Un homme ! chapitre II : Un éducateur (vidéo)


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L'homme éducateur et la capacité à dire non

Dans la suite de ce que nous disions la dernière fois, ce qui manque peut-être le plus à notre société, c’est la capacité à dire non. Soljenitsyne, éducateur de notre temps, disait que c’était là le rôle héroïque des temps modernes. On dit aussi que le mal ne vient pas autant de ceux qui le font mais de ceux qui ne s'y opposent pas (vous retrouverez l'auteur exact, n'est-ce pas ?*).

C’est la capacité à ne pas tout accepter. Il y a comme une incapacité du public aujourd'hui à fixer des limites, seule l’autorité publique et les tribunaux semblent en avoir le droit. C’est évidemment un non-sens. Mais cela produit en même temps une atmosphère de déliquescence où chacun peut faire tout ce qu’on peut imaginer « pourvu que cela n’empiète pas sur la liberté de l’autre ». Bien pauvre exigence !

L'exemple le plus frappant que j'ai croisé dans ma vie [s2If current_user_cannot(access_s2member_level4)] (pardon pour ceux à qui j'ai déjà raconté cette anecdote), est cette dépêche que j'ai lue un jour, alors que j'étais journaliste: "Dans le métro de Londres, un couple se livre à des baisers peu à peu plus intenses puis en arrive à des ébats sexuels devant tout le monde, sans que personne ne proteste. Ayant terminé, l'homme et la femme s'allument une cigarette. Ce n'est qu'à ce moment-là que les passagers se fâchent et les expulsent." C'est très exemplaire de cette philosophie très approximative du "fais ce que tu veux tant que ça n'empiète pas sur la liberté des autres". On craint davantage pour sa santé que pour son âme.

Charge de famille

Un homme découvre sa dimension véritable au moment où il reçoit la charge de sa famille. Non pas que sa vocation se limite à celle d'éducateur, mais le père donne à l'homme des moyens nouveaux et des qualités nouvelles. On a remarqué que les opinions changeaient fortement avec la paternité.

Même si la société lui dit qu’il doit renoncer à la forme virile de son autorité, il l’exerce naturellement, c’est son instinct et sa vocation, c’est à la fois naturel et spirituel, à la fois venu du fond de son être et une aspiration.

Il sent qu’il doit protéger les siens et aller chercher à l’extérieur de quoi leur permettre de vivre. Il doit aussi se mettre en partie à l’écart du centre du foyer où règne la femme, parce qu’il a besoin lui aussi de son aire. Il est « sur les marches » du foyer, c’est-à-dire en bordure. Son regard est en partie voué à l’intérieur de la maison mais pour l’essentiel, il est porté à l’extérieur. Chez la femme, cette proportion est inverse. Nous prenons un risque en disant ça, les réactions vont peut-être fuser mais si vous y réfléchissez sans parti pris, vous verrez que, dans la majeure partie des cas, c’est ainsi.

Si vous observez bien les comportements, vous verrez que la femme, (...) la suite est réservée aux membres accompagnés, pour activer votre accès membre, passez par ici. Déjà membre accompagné ? Connectez-vous dans le menu du site (en cas de souci, voir la FAQ) [/s2If] [s2If current_user_can(access_s2member_level4)] (pardon pour ceux à qui j'ai déjà raconté cette anecdote), est cette dépêche que j'ai lue un jour, alors que j'étais journaliste: "Dans le métro de Londres, un couple se livre à des baisers peu à peu plus intenses puis en arrive à des ébats sexuels devant tout le monde, sans que personne ne proteste. Ayant terminé, l'homme et la femme s'allument une cigarette. Ce n'est qu'à ce moment-là que les passagers se fâchent et les expulsent." C'est très exemplaire de cette philosophie très approximative du "fais ce que tu veux tant que ça n'empiète pas sur la liberté des autres". On craint davantage pour sa santé que pour son âme.

Charge de famille

Un homme découvre sa dimension véritable au moment où il reçoit la charge de sa famille. Non pas que sa vocation se limite à celle d'éducateur, mais le père donne à l'homme des moyens nouveaux et des qualités nouvelles. On a remarqué que les opinions changeaient fortement avec la paternité.

Même si la société lui dit qu’il doit renoncer à la forme virile de son autorité, il l’exerce naturellement, c’est son instinct et sa vocation, c’est à la fois naturel et spirituel, à la fois venu du fond de son être et une aspiration.

Il sent qu’il doit protéger les siens et aller chercher à l’extérieur de quoi lui permettre de vivre. Il doit aussi se mettre en partie à l’écart du centre du foyer où règne la femme, parce qu’il a besoin lui aussi de son aire. Il est « sur les marches » du foyer, c’est-à-dire en bordure. Son regard est en partie voué à l’intérieur de la maison mais pour l’essentiel, il est porté à l’extérieur. Chez la femme, cette proportion est inverse. Nous prenons un risque en disant ça, les réactions vont peut-être fuser mais si vous y réfléchissez sans parti pris, vous verrez que, dans la majeure partie des cas, c’est ainsi.

Si vous observez bien les comportements, vous verrez que la femme, le plus généralement, est davantage au cœur de la maison et l’homme davantage en périphérie. Dans les cas contraires, si par exemple l’homme est sans cesse dans la cave et y a bâti son bureau, il substitue, à la position physique en bordure, une activité internet ou autre qui le relie à l’extérieur. Mais ce sera de toute façon presque toujours excentré, sachant que le centre de la maison est l'endroit où l'on va le plus souvent, et généralement cela correspond au foyer ancestral, l'endroit où les repas sont pris. L’homme tient beaucoup moins longtemps à l’intérieur. Il y a des raisons à ça mais pour l’instant, passons. On en reparlera peut-être parce que cela peut aider à désamorcer des incompréhensions, mais pour l’instant nous ne dirons que cela.

L’homme ne peut pas trouver son équilibre si, dans ce qu’on appelait en latin sa domesticité, sa « maison » au sens ancien, il n’est pas établi d’une part et si, d’autre part, il n’a pas de regard vers l’extérieur. Si c’est le cas, il meurt lentement, comme ces Indiens qui mouraient sans raison apparente en prison. C’est un dépérissement. Vous avez des tas d'hommes mal foutus qui sont ainsi parce qu'il n'ont aucune fonction ni responsabilité extérieure. Il faudra faire attention à ça avec les adolescents: ne pas les enfermer (filles ou garçons). Et rendre à l'homme sa place, ce sentiment d'exercer une responsabilité et d'être entendu, et même parfois d'être entendu sans discussion inutile. C'est extrêmement bienfaisant pour la famille entière. L'homme discuté en permanence est instable et dangereux.

Sachant cela, vous ne lui reprocherez plus de s’intéresser moins que vous à ce qui se passe à l’intérieur. C’est votre manière de voir, vous avez vocation à faire en sorte que tout aille pour le mieux dans tout ce qui touche les vôtres et votre « domesticité », votre maison ; lui, votre homme, doit impérativement regarder dehors, donc il ne verra pas tout ce qui se passe à l’intérieur. C’est aussi pour votre salut. Cela vous donne une liberté. Ne l'oubliez pas, avant de lui dire "tu ne t'intéresses pas à tes enfants". C’est dans ces conditions qu’il peut remplir son rôle, vous protéger, renforcer votre position, vous laisser du champ etc.

Si vous voulez qu’un homme devienne lâche ou tyrannique, vous lui fermez les horizons extérieurs et vous le discutez sans cesse. On aura fait un grand progrès on comprenant cette chose si simple.

Vous obtiendrez le même résultat en lui refusant d'être l'éducateur de ses enfants. Là, il faudra veiller à ne pas lui opposer vos livres, vos associations féminines, l'avis du médecin, du psychiatre etc., vous veillerez à intégrer tout cela, et à permettre l'expression de l'homme-éducateur qui de toute façon apprend, comme vous, tous les jours. Et sa sensibilité est plus féconde que la spécialisation médicale, elle va permettre chez l'enfant, malgré les approximations, plus de résultat que les heures chez le spécialiste. Encore faut-il le permettre. Vous pouvez économiser des heures et des déplacements en rétablissant l'homme dans son rôle, en l'aidant.

Comment s’exprime l’autorité masculine

Lorsque les choses sont bien établies, l’autorité masculine s’exprime d’une manière spécifique et indispensable à tout enfant. Nous n'allons pas détailler toute l'autorité masculine, nous allons juste la mettre en balance avec l'autorité féminine. A côté de l’autorité maternelle qui apprend à l’enfant à recevoir du monde et à prendre ses distances (c’est la rencontre de la pudeur et de l’amour), il y a l’autorité paternelle qui pousse à entrer au contact du monde et à combattre, à défendre et à conquérir. Défendre sa famille et lui-même, mais aussi conquérir l’autre en amenant des valeurs en territoire inconnu. Il y a quelque chose qui relève de la sortie, du lointain, tandis qu’il y a chez la mère une dimension de proximité.

Par ailleurs, il y a chez la mère de longs développements et une parole qui explique et qui creuse, qui apaise et qui panse. Chez l'homme au contraire, il y a une brièveté. Nous parlons ici de tendance, évidemment, vous avez des femmes qui parlent peu. N'empêche qu'elles chercheront sur un plus long terme. L'homme aura tendance à mettre un terme. C'est bon aussi. Il faut savoir ne pas tout résoudre. Des questions resteront en suspend, des cicatrices se refermeront sans vous. Vous ne serez pas toujours au chevet. Vous ne saurez pas tout. Après votre parole qui apaise, il y aura l'acte de votre homme qui fait passer à autre chose.

John Wayne, l'icône personnifiée du mâle que les féministes ont interdit de séjour, n'était ni primesautier, ni pusillanime, ni vindicatif, ni discoureur, ni menteur : il incarnait l'abnégation de l'homme qui agit, fidèle à ses valeurs. Ici avec Maureen O'Hara.

On ne peut grandir sans les deux types de regards masculin et féminin.

L’enfant a besoin de la voix d’un homme, qui tranche, décide rapidement, évacue parfois les sentiments, confronte aux chocs, prend des risques (parfois inconsidérés selon la maman), joue en bordure (de la domesticité, du territoire, du sport, de la loi, des hiérarchies etc.), expose, saisit. On ne peut pas être toujours dans la sécurité, il faut à un moment donné une sortie de soi et de son monde. S'il incarne comme la maman une transmission, une parole établie, il transmet aussi à l’enfant la capacité à changer de monde si la nécessité s’en fait sentir, à transgresser un interdit si la situation l’y oblige, à renouveler.

Il transmet également le combat, vertu fondamentale qui manque énormément à notre société. La violence de notre société, c’est pour beaucoup le combat qui est refoulé. Le combat, c’est s’engager dans son intégrité et prendre le risque de promouvoir. Le combat est féminin aussi, bien sûr. Mais le registre du combat masculin, si marginalisé depuis l'avènement d'une éducation à la Dolto (pleine d'avantages certes mais incomplète), doit retrouver impérativement son socle. On retrouve ce manque chez Faber et Mazlich, très intéressantes indiscutablement, qui sont dans le registre "enfants épanouis". Ce terme est très féminin, on parle d'une sexualité féminine "épanouie". Un homme préférera parler peut-être "d'enfants affirmés". Ce sont ces nuances qui font d'énormes différences.

Épanouissement et initiative

Épanouissement et initiative sont complémentaires. Et c'est l''initiative qui manque le plus. Nous sommes dans une société du bien-être et de l'épanouissement. Vous voyez à quel point cela peut générer de frustrations chez les garçons, et le basculement dans le rejet et la violence ?

Nous avons vu que les sujets de dictée qui s'obstinent à se cantonner dans la cueillette des fleurs et des paysages printaniers ne peut qu'irriter un garçon. Et lasser d'ailleurs les filles, qui ne sont pas encore des femmes (c'est important de le savoir, car la différenciation n'est pas encore aussi importante). C'est la culture de l'épanouissement féminin qui, reconnaissons-le, a ses limites. Vous ne supporterez pas que votre garçon se contente d'offrir des fleurs à sa fiancée, vous le trouverez trop timoré. Il en sera là parce que les exemples reçus auront d'une certaine manière empêché le développement de sa virilité. Vous comprenez donc que la figure de l'homme apportera un peu plus d'offensive, d'initiative et de risque.

La parole qui met un terme

Il y a en outre le rôle de juge ultime qui a une parole sanctionnant une décision. La parole définitive est elle aussi importante, elle marque la limite du royaume à ne pas franchir sans mettre le royaume en danger.

Il y a une illusion qu’on retrouve chez les dames de l’éducation non-violente, et qui correspond à ce que ces femmes portent en elle, mais c’est une vue partielle. Faber et Mazlich, qui apportent énormément sur l’éducation, ne parlent pas une seule fois de sanction dans leur livre majeur, excellent au demeurant, «Parler pour que les enfants écoutent, écouter pour que les enfants parlent » (lien ci-dessous). Leur but, à elles, est de diminuer la punition au maximum et elles ont raison : nous devons faire tout notre possible pour que les choses se fassent sans rapport de force.

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Cependant, il est constructeur de savoir qu’il y a des absolus dans la vie, et donc il faut d’une certaine manière ce qu’on peut appeler « la crainte de Dieu ». Il y a cette nécessité chez l’enfant de craindre quelque chose dans l’absolu, entendons-nous bien, pas d’avoir peur, pas de vivre dans la crainte, mais d’éviter de se croire à l’abri de tout, tout-puissant, omnipotent, ou croire que tout n’est que sécurité et sentiments, luxe et volupté ; il y a dans la vie une sanction si on traverse la rue sans regarder, il y a une sanction si on se drogue, si on ne travaille pas etc. Ce sont les sanctions de l’existence, et le père anticipe sur la déconfiture ou la tragédie, il la prévient lorsqu’il dit « Non ! »

Quels cours peut faire un homme ?

N'importe lequel en fonction de ses dispositions. S’il peut, un week-end, s’occuper d’un cours, c’est excellent. Si ce n’est pas non plus dans ses cordes, alors qu’il demande à son enfant de lui raconter le livre qu’il lit en ce moment, pourquoi il l’aime ou le déteste, quel personnage l’intéresse ou non. Ces séances où l’enfant s’exprime de manière un peu organisée sont très importantes, l’enfant se hisse au niveau d’un narrateur écouté. Le père doit veiller à le laisser parler. Voilà qui valorise le jeune élève.

Acceptation et rejet chez l'enfant

En fonction des âges, l'enfant se tourne de manière variable vers la mère et le père. C'est normal.

Notre Marc-Eloi n’a jamais complètement accepté, du plus petit âge qu’il ait eu, d’obéir à sa maman, il a toujours bataillé dur avec elle mais avec moi, il rendait les armes immédiatement. Ce n’est pas qu’il avait plus d’affection pour moi, mais il y avait chez lui une recherche d’autorité masculine.

 

Pour approfondir un peu ces questions si vous voulez, et pour conclure un sujet qui pourrait continuer sur 200 pages, je vous laisse ci-dessous un extrait du merveilleux livre d’Anseln Grün : Jésus le Guérisseur (lien ci-dessous):

Pourquoi n’a-t-on pas réfléchi plus avant à ce que Jésus représente, à travers ses paroles et ses actes, pour la virilité ? Il est entré dans l’histoire de l’humanité comme l’époux, comme un homme donc. On dit que toute l’humanité est 'l’épouse', peut-être, d’une certaine manière… Mais il ne faudrait pas que ce soit réducteur.

Dans l’Evangile de Marc, nous trouvons la lutte de Jésus contre les puissances démoniaques ; dans cette lutte, il se heurte à la résistance des puissants de ce monde qui veulent se saisir de lui et le tuer. Ainsi, la croix est déjà engagée. Ce sera le prix de sa victoire sur les démons. Mais c’est précisément dans l’impuissance de la mort qu’il remporte sur eux la victoire. Le grand cri de Jésus sur la croix est un cri de victoire. (…) Dans l’évangile de Marc, Jésus ne guérit pas par amitié et de façon lénifiante… Il fait appel à une énergie et une vigueur pleinement viriles, assurées, déterminées.

Jésus au désert

Dans l’évangile de Marc, il est dit en toutes lettres que l’Esprit l’y a poussé ; ce n’est pas une invitation agréable, mais plutôt une action vigoureuse. Jésus demeura quarante jours, tenté par Satan. Il était avec les bêtes sauvages et les anges le servaient. (Mc 1,13) Cette proximité des bêtes sauvages et des anges donne à réfléchir ; dans ces quarante jours au désert il y a un défi. Selon l’évangéliste Marc, le désert est le domaine de la puissance des démons. Jésus se heurte à cet espace occupé par eux, il les affronte, il se familiarise avec eux et les vainc : ils sont en son pouvoir. C’est ce que Marc exprime dans l’image des bêtes sauvages et des anges. Il ne s’agit pas de fuir mais de se réconcilier avec ce qui est en soi sauvage ! Et faire l’expérience de la présence des anges en soi également. Chaque homme a aussi en lui une part angélique que l’on peut aussi refouler. Mais, si l’on ne voit que la part angélique en soi, on court le risque de perdre sa virilité et on prend un chemin spirituel qui nous éloigne d’autrui, ce qui n’est pas bénéfique pour notre âme. Les moines des premiers siècles connaissaient ce danger. Un des Pères du désert conseille ceci : « Si un jeune homme semble voler vers le ciel dans son parcours spirituel, il faut le saisir au talon et le plaquer sur le sol. » Intégrer la totalité du monde intérieur ne constitue pas un handicap à la vision de Dieu, mais c’est précisément le sol nourricier où se développe la spiritualité.

Mors et vita duello conflixere mirando… chante la liturgie pascale ! Où est-elle dans nos célébrations liturgiques cette part de confrontation, de conflit, de lutte ? Quelle force se dégage de la célébration liturgique, qui donne envie de se mettre debout et d’engager la lutte à notre tour ? Qu’est-ce qui donne confiance et énergie ?

Le combat contre le péché est un combat, un combat pour la vie, qui passe par les chemins de l’humanité sans chercher à s’en écarter. Le péché, ce n’est jamais enfreindre une règle extérieure d’un ordre établi, ce n’est même pas enfreindre une limite à l’intérieur de nous-même, c’est bien plutôt mettre des limites, rétrécir, fermer cet abîme vivant qui nous est présenté par un amour infini.

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*: il s'agit d'Einstein: "Le monde est dangereux à vivre, non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire."

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