conseillée une maman.
Vous trouverez en fin d'article notre position qui repose sur des
principes philosophiques clairement exposés et par conséquent vous pourrez voir que les gens qui sont favorables à ça n'ont pas de formation philosophique. Nous verrons aussi que ce n'est pas de l'Education sexuelle mais de l'éducation à la sexualité clairement affichée, et donc une atteinte aux Droits de l'Homme. C'est aussi une atteinte à l'harmonie sociale, à la paix, à l'intelligence, à la dignité humaine, et cela présente tous les défauts d'un crime contre l'enfance.
Effrayant, vraiment, de voir la chute démoniaque de cette civilisation, du reste parfaitement orchestrée par les loges ! mais à savoir car on ne peut pas fermer les yeux : éducation sexuelle à l'école pour les tout-petits, un travail de sape épouvantable. On va vous remplacer et faire des cours "affectifs et sexuels" à votre insu. Une ignominie à combattre sans relâche. En retirant déjà votre enfant.
Voir aussi:
Des parents protestent au Québec
Notre position philosophique
Ce n'est pas l'Homme qui est fait pour la démocratie, c'est la Démocratie qui est faite pour l'Homme.
Ce n'est pas l'Homme qui est fait pour le Code de la Route, c'est le Code de la Route qui est fait pour l'Homme.
Ce n'est pas l'Homme qui est fait pour la prévention, c'est la prévention qui est faite pour l'Homme.
Ce n'est pas l'Homme qui est fait pour le Shabbat, c'est le Shabbat qui est fait pour l'Homme (Marc 2,27). Voilà ce que dit le Seigneur.
Si vraiment l'on se soucie de donner un enseignement aux enfants, qu'on pense d'abord à l'enfant avant de penser à l’enseignement. Si l'enfant est blessé, alors l'enseignement n'a pas lieu d'être.
Vous dites "prévention" ? Mais en ce cas, au nom de la prévention du viol, vous allez expliquer le viol aux petits enfants ? Au nom de la prévention du meurtre à la tronçonneuse, vous allez expliquer le meurtre à la tronçonneuse aux petits enfants ? Au nom de l'explication de la ZOOPHILIE, vous allez expliquer la zoophilie aux petits enfants ? Et, sans doute aussi parce qu'elle arrive encore plus vite, au nom de l'explication de la PEDOPHILIE, vous allez expliquer la pédophilie aux petits enfants ?
Un pédophile peut attaquer un enfant. Alors, il faut en parler aux bébés et aux tout-petits ? N'importe quel être censé comprend que c'est un raisonnement idiot. Et outre cela, il est criminel.
Il n'y a pas si longtemps que ça, ce discours vous conduisait au poste et au tribunal correctionnel. Temps béni !
D'ailleurs cette mode de tout expliquer se garde bien d'expliquer qu'on a égorgé et émasculé au Bataclan. Pourquoi ? Tout d'un coup, l'adulte n'est plus capable d'entendre des horreurs ? En revanche on va parler de gros pé...is d'homme qui vont pénétrer les fe...ses d'un bébé, comme on l'entend déjà dans des maternelles ? Du reste, comment l'expliquer autrement ? Ces mots vous choquent ? Mais alors, cela va sûrement choquer aussi vos enfants ?
De quel genre d'éducation s'agit-il ?
Depuis l'origine des Temps, l'Humanité a rejeté ces mœurs décadentes, et par-dessus tout le scandale fait aux enfants.
Il faut bien comprendre qu'on ne parle pas ici d'éducation sexuelle, qu'on pourrait admettre dans les plus hautes classes, si les parents en sont d'accord et avec tous le tact nécessaire, de même qu'on peut admettre d'étudier en 6
ème la reproduction des lapin ou des batraciens.
Mais la question n'est pas là. On fait ici de l'EDUCATION A LA SEXUALITE, et donc on se saisit de la pudeur de l'enfant pour le manipuler et lui imposer des déterminismes décadent, basés sur des opinions fausses.
Et comme si la sexualité ne concernait que 2 personnes ! elle concerne aussi l'être procréé, autrement dits les enfants.
On nous parle beaucoup de consentement: "si ces deux adultes sont consentants, on a le droit d'être homosexuel". Cette dialectique a été l'arme fatale. Or, OU EST-IL, CE CONSENTEMENT, chez l'enfant qui doit subir ce cours imposé, contre l'avis de ses parents qui plus est ?
Illustration de la descente tout schuss
Cette vidéo vous livre tous les poncifs et déterminismes qui coulent dans les veines de ces adeptes illuminés:
Vous remarquerez que les adeptes de ces modes se disent "non-binaires". Répondons-leur simplement qu'ils sont en effet moins que binaires, ils sont justes monocons.
Car à partir de l'Unique et des deux complémentaires, tous les nombres du monde sont possible. Alors qu'avec la "non-binarité", il n'y a rien, que la sécheresse de la bêtise infatuée et de l'arrogance puérile d'individus au dernier degré d'affaissement mental.
Ce pauvre type arrogant, raciste (pour lui, "Libanais" est une couleur), agressif, perdu dans ses spéculations abstraites, déconnecté de toute réalité, bobo jusqu'au bout des ongles, est malheureux. Il n'a pas d'enfant. Il ne vit pas, il est sa propre procuration et son seul culte. Il a sa croyance en lui-même. C'est le règne de l'animal-humain intellectualisant sur lui-même et refusant sa propre réalité. Il a une barbe mais il n'est pas un homme. Il est blanc mais il n'est pas blanc. C'est l'obsession aveugle. Le déni parfait. C'est un nombril dépressif sans yeux. Et apparemment en déficit affectif et triste, (dans le peuple on dit "mal bai...é"), il devrait en parler à sa camarade de jeu.
Tout ça ne va pas durer
Les garçons récupérant beaucoup de médailles aux jeux olympiques en se faisant passer pour femmes, et d'autres qui se feront élire dans le respect de la binarité en utilisant le même procédé, vont vite mettre un terme à cette grosse paillardise de militants de gauche mal dégorgés d'un trotskysme suranné.
L'islam et les réveils religieux vont aussi abattre ces derniers soubresauts d'un système autocentré, freudien, fin de civilisation et égocentrique. Tant mieux. Quoique sans doute, tout cela aille se faire dans un chaos.
Est-ce une manœuvre pour faire passer les vaccins ?
On peut y penser. Cette loi pourrait bien être oubliée à la faveur de la protestation populaire. Mais les vaccins resteraient et une génération entière d'enfants serait sacrifiée.
Conclusion
L'école qui ne sait pas ENSEIGNER A LIRE ET ÉCRIRE aux enfants va donc se mêler de manipuler et sexualiser l'enfant.
Tout cela appartient bien à une entreprise savante de démolition. La guerre est bel et bien totale.
Réactions
Nous avons eu énormément de réactions choquées suite à cet article. La population refuse cette dégénérescence du rôle de l'enseignant, réduit à violer l’intimité de l'enfant.
Mais il y a aussi quelques esprits profondément englués dans l'erreur. Celui-ci, par exemple:
On 17/08/2018 14:40, s. wrote:
Bonjour,Je voudrais juste réagir à la vidéo "scandaleuse" que vous avez postée. Je suis animatrice en école primaire et pas dans une ZEP, et je peux vous assurer que les enfants, depuis le CP, parlent de ces choses en termes biens plus crus, orduriers même. La petite fille dans la vidéo sait même comment ça s'appelle. Je ne trouve pas choquant que l'institutrice aborde le sujet, c'est de la biologie, le enfants qui vivent à la ferme savent déjà comment ça fonctionne, et cela permet de cadrer l'utilisation de cette thématique et de couper l'herbe sous le pied des petits malins qui dominent les autres dans la cour de récréation parce qu'ils s'érigent en connaisseurs du sujet tabou. Pour info, j'ai déjà eu affaire plusieurs fois à des loustics de 3 à 7 ans qui avaient déjà vu de la vraie pornographie, y compris les vidéos amateurs de leurs parents, et faisaient part des détails à leurs copains d'ecole.Ce qui me gêne plus, c'est que la vidéo soit tronquée et qu'on n'ait pas de visu sur la totalité du cours, donc on ne peut pas savoir comment et si les concept de respect du corps de l'autre et de moralité ont été abordés, donc on ne peut pas critiquer l'enseignement donné, de plus on ne sait pas si ça a été aborder strictement parce que c'est au programme ou suite à une situation qui nécessitait un cadrage.Ce que je trouve choquant en revanche, c'est la source de la vidéo. Il s'agit d'un screen de reportage, filmé par un individu de la sous culture wesh-wesh, qui se permet, au nom de sa religion, qu'il ne connait surement pas parce qu'elle autorise le mariage et les relations sexuelles avec des petites filles mineures donc ça ne devrait même pas le choquer, de faire un scandale sur internet et d'insulter (faire insulter via les commentaires) un professeur qui fait son travail. Cette institutrice, de par la situation actuelle, risque de se faire agresser dans la rue après ça.Par contre, sans nier l'utilité de l'école, je trouve préférable dans la situation de ma fille, qui ne supporte pas le bruit ni le contact avec la foule, de faire l'école à la maison.Pour ceux qui ne peuvent ou ne veulent pas le faire, il est toujours nécessaire de s'informer sur ce que l'enfant apprend, comprend et retient de l'enseignement reçu à l'école, et de compléter ou rectifier. C'est le rôle des parents.
Nous lui répondons:
Bonjour, cette argumentation existe depuis la nuit des temps: "des gens font mal, pourquoi ne pouvons-nous pas faire de même, en un peu mieux ?"
C'est un raisonnement faux.
Que certains enfants parlent ainsi, ça n'en fait pas une vérité générale.
Et même si tous les enfants parlaient ainsi, le bien, le beau et la vérité demeureraient et nous serions en devoir de continuer à les donner aux enfants, en les protégeant du mal.
Du reste, tous les enfants ne sont pas confrontés à cette horreur à l'école.
Avec de tels raisonnement, on peut dire aussi en faveur du viol : "Je peux vous assurer que dans la rue, on viole des fillettes. Pourquoi pas à l'école, en douceur ? Notre idée c'est d'expliquer que le viol existe dans certaines tribus du monde en leur expliquant comment ça peut se passer."
NON. On ne parle pas de ces choses à des enfants. L'ADULTE n'est pas l'enfant qui dit des sottises, en principe.
"Pour info, j'ai déjà eu affaire plusieurs fois à des loustics de 3 à 7 ans qui avaient déjà vu de la vraie pornographie, y compris les vidéos amateurs de leurs parents, et faisaient part des détails à leurs copains d'ecole."Et alors ? Il y a des petits Syriens qui ont vu leurs parents éventrés, est-ce que ça autorise à les laisser parler de cela aux autres enfants ?Vous voyez bien que ce n'est pas un argument.Ce n'est pas parce que quelques parents dégénérés montrent des films pornos aux enfants qu'on doit admettre le fait, voyez-vous.Résister, c'est refuser l'inacceptable."Ce qui me gêne plus, c'est que la vidéo soit tronquée et qu'on n'ait pas de visu sur la totalité du cours, donc on ne peut pas savoir comment et si les concept de respect du corps de l'autre et de moralité ont été abordés"Nous, c'est ce que vous dites là qui nous choque le plus. On ne doit JAMAIS parler de ces choses à un enfant. Jamais. C'est le parent qui en parle. Quel que soit le contexte.Demain, vous défendrez de même la zoophilie et la pédophilie, parce que "des enfants en parlent en termes bien plus crus", pour "expliquer". Voyez-vous où cela vous conduit ?Vous direz: "Mais non, quand même pas !" Or, la pédophilie arrive, elle est admise en Australie. En Hollande aussi, elle arrive. Et la pédophilie a été votée en France.Alors quoi, VOUS ACCEPTEZ CETTE HORREUR ?"un professeur qui fait son travail"Mais ce n'est PAS son travail, il n'a AUCUN DROIT à parler de sexualité aux enfants, comprenez-vous ?"Cette institutrice, de par la situation actuelle, risque de se faire agresser dans la rue après ça. "En effet, elle moissonnera sans doute les fruits de l'horreur qu'elle répand... C'est ce qui arrive souvent.
Le texte officiel de l'IPPF
Exemple de peluches distribuées dans les crèches: l'horreur totale !
COMMUNIQUE A DESTINATION DES PARENTS CONTRE L’EDUCATION A LA SEXUALITE A L’ECOLE
Vous avez signé la pétition concernant les dangers de l’éducation sexuelle à l’école telle qu’elle est conçue actuellement. Vous êtes de plus en plus nombreux à être conscients de ses risques puisque plus de 9000 personnes supplémentaires viennent de signer en quelques jours cette pétition qui atteint les 28 000 signatures. Rappelons que de nombreux professionnels sont d’accord avec nous, puisque 25 % des signataires sont des professionnels de l’enfance, de la psychologie ou de la santé dont 92 psychiatres et pédopsychiatres, 90 médecins ou pédiatres 900 psychologues/psychothérapeutes, et 1200 enseignants.Jusqu’à présent, cette « éducation sexuelle et affective » n’était faite que dans certains établissements. Mais dès la rentrée prochaine, il est prévu qu’elle soit généralisée : Madame Schiappa, secrétaire d'État à l'Égalité entre les femmes et les hommes, déplore que la loi sur ce sujet, applicable pour tous dès la maternelle (depuis le dernier plan
Stratégie de santé sexuelle du ministère de la santé du 30 Mars 2017[1], p 14) «
existe déjà, mais qu’elle n’est pas mise en œuvre ». Et elle sera donc mise en place en accord avec l’Éducation nationale, annonce-elle[2].
Nous avons déjà reçu un certain nombre de témoignages concernant la manière dont se déroulent ces interventions et l’effet qu’elles ont sur certains enfants. Une mère nous autorise à citer l’exemple suivant qui est illustratif.
« Mon fils était scolarisé en classe de CM2 à l'école élémentaire de X qui se trouve dans le département X. En début d'année les maîtresses nous ont dit qu'une personne extérieure viendrait expliquer la reproduction mais animale (étonnant). Elles nous avaient aussi dit qu'il n'y aurait pas de date précise. Ce fameux cours sur la reproduction s'est déroulé entre le 4 et le 6 juillet 2018, je ne me souviens plus exactement. Mon fils est très sensible, pudique. Ce fameux jour, il est rentré de l'école pas bien, à voir sa tête. Il est monté directement dans sa chambre. Je l'ai rejoint pour lui demander ce qu'il y avait. II m’a dit (avec beaucoup de gêne) et je n'oublierai pas, « tu sais maman, à l'école ils nous ont montré une vidéo sur l'homme et la femme. Ils ont parlé du sperme, du sexe de la femme, de l'accouchement. Ils nous ont forcé à regarder, j'étais très gêné donc je n’ai pas voulu regarder mais la maîtresse m’a envoyé (avec un autre élève qui lui aussi ne voulait pas regarder) dans le bureau de la directrice. Je me suis fait fâcher et elle a dit « De toute façon, vous aurez un questionnaire dessus juste après la vidéo ». Voilà, mon fils n'a pas pu m’en dire plus car il avait envie de vomir, mal à la tête. Je ne l'ai pas embêté avec ça depuis. Il a complètement changé sa façon de parler avec ses cousines du même âge, il est plus froid, distant. Il a eu beaucoup de mal à dormir. Environ 3 bonnes semaines, après il a pu se remettre à avoir des discussions avec ses cousines et à jouer. Le mal est fait mais l'école m’a arraché l'enfance et l'innocence de mon fils plus tôt. »
Derrière des arguments louables (le bien-être des jeunes, la lutte contre la pornographie et les violences sexistes, le respect mutuel, savoir dire non), nous savons que des associations ou des intervenants formés à l’éducation à la sexualité vont intervenir systématiquement dans les classes. Leur agrément IMS (Intervention en Milieu Scolaire) mis en avant par madame Schiappa, ne comporte, comme nous l’avons vu au fil des témoignages, aucune garantie de préservation de la sécurité psychique des enfants. Nombre de ces intervenants s’appuient en effet sur des idéologies et des théories qui ne respectent pas le rythme de maturité affective de l’enfant et/ou qui sont prônées dans les scandaleux « Standards européens d’éducation à la sexualité » et la « Déclaration des droits sexuels » de l'IPPF (
International Planned Parenthood Federation) dont nous dénonçons les dangers depuis des mois[3]. Les enfants sont donc bien en risque d’être exposés à des contenus sexuels de manière précoce et traumatique, sans qu'aucun contrôle ne soit possible ni de la part des parents ni de la part de professionnels formés sur le développement affectif des enfants. Toutes nos démarches pour que les instances officielles françaises renoncent à la référence à ces textes internationaux ont été vaines, et ces Standards sont toujours préconisés sur le site Canopé du Ministère de l’Éducation nationale[4].
La Grande-Bretagne vient de faire un pas en termes de sexualisation précoce des mineurs, en instaurant des cours
obligatoires de consentement sexuel à l'école qui seront délivrés dès le plus jeune âge (4 ans). Les petits Britanniques « y recevront les ingrédients d'une relation sociale et/ou amoureuse respectueuse, qu'il s'agisse d'une relation virtuelle (qui peut être le terrain du cyber harcèlement) ou "physique". »[5] Nous pensons qu’un enfant a d’abord besoin d’être protégé par un interdit clair et fort en matière de sexualité avec des adultes garants de sa sécurité affective et physique.
Comment agir ?
-Nous vous invitons à la plus grande vigilance à la rentrée de septembre 2018 et à interroger dès la rentrée les enseignants de vos enfants et le directeur/la directrice de l’établissement, lors des réunions prévues à cet effet, sur les applications de la loi après l’annonce de la secrétaire d’État.
-Vous pouvez demander qu’on vous fournisse des études scientifiques démontrant les effets positifs de ce type d’éducation (à notre connaissance, il n’y en a pas qui soient valables, et nous serions curieux de lire celles qui existent).
-Vous pouvez alors questionner sur le matériel « pédagogique » qui sera utilisé. Un film, Le « miracle de la vie » de Lennart Nilsson, a été passé dans des classes de CM2, et il montre un pénis éjaculer dans le vagin d’une femme filmé par micro-caméra et un accouchement avec vue sur le périnée de la femme. Les films de la série « Le bonheur de la vie »[6] comprennent un dessin animé montrant un personnage enfantin féminin caresser le sexe d’un personnage masculin pour lui provoquer une érection en expliquant que le pénis doit être en érection pour permettre la pénétration dans le vagin (passage à 1mn39). Vous pouvez demander à voir ces documents plusieurs jours avant le cours, vous constaterez ainsi s’il n’y a « rien à cacher ».
-Vous pouvez à cette occasion indiquer vos limites d’acceptation sur cette question.
-Vous pouvez exiger de connaître les jours où ces cours auront lieu et leur contenu exact. Les « techniques » habituelles pour éviter les protestations des parents consistent à ne pas les informer, ou à inscrire « activités diverses » sur l’emploi du temps, à mentir sur leur contenu (« on va parler de la reproduction animale », ou « l’infirmière va vérifier le carnet de vaccinations », ou « ne vous inquiétez pas il n’y aura aucune image choquante » alors qu’en réalité on montre un accouchement, et une éjaculation dans un vagin), ou à prévenir les parents la veille afin qu’ils ne puissent pas s’organiser dans leur vie quotidienne au cas où ils prendraient la décision de s’opposer à la présence de leur enfant à ces cours, ou à mettre ces cours début juillet, juste avant les vacances pour que les parents ne puissent pas exprimer ensuite leurs protestations, etc. Une multitude de moyens existent pour vous mettre devant le fait accompli, ce qui est contraire à la circulaire 2003-027 du 17 février 2003 [7] indiquant que « les parents d’élèves doivent être informés et/ou associés au projet éducatif (voir sur le site pour plus de détails)[8]. En cas de litige avec l’institution scolaire, par exemple pour un manquement à son devoir d’information, vous avez la possibilité de porter plainte devant le tribunal administratif (voir les recours possibles sur le site[9]).
-Surtout, inscrivez-vous massivement dans les instances représentatives de parents d’élèves afin de pouvoir informer les autres parents et apporter votre critique lorsque ces cours seront discutés dans les réunions parents/enseignants.
-Si votre enfant présente des troubles suite à cet enseignement (cauchemars, difficulté d’endormissement, refus de retourner à l’école, ou autres), faites-les constater rapidement par un médecin et demandez un certificat descriptif.
-Comme dans le témoignage ci-dessus, on risque de dire à votre enfant qu’il sera interrogé sur le cours d’éducation sexuelle et qu’il aura peut-être une mauvaise note dans cette matière…, prix de sa protection par vous.
-Pour que vous soyez moins seuls, vous pouvez tenter de vous regrouper par villes sur notre forum qui permet de communiquer uniquement par message privé avec les autres membres. Vous pouvez vous inscrire sur le lien suivant :
https://contreeducsex.kanak.fr/login
Nous rappelons qu’en tant que professionnels de l’enfance, nous ne sommes pas opposés à une information sur la prévention des risques sexuels, sur le recours possible à la contraception et à l’IVG, sur savoir dire non, sur l’égalité homme-femme, mais nous demandons que cette information ait lieu sous une forme respectueuse du rythme de développement affectif de l’enfant et de l’adolescent, ce qui n’est pas le cas actuellement.
Cordialement
Le REPPEA – Réseau des professionnels pour la protection de l’enfance et de l’adolescence
PS : n’hésitez pas à transmettre ce communiqué à toute personne susceptible d’être intéressée et sur les réseaux sociaux, merci !
[1] « Déployer l’éducation à la sexualité au sein du Parcours éducatif de santé (3) à tous les niveaux scolaires, de la maternelle au lycée » sur https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/strategie_nationale_sante_sexuelle.pdf
[2] https://www.marieclaire.fr/marlene-schiappa-confirme-la-mise-en-place-de-trois-seances-d-education-sexuelle-des-la-rentree-prochaine,1275156.asp
[3] Livre « Danger de l’éducation à la sexualité pour les enfants et les adolescents » sur https://proscontreeducsex.wordpress.com/livre-de-professionnels-dangers-de-leducation-a-la-sexualite-pour-les-enfants-et-les-adolescents/ et site https://proscontreeducsex.wordpress.com/
[4] https://www.reseau-canope.fr/outils-egalite-filles-garcons/pour-aborder-leducation-a-la-sante-et-a-la-sexualite.html[5] https://www.cosmopolitan.fr/au-royaume-uni-les-enfants-suivront-des-cours-de-consentement-sexuel-des-4-ans,2021976.asp
[6] https://www.youtube.com/watch?v=yitG6pgqHMg?rel=0
[7] La Circulaire 2003-027 du 17 février 2003 sur «
L'éducation à la sexualité dans les écoles, les collèges et les lycées » rappelle le rôle de premier plan joué par les familles et pose que «
cette éducation, qui se fonde sur les valeurs humanistes de tolérance et de liberté, du respect de soi et d'autrui, doit trouver sa place à l'école sans heurter les familles ou froisser les convictions de chacun, à la condition d'affirmer ces valeurs communes dans le respect des différentes manières de les vivre » et que les parents d’élèves doivent être informés et/ou associés au projet éducatif.[8] https://proscontreeducsex.wordpress.com/references-juridiques/