Hyperactivité de l’enfant ? L’école à la maison décroche le Trophée de la Meilleure parade !
Et nous allons voir pourquoi.
Lila nous a écrit un jour:
Bonjour, je voulais votre avis
Mon fils est bon élève il est au ce1.
Il est trop énergique turbulent pénible en classe. L’année dernière avec son professeur de cp (un homme) tout se passait bien après que celui ci ait décidé de le mettre seul.
Son professeur de ce1 refuse car pour elle c’est une forme de stigmatisation. Pourtant mon fils ne le percevais pas ainsi. Etre seul lui a permis de faire son travail avec concentration.
Son professeur de CP faisait preuve de nuance temporisait, il mettait plus en avant ses qualités d’élève studieux.
Aujourd’hui, à cause de son mauvais comportement son travail s’en ressent et je dois dire que je suis très inquiète.
Est ce un bon motif pour faire l’école à la maison car je reste persuadée que le bon comportement en classe est important pour une réussite scolaire.
J’ai un niveau licence sciences de l’éducation et j’ai travaillé en milieu scolaire pendant près de 5 ans.
Merci pour vos précieux conseils . Lila
Notre réponse:
Bonjour Lila,
(…) Si nous pouvons nous permettre, pour réfléchir à cette question de l’école à la maison ou pas, il est bon d’abandonner un peu les présupposés.
(…) Oui, le bon comportement peut être bon pour l’enfant et la classe. Mais le « mauvais comportement » que l’on suppose en disant ça… n’existe pas. Il n’y a pas de mauvais comportement. En fait, le mauvais comportement est une merveilleuse réaction de l’enfant qui nous dit à sa manière « alerte, ça ne va pas du tout pour moi ! » Le pire que nous ayons à craindre, c’est que l’enfant ne réagisse plus, comme tous ces petits enfants abandonnés qu’on met sous Fluvermal, Ritaline ou autre.
On peut dire que le seul mauvais comportement, c’est l’absence de comportement, la passivité totale.
Nous ne cherchons pas à obtenir un bon comportement de l’élève, c’est une impasse, c’est comme d’essayer de faire en sorte que la bouteille ne roule pas sur le pont du navire.
Nous cherchons à ce qu’il ne soit pas conduit à ce mauvais comportement.
Votre fils n’est pas trop énergique, il est comme il est, et son énergie est merveilleuse. Imaginez-le amorphe devant une télé ou allongé dans le coma, à l’hôpital, et alors vous regretteriez son énergie. Imaginez qu’il ait 18 ans et que la maison brûle, ne seriez-vous pas fier qu’il vous emporte hors de la maison en fracassant du pied une porte bloquée ?
Imaginez-le autrement en fait: vous n’en seriez pas réellement heureuse, car vous savez au fond de lui que c’est VOUS qui lui avez donné cette énergie.
L’énergie est ce dont l’homme manque le plus. C’est grâce à elle que les grands progrès sont possibles, il faut énormément d’énergie pour inventer, créer, affronter les adversités. L’inventeur de l’anesthésie, Morton, a été rejeté par tous ses confrères médecins, il a dû offrir son invention au président tant on l’a attaqué. Aujourd’hui aucun chirurgien ne songerait à revenir sur sa découverte. Vous croyez qu’il y serait arrivé sans une formidable énergie ?
Votre fils a de l’énergie, il a un trésor, il vous emmènera au bout du monde si vous lui en donnez la chance. On a besoin d’hommes, il en sera un.
L’enfant à qui on donne ce dont il a besoin a un super comportement. C’est aussi simple que ça. Un enfant qui va mal dit « l’adulte qui s’occupe de moi ne comprend pas ». Autrement dit, le travail est à faire sur l’adulte.
Ce n’est pas facile quand on n’y a pas réfléchit et qu’on ne s’est pas exercé. Un grand pédagogue est un pédagogue qui a exercé son savoir et qui a aussi du talent, de la créativité, c’est vrai, et ce n’est pas donné à tout le monde.
Voilà: si votre fils ne cadre pas à l’institution, soit l’institution comprend et change, soit vous devez trouver une autre solution.
Nous espérons que cela vous apporte de la réflexion. Amitié
Réponse:
Merci infiniment pour votre réponse rapide et avisée. J’ai toujours su que la vivacité et l’énergie de mon enfant était une richesse et à force de convertir cela en pénibilité, j’ai commencé à ressentir une profonde culpabilité : suis je une bonne mère ?
Je pense que mon enfant doit vivre sa vie d’enfant et que si certains membres de l’institution ne peuvent pas faire preuve de créativité et de pédagogie car il en faut pour captiver un enfant, alors je prendrais d’autres mesures. Je vois bien que l’école ne l’épanouit pas. L’année dernière il a eu un professeur de talent qui a su faire preuve de discernement, sachant faire la part des choses. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Merci encore pour votre vision des choses on ne peut plus positive et enrichissante.
Très cordialement. Lila
Il n’y a pas de mauvais comportement. En fait, le mauvais comportement est une réaction – normale – de l’enfant. Qui, dans le pire des cas, nous dit à sa manière : « Alerte, ça ne va pas pour moi ! »
L’hyperactivité est un mot qui vient automatiquement à la bouche des professionnels de l’éducation lorsqu’un enfant est un peu plus vivant que d’habitude. Il en va un peu comme la dyslexie.
Confusion qui devient presque systématique. Il faudrait distinguer les pathologies et… l’énergie tout ce qu’il y a de plus naturelle. Nous verrons aussi que la piste de l’alimentation est à considérer.
Alors bien sûr, il y a de véritables pathologie, de véritables troubles.
Qui n’ont essentiellement rien à voir avecd ce que vous pouvez lire, y compris s’agissant de lecture « officielle », éditée avec le concours du gouvernement telle cette plaquette propageant des contre-vérités « offerte en « cadeau » sur un site « école à la maison »…
Le cas le plus fréquent, c’est l’intoxication liée aux vaccins, il faut réellement s’en occuper. Voir le protocole sur cette page:
Il y a des enfants qui ont des troubles de comportement, mais d’une part le sigle TDAH ne correspond pas dans la quasi-totalité des cas (il faudrait parler de cas d’empoisonnements ou d’intoxication du cerveau, il faudrait analyser les conséquences de vaccinations, de médicaments tels que la Ritaline, l’incidence de traumas mal résorbés etc.), et dans les cas où il vaudrait, c’est-à-dire où l’on pourrait appliquer valablement ce diagnostic, indépendamment d’un empoisonnement ou d’un problème sanitaire, ce sont les adultes qui sont responsables, c’est l’école qui ne fait as son travail, ce sont les sollicitations qui n’ont pas été correctes: le cerveau est le résultat de sollicitations à 99,99%.
Voilà ce qu’il faut comprendre.
Mais reprenons par le menu.
TDAH ou trop-plein d’énergie ?
Il y a 500 ans, vous auriez été ravi d’avoir un enfant plein d’énergie se levant une heure avant vous et allant traire les vaches ou nettoyer l’étable. Mais vous n’avez peut-être pas la place chez vous pour que l’enfant puisse laisser aller son énergie…
Or, l’énergie d’un enfant est belle ! On doit la désirer, vouloir qu’il soit vivant, joyeux, énergique. C’est le propre d’un enfant de s’exprimer par la parole et le geste. Et il sera bien temps plus tard de canaliser, la société y conduira forcément.
Mais apprenons à souhaiter plus de vie ! Voulons-nous des êtres morts, pâles, décharnés, amorphes, affligés, langoureux, mous, lâches, domestiqués, sans réaction, « ritalinisés »* ? Bien sûr que non. Il y a une grande beauté de l’énergie d’un enfant, d’une femme, d’un homme qui vit pleinement. Que ce soit par son art ou ses jeux, sa chorégraphie personnelle.
Disons-le, un enfant qui est énervé, qui court partout, qui parle fort, mais qui s’endort très naturellement le soir, n’est pas un hyperactif. N’en déplaise au corps médical et aux institutrices peu formées.
L’enfant qui ne souffre pas d’hyperactivité en classe et à la maison
Déjà, un enfant qui ne souffrirait pas de ce trouble à la maison, mais à l’école seulement, poserait un sérieux problèmes aux diagnosticiens professionnels. Et inversement. S’il n’a pas le trouble tout le temps, il ne l’a pas, en fait. Voilà qui exclue plus de 90% des cas.
Posez-vous cette question: a-t-il la même attitude en classe et à la maison ? L’école l’influence-t-elle ?
Sur l’ensemble des cas diagnostiqués, la quasi-totalité concerne un enfant énergique. Peut-être trop énergique à votre avis. Mais certainement pas sensé prendre un neuroleptique. Attention: danger.
Il y a ensuite des cas d’agitation allant de pair avec des manques: l’enfant s’énerve mais ne sait pas lire ou réfléchir, dit l’enseignant.
A cela vous avez deux grandes causes:
1 – L’école n’a pas les compétences et rend les enfants nerveux, elle les déséquilibre
Nous allons le voir ci-dessous.
2 – L’enfant a été victime d’un ensemble de sollicitations sanitaires néfastes, tel que le médicament
Les enfants prennent trop de médicaments. Le médicament, la molécule chimique, produit des réactions parfois bizarres.
Cécile Ellert, la grande naturopathe, nous écrit:
J’ai beaucoup pensé à ces parents lorsque j’ai récupéré mon fils sans mémoire ni équilibre après un choc reçu à l’entrainement de foot américain. Il était incapable de suivre une classe normale…ne supportait pas la lumière ni le bruit…Il lui a fallu presque 4 ans pour retrouver ses facultés, mais si je n’avais pas su ce que j’avais (et si je n’avais pas pu prouvé que j’ai un Master en psychologie…), je n’aurais eu aucune autorité ni connaissance pour lui éviter la montagne de cochonnerie que l’école voulait que je lui donne afin qu’il puisse continuer l’école. Aujourd’hui, il a rejoint le corps d’élite de l’armée américaine, les Marines corps, dans la section la plus élitiste : la défense chimique et nucléaire. S’il avait été drogué à quoi que ce soit, il n’y avait pas droit. Ils sont extrêmement triés sur le volet en terme de ce qu’ils ont dans le sang (à la moindre trace de drogue ils sont exclus) et sur le QI. Mon fils a fait un rejet de l’université et du système d’enseignement actuel aux Etats Unis car tout ce qu’on leur demandait en terme de résultats était basé sur le fait qu’on attendait d’eux qu’ils prennent de l’adérol ou de la ritaline. Tous ses copains étaient drogués à ça (et au reste). C’est comme si on s’attendait à ce qu’ll gagne le tour de France, à condition d’être dopé. Du coup, il a préféré l’entrainement sur humain des Marines…au risque de prendre des coups à la tête et de refaire un traumatisme crânien! Il a eu beaucoup de chance. Mais encore une fois…je lui ai évité (et je continue) la plupart des médicaments que la majorité des parents trouve normal de donner à leurs enfants. Il faut qu’ils comprennent qu’il y a des alternatives, mais surtout, combien ils prennent de risques!C’est un sujet qui me prend aux tripes parce que je l’ai vécu de près…Et je serai ravie de vous aider à informer vos lecteurs.Dites moi ce que je peux faire…Cécile(les formations de Cécile Ellert sont ici)
Dans la même veine, savez-vous que les gens impliqués dans des fusillades d’écoles aux USA sont sous l’emprise de médicaments ?
Citation:
Les déséquilibrés qui provoquent des fusillades dans les écoles sont sous emprise de médicaments ou de drogues.
USA, France, Grande-Bretagne… La liste est impressionnante.On accuse le problème des armes mais il s’avère que l’arme la plus dangereuse, c’est le psychotrope ou l’anxiolytique. Tandis que le pistolet peut rester cent ans sur une table de cuisine sans tuer personne, le psychotrope ou des médicaments comme la Ritaline rendent fou.
Dans ces drames, la presse parle de « drogue ». Or, ces « drogues » étaient des médicaments prescrits par des médecins.
Les Américains confondent les deux mots « drug » et « medicine ». Il est vrai que chimiquement, entre drogue et médicament, la limite est inexistante. On appelle drogue ce qui ne passe pas par la pharmacie, même si sa compo est exactement la même.
Saviez-vous également que ce qu’on appelle « syndrome post-traumatique » touche bon nombre de soldats qui n’ont jamais combattu ni rien vu de sanglant ?
Leur point commun: on leur donne des médicaments dangereux et psychotropes.Conclusion: le médicament peut être dangereux. Les psychotropes qu’on ne donnait qu’aux gens déclarés « fous » autrefois sont donnés à tout le monde maintenant. La république française est championne du monde..
PS: le plus drôle, c’est qu’on prétend maintenant, par exemple dans le Figaro, traiter ce syndrome avec de l’exstasy (3,4-methylenedioxymethamphetamine, MDMA).
https://www.cchrint.org/2018/02/20/school-shootings-mental-health-watchdog-says-psychotropic-drug-use-by-school-shooters-merits-federal-investigation/
Maintenant que nous avons posé quelques jalons utiles, voyons ce que disent les médecins scolaires et l’école.
On trouve des médecins pour dire qu’il y aurait 3 à 5% des enfants qui souffriraient de « ce problème » de TDA H. Le Trouble du déficit de l’attention et de l’hyperactivité. Notons bien ce TDA H, on va le retrouver partout.
Cela dit, on diagnostique maintenant des gens qui ne sont pas d’accord avec le système: le non-conformisme serait une maladie mentale[s2If current_user_cannot(access_s2member_level1)]. Staline ne disait pas autre chose et il envoyait des millions de gens aux psychiatres.
Notons aussi que ces médecins sont liés à BigPharma, autrement dit les labos qui leur donnent des avantages en nature.
3 à 5%, dites-vous ? c’est grave. Une cause nationale peut-être. Un désastre qui mériterait des millions d’investissements ! qui mériterait des subventions… Mais plus grave encore, l’école dénombre jusqu’à 15% de cas ! Un enfant bouge un peu, différemment des adultes, il agace et hop ! étiqueté TDA H…
Sur le site n°1 sur google, quand on tape TDA H, un médecin écrit:
« Les troubles de l’hyperactivité sont clairement décrits depuis longtemps, le diagnostic codifié et le traitement bien connus (avec un s, sic). Bref, les médecins qui disent que ce trouble n’existe pas ont dû sauter quelques chapitres…«
A la vérité, ce médecin a dû, quant à lui, sauter quelques années d’étude et quelques ouvrages de déontologie.
Car dans cette phrase tout est faux
Le trouble n’apparaît en fait que très récemment, en 1987, c’est un brevet déposé par un gros labo. Si l’on consulte l’article historique du TDA H rédigé par ce médecin, on s’aperçoit qu’il fait remonter au XVIIIème siècle des… études sur l’attention. Enorme. L’attention de l’être humain ou de l’enfant est étudiée depuis très longtemps, depuis Hypocrate même, mais… quel rapport avec le TDA H ?
C’est comme si on disait « la maladie d’Alzheimer est parfaitement codifiée et le traitement connu depuis longtemps » et que l’on brandissait des exemples de folie, par exemple celle de Néron brûlant Rome. Halte là ! Il y a confusion.
Bref, lorsque vous lisez que les troubles de l’hyperactivité sont « clairement décrits depuis longtemps, le diagnostic codifié », vous avez affaire à une usurpation et un abus de confiance. Merveilleux mensonges qui laissent certains parent béats d’admiration ! D’autres écriraient « l’être humain est parfaitement connu, codifié », ce ne serait pas plus sot.
Si le traitement est parfaitement connu, donnez-le nous docteur, on est prêts à payer. Et hop ! un médicament, le labo vous remercie.
- Voir aussi: du nouveau au sujet de l’hyperactivité et du TDA H.
Dans le vivant, rien n’est aussi simple, aussi bienconnu. La vie est un mystère, que cela plaise ou non. Et prétendre qu’un neuroleptique est un « traitement » efficace est une escroquerie morale et un attentat à la santé d’autrui.
Cette suite d’affirmations est donc aussi grotesque que l’était la promesse des révolutionnaires de 1789 qu’il n’y aurait « plus de maladie dans 50 ans grâce à la science ». Molière a bien décrit ces médecins savants qui ne guérissent… personne. Les cas se multiplient : où est le remède miracle de ces professionnels ? Les enfants qui ont pris les anxiolytiques sont-ils guéris ? Non, jamais. Ils sont calmés provisoirement et leur cerveau a été diminué par la charge chimique, c’est tout.
« … (le trouble de déficit de l’attention) est une invention. Chaque enfant qui ne réussit pas à l’école est envoyé voir un pédiatre, et le pédiatre dit «C’est le TDA H, voici de la Ritaline». En fait, 90 % de ces 5,4 millions d’enfants n’ont pas un métabolisme anormal de la dopamine. Le problème, c’est que si le médicament est disponible pour les médecins, ils feront le diagnostic correspondant.» (Jerome Kagan, psychologue et professeur à l’ Université de Harvard)
C’est exactement ce que nous disons depuis des années.
Cette prétention de certains médecins à tout expliquer est scientifiquement sans fondement.
Si on a décrit des difficultés de l’attention depuis la nuit des temps, on n’a pas de certitude, rien n’est définitif, de nouveaux cas apparaissent tous les jours. D’autre part rien n’a été codifié, puisqu’on ignore tout ou presque du cerveau et que les cas se multiplient. Ces médecins vous assurent qu’ils ont la situation en main mais oublient ce qui se passe dans la réalité. Ils prennent vos chèques au passage, naturellement. On a ici un classique cas de charlatanerie.
En lisant ces « spécialistes », on s’aperçoit qu’ils confondent volontairement énergie débordante, attention distraite, attention sciemment détournée, problèmes sanitaires divers et… trouble pathologique !
Bref, le TDA H est le grand fourre-tout de certains psys peu scrupuleux. Réponse directe à ce professionnel : vous avez dû sauter quelques cours d’éthique. Faire de l’argent en étiquetant un enfant à tort, ce n’est guère moral. Nous avons diagnostiqué votre trouble: c’est un TBFA: Trouble du Besoin de Faire de l’Argent…
Mais il n’est pas le seul. Le « trouble » est une mine d’or, comme bien d’autres pathologies imaginaires qui poussent à consommer des psychotropes, anxiolytiques et autres drogues mortelles. Les médecins sont affirmatifs et y vont à grands coups de fourche.
La réalité ? Elle est horrible : de 2010 à 2014 (en 5 ans), la quantité de comprimés vendus en pharmacie a augmenté de 56 %
Québec, où au moins on a des chiffres (comparables en France), bat le record canadien de consommation des psychostimulants. En 2011, Québec compte 23 % de la population, mais consomme 35 % des psychostimulants de tout le Canada. On va nous expliquer comment une population d’un même pays peut être réellement plus malade qu’une autre…
Dans ce fatras médicamenteux, on passe allègrement à la sur-médicamentation de l’enfant qui, forcément, doit être malade quelque part lui aussi. On n’est même plus effrayé de donner des psychotropes à l’enfant.
Les EHDAA (élèves handicapés ou en difficulté d’apprentissage ou d’adaptation) représentent maintenant 20 % de tous les élèves, contre 12 % il y a 10 ans.
On voit le désastre ! Les médecins ont des certitudes. Les parents s’habituent.
Ce serait une « maladie ». Les « victimes » sont elles-mêmes dans l’acceptation.
Oui, mais… non.
On n’a aucune trace d’une quelconque réalité neurologique, comme l’explique très bien Santé Nature Innovation.
« Il faut bien réaliser que, contrairement à d’autres maladies neurologiques comme la maladie d’Alzheimer, il n’y a aucun test psychométrique, biologique ou physique, comme un scanner du cerveau par exemple, qui permette de diagnostiquer le TDA/H. »
Lisez l’article, il vous fera du bien, car il expose la réalité intestinale et biologique sous-jacente chez nombre d’enfants turbulents ou diagnostiqués « TDA H », tandis que l’on sait également que le mercure dans le poisson (voir plus bas) est un très possible agent.
En réalité, les enfants souffrant d’un réel excès de turbulence – qui sont des cas cliniques – sont peut-être 1 pour mille. Ils servent à accréditer la réalité d’un symptôme. C’est aussi ce que dit cet article.
Avec des exceptions, on fait une pandémie ! De cas isolés, on fait une généralité. Pratique: l’école se débarrasse d’un problème (ses enseignants ne sont aucunement formés pour faire face) et on entretient des intérêts financiers.
Faux diagnostics, donc ?
C’est ce que dit cet article depuis la parution de notre article: https://www.ledevoir.com/societe/education/319948/le-grand-nombre-de-faux-diagnostics-de-trouble-de-deficit-d-attention-inquiete
Dans les commentaires, Elodie nous dit:
si votre enfant est qualifié de TDA H, faites attention qu’il ne s’agisse pas d’un problème de surdité ou visuel (pas seulement l’acuité, mais la perception, la vision binoculaire, les problèmes de convergence)… ou autre chose.
En effet, plein de choses sont taxées de TDHA ou de dyslexies !
Et le traitement est…
Le traitement ? La Ritaline*. Un médicament… qui entraîne des troubles du sommeil, notamment. Le genre de chose qu’on ne devrait JAMAIS donner à un enfant. Ou l’Aderall et le Concerta, « que le service américain de lutte contre les stupéfiants classe dans la même catégorie de drogues hautement addictives que la cocaïne, la morphine et l’opium. »
Comme le dit encore Santé Nature Innovation, pour apaiser l’enfant, mieux vaudrait commencer par « diminuer fortement ou éliminer de son alimentation le sucre et en particulier le fructose », de même qu’il est impératif d’arrêter de consommer certains poissons (voir liste en fin d’article).
Tous les médicaments psychiatriques fonctionnent en « désactivant » le cerveau. Ce message est à faire passer partout autour de vous parce qu’il explique le fonctionnement de base de tous les médicaments psychiatriques, y compris les anti-dépresseurs, les anti-psychotiques, les anxiolytiques et même les somnifères.
Ce fonctionnement de base est très simple.
Tout le monde peut le comprendre même sans avoir fait médecine. Mais une fois qu’on le sait, on a compris une chose très importante, qui permet d’éviter de tragiques erreurs, et de lourdes conséquences.
Ce fonctionnement, c’est tout simplement que tous les médicaments psychiatriques désactivent, puis détruisent, des fonctions essentielles du cerveau.
Aucun de ces médicaments ne traite ni ne guérit une maladie. Ils sont en ce sens complètement différents des autres médicaments utilisés par la médecine » (extrait de la lettre citée ici)
Il serait bon à la place de s’intéresser aux huiles essentielles. Certains sites naturels parlent des troubles, de l’autisme et de l’efficacité de certaines huiles.
Commençons par un tir de contre-batterie immédiat: quand un comportement est traité par un médicament et qu’on parle de maladie, il y a falsification du diagnostic. Un comportement n’est jamais soigné par un médicament. Il a toujours son origine dans le cerveau.
Or, la Ritaline, ni aucun médicament actuellement prescrit, ne vise d’action directe sur le cerveau et a fortiori ne peut avoir d’effet bénéfique sur le cerveau. Il faut d’ailleurs PROSCRIRE toute médicamentation visant le cerveau (sauf spécification d’un neurologue de très haut vol, après examen par scanner).
Ce genre de saletés chimiques est à refuser radicalement. Ce type de médicament cause de grands dégâts dans le corps et le cerveau.
Contre le TDA ou même la simple hyperactivité de l’enfant, on donne des calmants…
Le comportement ne se traite pas par le médicament. Il a toujours une explication en amont, par l’environnement de l’enfant (sauf, comme toujours rappelez-vous, en cas de lésion ou de pathologie).
Cet environnement, c’est aussi sa famille, ses proches et son écologie, c’est-à-dire alimentation, sommeil etc. dont nous parlons abondamment dans notre accompagnement.
L’hyperactivité de l’enfant, disons l’énervement, sa turbulence ou son comportement odieux proviennent bien sûr très souvent, outre l’alimentation dont parle l’article de Santé Nature Innovation, des mauvaises conditions de vie au sein de sa famille et de mauvais traitements ou de manques d’attention de la part de proches, si fréquents, sont facilement décelables par les enseignants… sans qu’ils puissent pratiquement rien y faire d’ailleurs.
Ce sont les autres enfants qui en payent les conséquences. Mais quant à lui, il n’a aucune issue: tant que son environnement est malsain, il est condamné, et plus cela dure, moins il aura de chance de s’en sortir aisément.
La réaction de l’enfant s’explique naturellement, par ce qu’il reçoit ou subit. Plus sa réaction est énergique, plus la pression est forte.
Adultes: interrogez-vous, car c’est à votre niveau que se situe la difficulté, non à celui de l’enfant.
Autrement dit, si votre enfant n’a pas eu de lésion ou de pathologie, ce que seul un examen approfondi à l’hôpital et par des très grands spécialistes, avec des appareils de détection, peut révéler, on ne peut en aucun cas affirmer péremptoirement qu’il a un trouble.
Mais alors, qu’est-ce que cette histoire ?
« Le TDA H est un trouble mental bidon » dit cet article, qui corrobore nos propres travaux.
C’est Leon Eisenberg qui a inventé le TDA H
Il a dit lui-même au Spiegel:
« Le TDA H est l’exemple même d’une maladie fabriquée » (TDA H is a prime example of a fictitious disease).
Le Spiegel commente : Leon Eisenberg a pris ses distances avec ce qu’il nomme son pêché de jeunesse…
https://www.ledevoir.com/culture/livres/448654/le-tdah-est-il-une-fausse-maladie
Une maman nous écrit au sujet d’un post sur Facebook:
Bonjour. J’étais motivée jusqu’au moment où je vous lis à propos du tda th et des dys. Cela m’à fortement déçue et ne m’à pas donné envie de continuer.
Ces troubles existent bel et bien. J’ai eu 2 enfants scolarisés à la maison. Pour le premier cela a été passionnant et à créé un lien particulier, pour celui qui est tda h, cela a été éreintant et peu concluant.
Nous:
On ne peut pas dire ça. Si vous avez une mauvaise expérience avec lui, c’est que la méthode n’était pas bonne. Vous ne l’avez pas vécue avec nous, apparemment. Pour le TDAH, avez-vous un scanner qui le prouve ? Il y a un trouble qui existe bien et qui relève soit de l’alimentation et de l’environnement, soit d’un manque qu’il n’est pas possible de compenser à l’école. Il n’a rien à voir avec le TDA H.Ce que les médecins et les labos appellent TDA H est une imposture. Bien sûr, les parents ont besoin d’être confortés par rapport à un système qui leur a menti et qui a nié l’existence de leur problème.Mais leur problème est ailleurs.Et même, nous disons qu’il n’y a pas de problème, ne serait-ce que parce que le symptôme disparaît au bout de quelques mois.Peut-être avez-vous vu la série « Dr House », ce médecin insupportable qui démonte les faux diagnostics ? C’est ce que nous faisons. Oui, il y a quelque chose, non, ce n’est pas un TDA H, maladie qui n’existe nulle part dans les grandes catégories de maladies.Allez voir un neuropédiatre sérieux, il n’osera jamais vous parler du TDA H: dans son esprit, il relie ça à autre chose. Les médecins sont obligés d’acquiescer parce que le parent a besoin d’entendre ce discours. Mais ils n’y croient absolument pas. Les études cliniques n’ont JAMAIS isolé le TDA H.Où avez-vous vu un scanner isolant le TDA H ?
Le TDA H est en fait un acronyme pour un ensemble de symptômes qui s’expliquent parfaitement, indépendamment, comme une SEP (Sclérose en plaque) explique une série de symptôme médicaux bel et bien constatés.
Nous mettons d’ailleurs au défi le public et les médecins de nous apporter une preuve matérielle du TDA H: jamais personne ne nous l’a jamais apportée…Vous vous rendez compte: nous lançons un défi public en disant: apportez-nous une preuve de l’existence, et personne n’arrive à répondre ? N’est-ce pas fantastique ?
Les TDA H, c’est une invention récente. On les a assimilés fallacieusement aux troubles moteurs qui ont des origines avérées dans le cerveau, ce que n’ont pas les « TDA H » sauf à prouver le contraire chez les 99% de diagnostiqués.
1987: les membres de l’APA (Association psychiatrique américaine) votent à main levée l’introduction dans le DSM (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) d’un nouveau trouble psychiatrique: le TDA H (Troubles déficitaire de l’attention/hyperactivité). En l’espace d’un an, 500.000 enfants américains reçoivent ce diagnostic. Aujourd’hui, étiquetés hyperactifs, plus de 6 millions d’enfants américains prennent le chemin de l’école après avoir avalé leurs pilules d’amphétamine (Ritaline, pour ne citer que la plus employée).
A noter: l’Association psychiatrique américaine regroupe des quantités de gens sans aucun diplôme ! Et les dirigeants, ce sont les labos.
C’est aberrant ? Non, c’est scandaleux
On se retrouve entre les mains de « Big Pharma », comme on dit aux USA, c’est-à-dire l’industrie qui « fabrique une maladie par molécule au lieu de créer une molécule par maladie ».
« Grâce au soutien vigoureux de l’établissement éducatif, l’incapacité à rester immobile une journée l’esprit engourdi d’ennui sous une discipline excessive s’est transformée en maladie. En psychiatrie, tout ce qu’il faut pour créer une nouvelle maladie, c’est de parvenir à un consensus sur le fait que certains comportements observables sont en réalité une maladie. Toute maladie entrant dans le manuel des diagnostics et statistiques n’en sort plus. » (in https://www.mondialisation.ca/big-pharma-ceux-qui-font-de-nos-vies-une-maladie/19092)
Regardons ce document aimablement transmis par une internaute, une étude : https://www.ipubli.inserm.fr/bitstream/handle/10608/140/?sequence=17
Exemple même de l’étude biaisée.
1/ le symptôme supposé concerne 1% (c’est ce que nous disons). Alors que le TDA H est diagnostiqué à environ 3% des enfants (4.5 millions) ! Supposé 1%, cela ne veut pas dire 1% non plus, loin s’en faut.
2/ Le diagnostic est totalement impossible sans scanner. Or, on parle ici d’études épidémiologiques… qui ne reposent que sur des diagnostics de médecins, c’est-à-dire sans IRM, sur simple déclaration de sa part. Hélas, le médecin généraliste n’y connaît rien. C’est de la supputation, de l’hypothèse. Surtout que l’écrasante majorité des médecins suivent les avis des gros labos (qui leur graissent la patte, en voyages et cadeaux divers…). Il vous suffit pour le savoir de leur demander s’ils reçoivent ce qu’ils appellent des « visites médicales ». La cas échéant, un labo est dans les parages.
On a là le symptôme « H1N1 », du nom de ce virus qui devait éliminer la moitié de la population mondiale et à cause duquel on a vacciné à tour de bras.
Mais, pourquoi cette amplitude ?
Une opération lucrative
C’est d’abord une opération lucrative. Le « TDA H » rapporte gros. Il est un paravent pour activités pétro-chimiques et pharmaceutiques. Monde dans lequel on ne fait pas seulement 40 ou 100 fois la culbute comme dans la mode, mais où on la fait 700 fois, 2.000 fois, et jusqu’à 7.000 fois (avec certains vaccins ou médicaments pour maladies rares) !
Le médicament est un business énorme et totalement amoral. Et croyez bien que nous savons ce que nous disons, pour avoir des parents très insérés dans les labos. D’ailleurs, nous sommes les descendants de fondateurs d’un laboratoire célèbre et la culture familiale en est marquée. N’oubliez pas que le médicament tue plus que la voiture.
Mais ce n’est pas qu’une question de produits à écouler. Le corps médical redoute la consultation au taux horaire du généraliste et se cherche des consultations spécialisées, autrement tarifées.
Depuis 100 ans, il n’y a plus vraiment de grandes maladies à vaincre dans de larges pans de la population. Le corps médical s’est retrouvé avec moins d’activité. Or, il a besoin de malades. Il s’est donc conduit à inventer de la maladie. Dans les couloirs des agences, on explique qu’il faut bien lutter contre le chômage des médecins !
Une opération de psychiatrisation
C’est aussi une énorme opération de psychiatrisation. Un faux et usage de faux. Dès lors que vous relevez d’un trouble, vous n’êtes plus « normal ».
L’inventeur des TDA H avoue que cette maladie n’existe pas. Le TDA H est « une maladie fictive » ! Le saviez-vous ? Pourtant, on enferme encore aujourd’hui, et chaque jour, des gens qui en sont atteints. Et des gens gagnent beaucoup d’argent avec ça, il y a des spécialistes qu’on consulte !
D’ailleurs, d’aucuns parlent d’arnaque en expliquant (en anglais) qu’il y a un manque d’esprit scientifique dans la communauté psychiatrique. Mais les gens sont impressionnés par les blouses blanches.
Quelque chose est en train d’émerger dans le monde libre, de l’autre côté du rideau de blouses. D’ailleurs, voyez cet article: https://www.cchrint.org/psychiatric-disorders/
Et si cela ne suffisait pas, enfonçons le clou : il y a un « mythe » des maladies mentales.
On enferme des gens pour un trouble qu’ils n’ont pas ?
Tenez, imaginez que nous inventions le TDS, Trouble de la Déficience de Scolarité, pour parents se posant des questions sur l’école. Vous pouvez être sûrs que ce serait repris allègrement par des tas de « professionnels », comme autant d’escrocs se jetant sur les naïfs. Pour que l’opération ait du succès, nous serions soutenus par un gros labo. Ce labo aurait des journalistes amis et lancerait une campagne. On parlerait d’un cas anecdotique transformé en « phénomène de société ».
On sortirait des stats, sérieuses ou pas, peu importe en fait. En quelques années, ce serait établi solidement. Les quelques malheureux médecins honnêtes qui s’avisaient de clamer la vérité seraient menacés dans leur pratique (c’est l’effet rouleau-compresseur). Au cas où l’un d’eux se ferait remarquer, on l’attaquerait sur le plan personnel, voire on le piègerait.
Pour finir, le « trouble » entrerait dans les mœurs. Les parents y croiraient, les « malades » aussi. Un jour, vous apprenez que votre enfant a un TDS, un trouble de déficience de la scolarité.
Comme pour confirmer la tendance, entretemps, nous découvrons un article qui annonce un nouveau trouble ! Maintenant, il y a le trouble de ceux qui ne sont pas d’accord avec le système: https://etat-du-monde-etat-d-etre.net/de-la-societe/science-du-controle/creativite-et-non-conformisme-desormais-une-maladie-mentale. Notre raillerie prophétique ?)
C’est ce qui s’est passé avec le TDA H !
L’hyperactivité de l’enfant est largement une création
On peut inventer un « trouble » à chaque fois qu’il y a un problème. TDM: Trouble du Doute des Médias, TEPI, Trouble de l’Envie de Payer ses Impôts… Et si ça ne fait pas assez savant, ajoutons des mots: TCDOS, trouble compulsif de la dys-organie sensorielle (on mettrait dedans des gens qui ressentent moins le sens du toucher); ça le fait, non ? Quel patient va douter ? ça fait si scientifique, aucune maman ne va dire « qu’est-ce que c’est que cette histoire ? », non, elles vont (presque) toutes acquiescer sagement, s’incliner devant la science.
Or, vous le savez maintenant, les troubles de l’attention et de l’hyperactivité ont été inventés. Inventer des maladies, des pathologies, c’est lucratif. Il suffit de créer une molécule. Ensuite, une communication, un titre, un discours. Enfin, vous bougez: on vous étiquette.
Regardez ces images, les premières que nous ayons filmées en numérique:
Evrard faisait le fou, et il le faisait souvent. Jamais nous n’avons pensé qu’il était hyperactif. A demi agité du bocal ça oui 😉 mais hyperactif, non. Sérieusement, un enfant, ça bouge !
Alors, qu’en est-il vraiment de l’hyperactivité de l’enfant ? Dans 99.9% des cas, on parle de gens à qui le système éducatif ou les parents n’offrent pas les moyens d’évacuer leur énergie. Ou imposent des conditions d’existence qui les pousse à réagir ou sur-réagir.
Autrement, nul trouble, mais réaction naturelle.
Par exemple, mettez 30 adultes dans une salle, interdisez-leur de bouger, demandez-leur de rester sagement. L’un d’eux finira par se lever, avant qu’une heure soit passée. C’est alors qu’on le déclarerait hyperactif. Nous avons vu des salles remplies d’adulte où après deux heures, on en venait à s’insulter copieusement. Seraient-ils schizophrènes, paranoïaques, hystériques ?
Non. Ils sont enfermés dans une salle… Maintenez ces 30 adultes dans une salle de classe pendant sept heures et ennuyez-les consciencieusement, comme on le fait à l’école avec les enfants. Nous vous faisons la promesse que vous aurez des bagarres et du chahut beaucoup plus vite qu’avec les enfants. Les enfants sont très patients, ils encaissent beaucoup.
Réaction convenue de l’institution scolaire…
Dès qu’un enfant bouge, l’institution scolaire dit qu’il a un problème. Tel, cet enfant de cinq ans qu’on a accusé de harcèlement sexuel, alors qu’il a fait un baise-main à sa petite voisine.
Tels ces nombreux enfants qu’on dit « hyperactifs » alors qu’ils ont simplement de l’énergie que l’école est incapable de prendre en charge…
Comment se fait-il qu’il y ait 15% d’hyperactifs dans un établissement et aucun dans un autre ? C’est tout simplement que certains établissements gèrent très bien l’énergie de l’enfant, d’autres très mal.
Mais ils ne peuvent pas lire si on ne leur a pas appris et ils ne peuvent se comporter bien si on les ennuie ou on les provoque. Le soir, si vous voulez que le petit dorme, il est clair que vous allez veiller à ce que le grand frère ne vienne pas l’énerver.
Et par conséquent, dire qu’ils sont dyslexiques ou hyperactifs est un scandale, une irresponsabilité et une preuve d’incompétence. Le danger n’est pas l’enfant, le danger est ce système qui peu à peu psychiatrise l’enfant. Soyons vigilants.
Notre promesse au sujet de « l’hyperactivité de l’enfant »
Nous vous faisons la promesse que votre enfant réussira brillamment si on utilise avec lui la bonne méthode. Et à ce moment-là, comme des centaines de parents qui parlaient de dys-bidule, vous direz: « J’y croyais, avant. » Nous voulons vraiment vous transmettre ce message d’espoir: l’enfant peut réussir et dire qu’il a un problème fait exactement le contraire: ça ruine ses possibilités.
Nous avons connu plein d’enfants prétendument « hyperactifs ». Aucun ne l’était en réalité ! Ils étaient concentrés par ce que nous leur racontions, très calmes et attentifs quand nous leur faisions cours. Il était visible qu’ils n’avaient jamais eu de cours comme ça, simplement de bons cours avec un vrai contenu et une méthode honnête. Et ils étaient satisfaits des pauses qui arrivaient au bon moment.
Ils étaient tous plein de vie et leurs parents, la plupart du temps, les acceptaient très bien comme ils étaient, tout en prenant beaucoup de distance vis-à-vis du diagnostic médical. Ils étaient ravis d’apprendre que leur enfant allait bien, selon nous. Et, s’étant organisés comme il le fallait… le trouble a magiquement disparu. L’enfant fait un sport épuisant, il a des activités, et tout d’un coup il n’est plus « hyperactif ».
Il y a enfin la dimension sanitaire du problème.
La santé, une piste
Dans cet article, plusieurs pistes sont proposées. L’auteur convient avec nous que le « TDA H » est tout autre chose que ce qu’en disent les profiteurs (sites nombreux, spécialistes etc.). C’est un article dans lequel vous aurez des conseils précis à suivre.
Les phosphates créent-ils les hyperactifs ?
Voici une lettre d’Augustin de Livois, on y apprend que les phosphates pourraient être partiellement responsable de l’hyperactivité de l’enfant. Cette piste est sans doute intéressante, de même que l’alimentation en général.
Le poisson
Une lettre effrayante de Projet Santé Corps Esprit dit: « les chercheurs ont montré que les enfants Inuit qui avaient dans leur sang un taux élevé de mercure et de plomb à leur naissance étaient trois fois plus nombreux à souffrir du syndrome d’hyperactivité et de déficit de l’attention. (7)
Puis, ils ont découvert que, parmi ces mêmes enfants, ceux qui avaient un taux de mercure élevé à la naissance avaient en moyenne un QI inférieur de 5 points (8) par rapport aux autres. Ce qui prouve à quel point le mercure nuit au développement du cerveau du fœtus !
Et n’imaginez pas que ces enfants avaient des taux de mercure beaucoup plus élevés que chez nous. Les taux étaient globalement similaires à celui des populations occidentales qui mangent beaucoup de poisson. (9)
Voilà pourquoi je suis convaincu que les femmes enceintes devraient prendre des oméga-3 en gélule (comme la vitamine B9 qu’on leur prescrit systématiquement). Et s’abstenir totalement de prendre des produits de la mer.
Et ce même conseil pourrait valoir pour tous ceux d’entre nous qui ont une santé fragile.
(…) sur la seule base de leur contamination au mercure, il me paraît évident :
- Qu’il ne faut jamais manger du requin, de l’espadon, du thon rouge, du thon albacore ou du marlin. Ils devraient tout simplement être retirés du marché, d’autant qu’ils regroupent des espèces en danger, à protéger
- Qu’il n’y a aucune bonne raison de prendre le risque de consommer du thon, du mérou, du merlu, du bar, de la lotte, de la daurade, de la raie (sauf festivité ou occasion particulière), et encore moins de l’anguille et du brochet
- Et qu’il faut limiter sa consommation de truite, crabe, hareng, saumon (sauf d’Alaska), merlan, sole et cabillaud.
(7) Prenatal Methylmercury, Postnatal Lead Exposure, and Evidence of Attention
Deficit/Hyperactivity Disorder among Inuit Children in Arctic Québec, Olivier Boucher et al, 2012 (8) Relation of Prenatal Methylmercury Exposure from Environmental Sources to Childhood IQ, Joseph L. Jacobson et al, Environmental Health Perspectives, 2015
(9) Par exemple les enfants new-yorkais de mère chinoise, comme l’indique l’article.
Présupposés sur le comportement de l’enfant
Dans un échange que nous avons eu récemment, nous disions:
« Pour réfléchir à cette question de l’école à la maison ou pas, il est bon d’abandonner un peu les présupposés. Votre enfant n’est pas une classe, et donc ce qui marche pour une classe manque de quelque chose qui va s’adresser plus particulièrement à l’enfant.
Oui, le « bon comportement » peut être bon pour l’enfant et la classe. Mais le « mauvais comportement » que l’on suppose en disant ça… n’existe pas. Il n’y a pas de mauvais comportement. En fait, le mauvais comportement est une merveilleuse réaction de l’enfant qui nous dit à sa manière « alerte, ça ne va pas du tout pour moi ! »
Le pire que nous ayons à craindre, c’est que l’enfant ne réagisse plus, comme tous ces petits enfants qu’on met sous RISPERDAL ou autre. On peut dire que le mauvais comportement, c’est l’absence de comportement.
Nous ne cherchons pas à obtenir un « bon comportement » de l’élève, c’est une impasse, c’est comme d’essayer de faire en sorte que la bouteille ne roule pas sur le pont du navire. Nous cherchons à ce qu’il ne soit pas conduit à ce mauvais comportement.
Emmanuelle nous dit quant à elle:
Je suis tout à fait d’accord ! nous avons vécu la même chose avec notre fils aîné : le médecin voulait le mettre sous risperdal ! comme ça, je cite « il pourra aller à l’école, rester assis et être content ». J’ai refusé, en expliquant de l’environnement qui ne lui convenait pas. Et que malheureusement, le fait d’avoir donné des antidépresseurs ou des antipsychotiques aux employés dépressifs d’EDF, ne les avait pas tous empêchés de se suicider.
Nous avons donc déscolarisés notre fils et au bout de quelques semaines, il avait retrouvé le sourire, sa joie de vivre. Il s’etait remis à grandir et à prendre du poids ! ils étaient contre la déscolarisation mais sont revenus sur leur jugement quand ils ont vu les bienfaits sur mon fils…
« Votre fils n’est pas trop énergique, lui avons-nous répondu, il est comme il est, et son énergie est merveilleuse. Imaginez-le amorphe devant une télé ou allongé dans le coma, à l’hôpital, et alors vous regretteriez son énergie. Imaginez qu’il ait 18 ans et que la maison brûle. Ne seriez-vous pas fier qu’il vous emporte hors de la maison en fracassant du pied une porte bloquée ?
Imaginez-le autrement en fait: vous n’en seriez pas réellement heureuse, car vous savez au fond de lui que c’est VOUS qui lui avez donné cette énergie.
L’énergie est ce dont l’homme manque le plus. C’est grâce à elle que les grands progrès sont possibles, il faut énormément d’énergie pour inventer, créer, affronter les adversités.
Votre fils a de l’énergie, il a un trésor, il vous emmènera au bout du monde si vous lui en donnez la chance. On a besoin d’hommes, il en sera un.
Donner ce dont l’enfant a besoin
L’enfant à qui on donne ce dont il a besoin a un super comportement. C’est aussi simple que ça.
Un enfant qui va mal dit par son comportement: « l’adulte qui s’occupe de moi ne comprend pas ». Autrement dit, le travail est à faire sur l’adulte.
Ce n’est pas facile quand on n’y a pas réfléchi et qu’on ne s’est pas exercé. Un grand pédagogue est un pédagogue qui a exercé son savoir et qui a aussi du talent, de la créativité, c’est vrai, et ce n’est pas donné à tout le monde.
Voilà: si votre fils ne cadre pas à l’institution, soit l’institution comprend et change, soit vous devez trouver une autre solution. Nous espérons que cela vous apporte de la réflexion.
Amitié »
La réponse de la maman:
« Merci infiniment pour votre réponse rapide et avisée. J’ai toujours su que la vivacité et l’énergie de mon enfant était une richesse. A force de convertir cela en pénibilité, j’ai commencé à ressentir une profonde culpabilité : suis je une bonne mère ? Je pense que mon enfant doit vivre sa vie d’enfant. Et si certains membres de l’institution ne peuvent pas faire preuve de créativité et de pédagogie car il en faut pour captiver un enfant, alors je prendrai d’autres mesures. Je vois bien que l’école ne l’épanouit pas. L’année dernière, il a eu un professeur de talent qui a su faire preuve de discernement, sachant faire la part des choses. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas.
Merci encore pour votre vision des choses on ne peut plus positive et enrichissante.
Très cordialement. »
En conclusion, voici un témoignage parlant, ici-même, sur notre site:
Bonsoir, il y a un an nous retirions notre fils de l’école. Lui aussi était soi-disant tdha (maladie qui ne mérite pas de lettre majuscule) nous avons refusé de le médicaliser davantage. Nous avons tout d’abord cédé (test QI,examen chez l’ophtalmologiste +Orl) : tout va bien!
Donc si tout allait bien ce n’était pas notre enfant qui avait un problème mais les méthodes de l’école ! Aujourd’hui, il a en largement rattrapé son retard et pas grâce à l’école mais grâce aux bonnes méthodes. Evidemment, ce n’est pas immédiat. Il faut être patient et ne pas vouloir calquer son enfant sur les autres. Attitude que nous avons en bons débutants formatés et fragilisés que nous étions tout autant que notre enfant.
C’est votre enfant, enlevez-lui tout de suite cette idée qu’il y a quelque chose qui cloche chez lui !
Souvenez- vous! Avant son entrée à l’école,votre enfant était formidable,merveilleux, unique! Continuez de le regardez comme vous l’aimez et faites lui l’école à la maison, à son rythme. Nous sommes heureux d’avoir pris cette décision il y a un an. Ces maladies inventées sont des offenses a la nature sacrée de l’enfance. Soyez courageuse et faites vous confiance. Vous pouvez également regarder la vidéo de Rémy traitant ce sujet.
L’enfance n’est pas un trouble mental !
Dans cette vidéo, ADHD signifie TDA H en anglais.
Très bonne vidéo à voir: on y parle d’une « épidémie fictive »:
Et puis, un psychiatre reprend ce que nous disons.
***L’article de ReinformationTV:
L’hyperactivité : maladie mentale… ou non ? Une étude néerlandaise
Une étude publiée par la prestigieuse revue scientifique The Lancet Psychiatry par une équipe de chercheurs néerlandais du Radboudumc l’affirme carrément. L’hyperactivité, volontiers désignée par l’acronyme anglophone d’ADHD, est une maladie mentale à part entière. Les troubles de déficit d’attention si souvent diagnostiqués chez les enfants dès le plus jeune âge relèveraient donc d’un traitement médical. Si du moins l’on pousse à bout les implications de cette étude néerlandaise.
La presse aux Pays-Bas a donné un grand écho à l’affaire – mais à tort, affirme Laura Batstra, professeur d’orthopédagogie à l’université de Groningue, qui accuse aussi bien les chercheurs que les commentateurs médiatiques d’en avoir abusivement tiré des conclusions.
Il aurait été plus juste, signale l’universitaire, de présenter l’étude ENIGMA en ces termes : « Une étude hors de prix du cerveau et de l’hyperactivité ne donne aucun résultat. » Pas très vendeur !
Sa tribune, publiée par le quotidien néerlandais Trouw, s’ouvre sur un constat : il est plus facile de se faire publier par The Lancet sous un titre ferme en apportant une conclusion carrée. Est-ce pour cela que le Dr Martine Hoogman et ses 81 coauteurs tirent des conclusions hâtives de leur étude ? Le Pr Batstra en est persuadé. A quoi s’ajoute le fait qu’un grand nombre des auteurs ont des liens avec l’industrie pharmaceutique : « La liste des conflits d’intérêts sous leur article semble interminable ».
Selon une étude néerlandaise, l’hyperactivité se voit sur les scans du cerveau
L’étude ENIGMA a voulu répertorier « les différences sub-corticales » entre les personnes souffrant d’hyperactivité et les autres, de manière à démontrer que l’ADHD relève d’une perturbation cérébrale. Les auteurs encouragent médecins et autres responsables des soins à présenter la chose ainsi aux parents d’enfants affectés.
Les véritables conclusions auxquelles permettent de parvenir les données utilisées par l’étude sont tout autres, affirme le professeur de pédagogie. « Premièrement, des différences cérébrales entre les enfants porteurs d’un diagnostic hyperactivité et les autres sont si petites qu’elles sont négligeables. Deuxièmement, ces différences, déjà insignifiantes, semblent disparaître d’elles-mêmes lorsque les enfants deviennent adultes ».
Les chercheurs se sont appuyés sur les résultats de micro-études antérieures, souvent assez anciennes, ce qui leur a permis de comparer les données de 1.713 personnes diagnostiquées hyperactives avec celles d’un groupe témoin de 1.529 personnes non porteuses du diagnostic. Or, au niveau des groupes, on a constaté que cinq zones du cerveau des hyperactifs sont de quelque pourcents plus petites que la moyenne. Sans que l’on puisse pour autant affirmer que cela est vrai des individus dans la plupart des cas.
La différence de taille est également minime : la mesure de l’effet de taille (d de Cohen) des différences de mesures se situent systématiquement entre -0,19 et 0,19. « Concrètement cela signifie que si l’on doit déterminer sur la base d’un scan du cerveau si un enfant est hyperactif, les chances de tomber juste se situent à 1 à 2 % au-dessus de celles du pur hasard ». En clair : l’effet est nul ou négligeable.
L’hyperactivité, maladie mentale ? Sortons la Ritaline !
Cela n’a pas empêché la presse néerlandaise d’affirmer que l’on pouvait constater l’ADHD sur le scan du cerveau, « spécialement chez les enfants ».
L’hyperactivité n’est rien d’autre qu’une maladie mentale, titraient donc les journaux aux Pays-Bas, tandis que le site Internet de l’hôpital universitaire Radboud affirmait, le 16 février dernier : « L’ADHD est visible à cinq endroits du cerveau ».
La colère de Laura Batstra vient du fait que les enfants à qui l’on explique qu’ils ont une maladie mentale sont ceux qui en payent le prix, alors qu’il s’agit d’un « mythe biomédical ». Et non seulement ils se sentent stigmatisés, mais on les envoie chez le psychiatre au moindre trouble du comportement, le psychiatre se dépêchant alors de poser un diagnostic d’hyperactivité – affaire en plein essor aux Pays-Bas – et de prescrire des drogues psychoactives de type Ritaline, aux effets secondaires néfastes.
La croisade du professeur de Groningue ne date pas d’aujourd’hui : elle a beaucoup étudié et écrit sur l’hyperactivité qui selon elle est simplement le signe que les enfants ne sont pas tous pareils et que certains sont plus exigeants vis-à-vis de leur entourage que d’autres, ayant éventuellement besoin d’aide comportementale.
On pourrait ajouter le constat de professeurs, d’orthophonistes et autres soignants pour qui les méthodes pédagogiques globales contemporaines favorisent ce « désordre », qui disparaît comme neige au soleil lorsqu’on revient à un enseignement plus structuré et plus structurant.
Anne Dolhein
El psiquiatra que « descubrió » el TDA H confesó antes de morir que « es una enfermedad ficticia »
A la psiquiatría hace tiempo que se le ve el plumero. Son tantas las enfermedades y trastornos que se describen en sus manuales que hoy en día lo raro es no tener nada. Después de hacer saltar las alarmas al incluir las rabietas en el último Manual de Pediatría DSM (la biblia de los psiquiatras) y después de ver como el gobierno estadounidense declara en un informe que 1 de cada 5 niños tiene un trastorno de la salud mental, cifras que parecen un insulto al sentido común de la población, porque es imposible que tantos niños estén mentalmente enfermos, aparecen unas declaraciones de Leon Eisenberg, el psiquiatra que « descubrió » el TDA H, que no dejan indiferente a nadie que viva o trabaje con niños.
El semanario alemán Der Spiegel, en un artículo en que ponía en relieve el aumento de enfermedades mentales en la población alemana, explicó que Eisenberg dijo, siete meses antes de morir, cuando contaba ya con 87 años, que « el TDA H es un ejemplo de enfermedad ficticia ».
Los inicios del TDA H
Los primeros intentos por tratar de explicar que había niños con TDA H sucedieron en 1935. Por aquellos tiempos, los médicos habían tratado por primera vez a niños de primaria con un carácter inquieto y con dificultad para concentrarse en lo que se les pedía, bajo el diagnóstico de síndrome post-encefálico. Fue un intento que no cuajó porque claro, la mayoría de esos niños nunca habían tenido encefalitis.
En los años sesenta apareció el protagonista de nuestra historia, Leon Eisenberg, quien volvió a hablar de dicha enfermedad, pero esta vez con otro nombre, « reacción hipercinética de la infancia ». Bajo dicho diagnóstico pudo tratar a alumnos difíciles, probando diferentes psicofármacos con ellos. Empezó con dextroanfetamina y luego utilizó el metilfenidato, droga con la que consiguió su objetivo y que hoy en día prevalece como tratamiento de elección: los niños enérgicos se transformaban en niños dóciles.
En el año 1968 se incluyó la « reacción hipercinética de la infancia » en el Manual Diagnóstico y Estadístico (DSM) y desde entonces forma parte de dicho manual, sólo que ahora recibe el conocido nombre de Trastorno de Déficit de Atención e Hiperactividad (TDA H).
El logro de Eisenberg y sus colaboradores fue conseguir que la gente creyera que el TDA H tiene causas genéticas, que es una enfermedad con la que se nace. Él mismo dijo, junto con las palabras en que decía que era una enfermedad inventada, que la idea de que un niño tenga TDA H (entendemos que la idea de que un niño sea muy movido y sea un alumno problemático) desde el nacimiento estaba sobrevalorada. Sin embargo, al conseguir que esto calara en la población y en los padres, el sentimiento de culpa desaparece, los padres se sienten aliviados porque el niño ha nacido así y el tratamiento es menos cuestionable. En 1993 se vendieron en las farmacias alemanas 34 kg de metilfenidato. En el año 2011 se vendieron 1.760 kg.
El conocido psiquiatra, que llegó a hacerse cargo de la gestión del servicio de psiquiatría en el prestigioso Hospital General de Massachusetts en Boston, donde fue reconocido como uno de los más famosos profesionales de la neurología y de la psiquiatría del mundo, decidió confesar la verdad meses antes de morir afectado de un cáncer de próstata, añadiendo que lo que debería hacer un psiquiatra infantil es tratar de determinar las razones psicosociales que pueden producir problemas de conducta.
Ver si hay problemas con los padres, si hay discusiones en la familia, si los padres están juntos o separados. Si hay problemas con la escuela, si al niño le cuesta adaptarse, por qué le cuesta, etc. A todo esto añadió que, lógicamente, esto lleva un tiempo, un trabajo y acompañado de un suspiro concluyó: « prescribir una pastilla contra el TDA H es mucho más rápido » (a lo que yo añadiría « y mucho más ventajoso para el negocio de la psiquiatría »).
El negocio de la psiquiatría
Como he dicho al principio de la entrada parece que la psiquiatría es un monstruo capaz de llevarse cualquier cosa por delante, con un hambre voraz, que no se detiene y que hará todo lo posible por tratar de conseguir que toda persona sana acabe tomando una u otra medicación para tratar su (no) enfermedad. Se les ve el plumero, y una prueba más de ello es que ya existe la próxima enfermedad que será difundida por toda la infancia: el trastorno bipolar o enfermedad maníaco-depresiva.
Hasta los años noventa era una afección desconocida en los niños. Ahora ya es uno de los diagnósticos más frecuentes en psiquiatría infantil, hasta el punto que las visitas por este trastorno se han multiplicado por 40 en menos de diez años, siendo muchos de los « enfermos » niños de dos y tres años.
Uno de los responsables de la llegada del trastorno bipolar a EE.UU. es el psiquiatra Joseph Biederman, que lleva años haciendo estudios y conferencias sobre el tema y que recibió 1,6 millones de dólares entre el año 2000 y el 2007, procedentes de las farmacéuticas que fabricaron los medicamentos para dicho trastorno, al parecer para dedicarlos a seguir investigando la enfermedad.
Pero esto no es todo. Para conocer el alcance real del negocio de la psiquiatría, para ver hasta qué punto se inventan las enfermedades para luego poder dar los fármacos que ya existen, un estudio realizado por la psicóloga estadounidense Lisa Cosgrove reveló que, de los 170 miembros del grupo de trabajo del DSM (Manual diagnóstico y estadístico de los trastornos mentales), es decir, los que hacen el manual de psiquiatría de referencia mundial, 95 (el 56%) tenía una o más relaciones financieras con las empresas de la Industria Farmacéutica.
¿ Existe el TDA H ?
Yo no sé si existe o no existe (y eso que el que la inventó dice que no), ni tampoco me toca a mí responder a esta pregunta, sin embargo estoy seguro de que son muchos los niños diagnosticados cuyo único pecado ha sido ser demasiado movidos, o ser demasiado insistentes a la hora de demandar de sus padres un poco más de atención. Ya hace más de dos años os ofrecí entradas en las que explicaba cómo se diagnostica el TDA H, para que vierais que no existe ninguna prueba diagnóstica de ningún tipo que determine que un niño tiene el mencionado trastorno. Todo se hace en base a la observación y en base al cumplimiento o no de unos criterios o parámetros que los niños normales deben hacer.
Ahora bien, ¿qué es ser normal? Krishnamurti dijo que « no es signo de buena salud el estar bien adaptado a una sociedad profundamente enferma », así que quién sabe, quizás los niños que se rebelan ante el intento de domesticarles, aquellos que no soportan estar sentados escuchando cosas que no les interesan, aquellos que preferirían poder decidir qué hacer en sus vidas en todo momento, aquellos que quieren probarlo todo y no dejarse nada, quizás sean al fin y al cabo los más cuerdos.
No digo que ninguno de estos niños no tengan nada.
No digo que no necesiten ayuda, porque es muy probable que muchos de ellos tengan muchos problemas, pero nunca he creído en la existencia de un trastorno que afecte al 10% de los niños y mucho menos he creído en la cura milagrosa del metilfenidato, porque si bien los niños cambian su comportamiento, los problemas que hicieron que el niño funcionara de un modo no aceptado siguen ahí.
El sobrediagnóstico del TDA H puede poner en riesgo la salud de los niños, Posibles causas del TDA H en niños y niñas.
[/s2If] [s2If current_user_can(access_s2member_level1)]. Staline ne disait pas autre chose et il envoyait des millions de gens aux psychiatres.
Notons aussi que ces médecins sont liés à BigPharma, autrement dit les labos qui leur donnent des avantages en nature.
3 à 5%, dites-vous ? c’est grave. Une cause nationale peut-être. Un désastre qui mériterait des millions d’investissements ! qui mériterait des subventions… Mais plus grave encore, l’école dénombre jusqu’à 15% de cas ! Un enfant bouge un peu, différemment des adultes, il agace et hop ! étiqueté TDA H…
Sur le site n°1 sur google, quand on tape TDA H, un médecin écrit:
« Les troubles de l’hyperactivité sont clairement décrits depuis longtemps, le diagnostic codifié et le traitement bien connus (avec un s, sic). Bref, les médecins qui disent que ce trouble n’existe pas ont dû sauter quelques chapitres…«
A la vérité, ce médecin a dû, quant à lui, sauter quelques années d’étude et quelques ouvrages de déontologie.
Car dans cette phrase tout est faux
Le trouble n’apparaît en fait que très récemment, en 1987, c’est un brevet déposé par un gros labo. Si l’on consulte l’article historique du TDA H rédigé par ce médecin, on s’aperçoit qu’il fait remonter au XVIIIème siècle des… études sur l’attention. Enorme. L’attention de l’être humain ou de l’enfant est étudiée depuis très longtemps, depuis Hypocrate même, mais… quel rapport avec le TDA H ?
C’est comme si on disait « la maladie d’Alzheimer est parfaitement codifiée et le traitement connu depuis longtemps » et que l’on brandissait des exemples de folie, par exemple celle de Néron brûlant Rome. Halte là ! Il y a confusion.
Bref, lorsque vous lisez que les troubles de l’hyperactivité sont « clairement décrits depuis longtemps, le diagnostic codifié », vous avez affaire à une usurpation et un abus de confiance. Merveilleux mensonges qui laissent certains parent béats d’admiration ! D’autres écriraient « l’être humain est parfaitement connu, codifié », ce ne serait pas plus sot.
Si le traitement est parfaitement connu, donnez-le nous docteur, on est prêts à payer. Et hop ! un médicament, le labo vous remercie.
Dans le vivant, rien n’est aussi simple, aussi bien codifié et connu. La vie est un mystère, que cela plaise ou non. Et prétendre qu’un neuroleptique est un « traitement » efficace est une escroquerie morale et un attentat à la santé d’autrui.
Cette suite d’affirmations est donc aussi grotesque que l’était la promesse des révolutionnaires de 1789 qu’il n’y aurait « plus de maladie dans 50 ans grâce à la science ». Molière a bien décrit ces médecins savants qui ne guérissent… personne. Les cas se multiplient : où est le remède miracle de ces professionnels ? Les enfants qui ont pris les anxiolytiques sont-ils guéris ? Non, jamais. Ils sont calmés provisoirement et leur cerveau a été diminué par la charge chimique, c’est tout.
« … (le trouble de déficit de l’attention) est une invention. Chaque enfant qui ne réussit pas à l’école est envoyé voir un pédiatre, et le pédiatre dit «C’est le TDA H, voici de la Ritaline». En fait, 90 % de ces 5,4 millions d’enfants n’ont pas un métabolisme anormal de la dopamine. Le problème, c’est que si le médicament est disponible pour les médecins, ils feront le diagnostic correspondant.» (Jerome Kagan, psychologue et professeur à l’ Université de Harvard)
C’est exactement ce que nous disons depuis des années.
Cette prétention de certains médecins à tout expliquer est scientifiquement sans fondement.
Si on a décrit des difficultés de l’attention depuis la nuit des temps, on n’a pas de certitude, rien n’est définitif, de nouveaux cas apparaissent tous les jours. D’autre part rien n’a été codifié, puisqu’on ignore tout ou presque du cerveau et que les cas se multiplient. Ces médecins vous assurent qu’ils ont la situation en main mais oublient ce qui se passe dans la réalité. Ils prennent vos chèques au passage, naturellement. On a ici un classique cas de charlatanerie.
En lisant ces « spécialistes », on s’aperçoit qu’ils confondent volontairement énergie débordante, attention distraite, attention sciemment détournée, problèmes sanitaires divers et… trouble pathologique !
Bref, le TDA H est le grand fourre-tout de certains psys peu scrupuleux. Réponse directe à ce professionnel : vous avez dû sauter quelques cours d’éthique. Faire de l’argent en étiquetant un enfant à tort, ce n’est guère moral. Nous avons diagnostiqué votre trouble: c’est un TBFA: Trouble du Besoin de Faire de l’Argent…
Mais il n’est pas le seul. Le « trouble » est une mine d’or, comme bien d’autres pathologies imaginaires qui poussent à consommer des psychotropes, anxiolytiques et autres drogues mortelles. Les médecins sont affirmatifs et y vont à grands coups de fourche.
La réalité ? Elle est horrible : de 2010 à 2014 (en 5 ans), la quantité de comprimés vendus en pharmacie a augmenté de 56 %
Québec, où au moins on a des chiffres (comparables en France), bat le record canadien de consommation des psychostimulants. En 2011, Québec compte 23 % de la population, mais consomme 35 % des psychostimulants de tout le Canada. On va nous expliquer comment une population d’un même pays peut être réellement plus malade qu’une autre…
Dans ce fatras médicamenteux, on passe allègrement à la sur-médicamentation de l’enfant qui, forcément, doit être malade quelque part lui aussi. On n’est même plus effrayé de donner des psychotropes à l’enfant.
Les EHDAA (élèves handicapés ou en difficulté d’apprentissage ou d’adaptation) représentent maintenant 20 % de tous les élèves, contre 12 % il y a 10 ans.
On voit le désastre ! Les médecins ont des certitudes. Les parents s’habituent.
Ce serait une « maladie ». Les « victimes » sont elles-mêmes dans l’acceptation.
Oui, mais… non
On n’a aucune trace d’une quelconque réalité neurologique, comme l’explique très bien Santé Nature Innovation.
« Il faut bien réaliser que, contrairement à d’autres maladies neurologiques comme la maladie d’Alzheimer, il n’y a aucun test psychométrique, biologique ou physique, comme un scanner du cerveau par exemple, qui permette de diagnostiquer le TDA/H. »
Lisez l’article, il vous fera du bien, car il expose la réalité intestinale et biologique sous-jacente chez nombre d’enfants turbulents ou diagnostiqués « TDA H », tandis que l’on sait également que le mercure dans le poisson (voir plus bas) est un très possible agent.
En réalité, les enfants souffrant d’un réel excès de turbulence – qui sont des cas cliniques – sont peut-être 1 pour mille. Ils servent à accréditer la réalité d’un symptôme. C’est aussi ce que dit cet article.
Avec des exceptions, on fait une pandémie ! De cas isolés, on fait une généralité. Pratique: l’école se débarrasse d’un problème (ses enseignants ne sont aucunement formés pour faire face) et on entretient des intérêts financiers.
Faux diagnostics, donc ?
C’est ce que dit cet article depuis la parution de notre article: https://www.ledevoir.com/societe/education/319948/le-grand-nombre-de-faux-diagnostics-de-trouble-de-deficit-d-attention-inquiete
Dans les commentaires, Elodie nous dit:
si votre enfant est qualifié de TDA H, faites attention qu’il ne s’agisse pas d’un problème de surdité ou visuel (pas seulement l’acuité, mais la perception, la vision binoculaire, les problèmes de convergence)… ou autre chose.
En effet, plein de choses sont taxées de TDHA ou de dyslexies !
Et le traitement est…
Le traitement ? La Ritaline*. Un médicament… qui entraîne des troubles du sommeil, notamment. Le genre de chose qu’on ne devrait JAMAIS donner à un enfant. Ou l’Aderall et le Concerta, « que le service américain de lutte contre les stupéfiants classe dans la même catégorie de drogues hautement addictives que la cocaïne, la morphine et l’opium. »
Comme le dit encore Santé Nature Innovation, pour apaiser l’enfant, mieux vaudrait commencer par « diminuer fortement ou éliminer de son alimentation le sucre et en particulier le fructose », de même qu’il est impératif d’arrêter de consommer certains poissons (voir liste en fin d’article).
Tous les médicaments psychiatriques fonctionnent en « désactivant » le cerveau. Ce message est à faire passer partout autour de vous parce qu’il explique le fonctionnement de base de tous les médicaments psychiatriques, y compris les anti-dépresseurs, les anti-psychotiques, les anxiolytiques et même les somnifères.
Ce fonctionnement de base est très simple.
Tout le monde peut le comprendre même sans avoir fait médecine. Mais une fois qu’on le sait, on a compris une chose très importante, qui permet d’éviter de tragiques erreurs, et de lourdes conséquences.
Ce fonctionnement, c’est tout simplement que tous les médicaments psychiatriques désactivent, puis détruisent, des fonctions essentielles du cerveau.
Aucun de ces médicaments ne traite ni ne guérit une maladie. Ils sont en ce sens complètement différents des autres médicaments utilisés par la médecine » (extrait de la lettre citée ici)
Il serait bon à la place de s’intéresser aux huiles essentielles. Un blog parle des troubles, de l’autisme et de l’efficacité de certaines huiles.
Commençons par un tir de contre-batterie immédiat: quand un comportement est traité par un médicament et qu’on parle de maladie, il y a falsification du diagnostic. Un comportement n’est jamais soigné par un médicament. Il a toujours son origine dans le cerveau.
Or, la Ritaline, ni aucun médicament actuellement prescrit, ne vise d’action directe sur le cerveau et a fortiori ne peut avoir d’effet bénéfique sur le cerveau. Il faut d’ailleurs PROSCRIRE toute médicamentation visant le cerveau (sauf spécification d’un neurologue de très haut vol, après examen par scanner).
Ce genre de saletés chimiques est à refuser radicalement. Ce type de médicament cause de grands dégâts dans le corps et le cerveau.
Contre le TDA ou même la simple hyperactivité de l’enfant, on donne des calmants…
Le comportement ne se traite pas par le médicament. Il a toujours une explication en amont, par l’environnement de l’enfant (sauf, comme toujours rappelez-vous, en cas de lésion ou de pathologie).
Cet environnement, c’est aussi sa famille, ses proches et son écologie, c’est-à-dire alimentation, sommeil etc. dont nous parlons abondamment dans notre accompagnement.
L’hyperactivité de l’enfant, disons l’énervement, sa turbulence ou son comportement odieux proviennent bien sûr très souvent, outre l’alimentation dont parle l’article de Santé Nature Innovation, des mauvaises conditions de vie au sein de sa famille et de mauvais traitements ou de manques d’attention de la part de proches, si fréquents, sont facilement décelables par les enseignants… sans qu’ils puissent pratiquement rien y faire d’ailleurs.
Ce sont les autres enfants qui en payent les conséquences. Mais quant à lui, il n’a aucune issue: tant que son environnement est malsain, il est condamné, et plus cela dure, moins il aura de chance de s’en sortir aisément.
La réaction de l’enfant s’explique naturellement, par ce qu’il reçoit ou subit. Plus sa réaction est énergique, plus la pression est forte.
Adultes: interrogez-vous, car c’est à votre niveau que se situe la difficulté, non à celui de l’enfant.
Autrement dit, si votre enfant n’a pas eu de lésion ou de pathologie, ce que seul un examen approfondi à l’hôpital et par des très grands spécialistes, avec des appareils de détection, peut révéler, on ne peut en aucun cas affirmer péremptoirement qu’il a un trouble.
Mais alors, qu’est-ce que cette histoire ?
« Le TDA H est un trouble mental bidon » dit cet article, qui corrobore nos propres travaux.
C’est Leon Eisenberg qui a inventé le TDA H
Il a dit lui-même au Spiegel:
« Le TDA H est l’exemple même d’une maladie fabriquée » (TDA H is a prime example of a fictitious disease).
Le Spiegel commente : Leon Eisenberg a pris ses distances avec ce qu’il nomme son pêché de jeunesse…
https://www.ledevoir.com/culture/livres/448654/le-tdah-est-il-une-fausse-maladie
Une maman nous écrit au sujet d’un post sur Facebook:
Bonjour. J’étais motivée jusqu’au moment où je vous lis à propos du tda th et des dys. Cela m’à fortement déçue et ne m’à pas donné envie de continuer.
Ces troubles existent bel et bien. J’ai eu 2 enfants scolarisés à la maison. Pour le premier cela a été passionnant et à créé un lien particulier, pour celui qui est tda h, cela a été éreintant et peu concluant.
Nous:
On ne peut pas dire ça. Si vous avez une mauvaise expérience avec lui, c’est que la méthode n’était pas bonne. Vous ne l’avez pas vécue avec nous, apparemment. Pour le TDAH, avez-vous un scanner qui le prouve ? Il y a un trouble qui existe bien et qui relève soit de l’alimentation et de l’environnement, soit d’un manque qu’il n’est pas possible de compenser à l’école. Il n’a rien à voir avec le TDA H.Ce que les médecins et les labos appellent TDA H est une imposture. Bien sûr, les parents ont besoin d’être confortés par rapport à un système qui leur a menti et qui a nié l’existence de leur problème.Mais leur problème est ailleurs.Et même, nous disons qu’il n’y a pas de problème, ne serait-ce que parce que le symptôme disparaît au bout de quelques mois.Peut-être avez-vous vu la série « Dr House », ce médecin insupportable qui démonte les faux diagnostics ? C’est ce que nous faisons. Oui, il y a quelque chose, non, ce n’est pas un TDA H, maladie qui n’existe nulle part dans les grandes catégories de maladies.Allez voir un neuropédiatre sérieux, il n’osera jamais vous parler du TDA H: dans son esprit, il relie ça à autre chose. Les médecins sont obligés d’acquiescer parce que le parent a besoin d’entendre ce discours. Mais ils n’y croient absolument pas. Les études cliniques n’ont JAMAIS isolé le TDA H.Où avez-vous vu un scanner isolant le TDA H ?
Le TDA H est en fait un acronyme pour un ensemble de symptômes qui s’expliquent parfaitement, indépendamment, comme une SEP (Sclérose en plaque) explique une série de symptôme médicaux bel et bien constatés.
Nous mettons d’ailleurs au défi le public et les médecins de nous apporter une preuve matérielle du TDA H: jamais personne ne nous l’a jamais apportée…Vous vous rendez compte: nous lançons un défi public en disant: apportez-nous une preuve de l’existence, et personne n’arrive à répondre ? N’est-ce pas fantastique ?
Les TDA H, c’est une invention récente. On les a assimilés fallacieusement aux troubles moteurs qui ont des origines avérées dans le cerveau, ce que n’ont pas les « TDA H » sauf à prouver le contraire chez les 99% de diagnostiqués.
1987: les membres de l’APA (Association psychiatrique américaine) votent à main levée l’introduction dans le DSM (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) d’un nouveau trouble psychiatrique: le TDA H (Troubles déficitaire de l’attention/hyperactivité). En l’espace d’un an, 500.000 enfants américains reçoivent ce diagnostic. Aujourd’hui, étiquetés hyperactifs, plus de 6 millions d’enfants américains prennent le chemin de l’école après avoir avalé leurs pilules d’amphétamine (Ritaline, pour ne citer que la plus employée).
A noter: l’Association psychiatrique américaine regroupe des quantités de gens sans aucun diplôme ! Et les dirigeants, ce sont les labos.
C’est aberrant ? Non, c’est scandaleux
On se retrouve entre les mains de « Big Pharma », comme on dit aux USA, c’est-à-dire l’industrie qui « fabrique une maladie par molécule au lieu de créer une molécule par maladie ».
« Grâce au soutien vigoureux de l’établissement éducatif, l’incapacité à rester immobile une journée l’esprit engourdi d’ennui sous une discipline excessive s’est transformée en maladie. En psychiatrie, tout ce qu’il faut pour créer une nouvelle maladie, c’est de parvenir à un consensus sur le fait que certains comportements observables sont en réalité une maladie. Toute maladie entrant dans le manuel des diagnostics et statistiques n’en sort plus. » (in https://www.mondialisation.ca/big-pharma-ceux-qui-font-de-nos-vies-une-maladie/19092)
Regardons ce document aimablement transmis par une internaute, une étude : https://www.ipubli.inserm.fr/bitstream/handle/10608/140/?sequence=17
Exemple même de l’étude biaisée.
1/ le symptôme supposé concerne 1% (c’est ce que nous disons). Alors que le TDA H est diagnostiqué à environ 3% des enfants (4.5 millions) ! Supposé 1%, cela ne veut pas dire 1% non plus, loin s’en faut.
2/ Le diagnostic est totalement impossible sans scanner. Or, on parle ici d’études épidémiologiques… qui ne reposent que sur des diagnostics de médecins, c’est-à-dire sans IRM, sur simple déclaration de sa part. Hélas, le médecin généraliste n’y connaît rien. C’est de la supputation, de l’hypothèse. Surtout que l’écrasante majorité des médecins suivent les avis des gros labos (qui leur graissent la patte, en voyages et cadeaux divers…). Il vous suffit pour le savoir de leur demander s’ils reçoivent ce qu’ils appellent des « visites médicales ». La cas échéant, un labo est dans les parages.
On a là le symptôme « H1N1 », du nom de ce virus qui devait éliminer la moitié de la population mondiale et à cause duquel on a vacciné à tour de bras.
Mais, pourquoi cette amplitude ?
Une opération lucrative
C’est d’abord une opération lucrative. Le « TDA H » rapporte gros. Il est un paravent pour activités pétro-chimiques et pharmaceutiques. Monde dans lequel on ne fait pas seulement 40 ou 100 fois la culbute comme dans la mode, mais où on la fait 700 fois, 2.000 fois, et jusqu’à 7.000 fois (avec certains vaccins ou médicaments pour maladies rares) !
Le médicament est un business énorme et totalement amoral. Et croyez bien que nous savons ce que nous disons, pour avoir des parents très insérés dans les labos. D’ailleurs, nous sommes les descendants de fondateurs d’un laboratoire célèbre et la culture familiale en est marquée. N’oubliez pas que le médicament tue plus que la voiture.
Mais ce n’est pas qu’une question de produits à écouler. Le corps médical redoute la consultation au taux horaire du généraliste et se cherche des consultations spécialisées, autrement tarifées.
Depuis 100 ans, il n’y a plus vraiment de grandes maladies à vaincre dans de larges pans de la population. Le corps médical s’est retrouvé avec moins d’activité. Or, il a besoin de malades. Il s’est donc conduit à inventer de la maladie. Dans les couloirs des agences, on explique qu’il faut bien lutter contre le chômage des médecins !
Une opération de psychiatrisation
C’est aussi une énorme opération de psychiatrisation. Un faux et usage de faux. Dès lors que vous relevez d’un trouble, vous n’êtes plus « normal ».
L’inventeur des TDA H avoue que cette maladie n’existe pas. Le TDA H est « une maladie fictive » ! Le saviez-vous ? Pourtant, on enferme encore aujourd’hui, et chaque jour, des gens qui en sont atteints. Et des gens gagnent beaucoup d’argent avec ça, il y a des spécialistes qu’on consulte !
D’ailleurs, d’aucuns parlent d’arnaque en expliquant (en anglais) qu’il y a un manque d’esprit scientifique dans la communauté psychiatrique. Mais les gens sont impressionnés par les blouses blanches.
Quelque chose est en train d’émerger dans le monde libre, de l’autre côté du rideau de blouses. D’ailleurs, voyez cet article: https://www.cchrint.org/psychiatric-disorders/
Et si cela ne suffisait pas, enfonçons le clou : il y a un « mythe » des maladies mentales.
On enferme des gens pour un trouble qu’ils n’ont pas ?
Tenez, imaginez que nous inventions le TDS, Trouble de la Déficience de Scolarité, pour parents se posant des questions sur l’école. Vous pouvez être sûrs que ce serait repris allègrement par des tas de « professionnels », comme autant d’escrocs se jetant sur les naïfs. Pour que l’opération ait du succès, nous serions soutenus par un gros labo. Ce labo aurait des journalistes amis et lancerait une campagne. On parlerait d’un cas anecdotique transformé en « phénomène de société ».
On sortirait des stats, sérieuses ou pas, peu importe en fait. En quelques années, ce serait établi solidement. Les quelques malheureux médecins honnêtes qui s’avisaient de clamer la vérité seraient menacés dans leur pratique (c’est l’effet rouleau-compresseur). Au cas où l’un d’eux se ferait remarquer, on l’attaquerait sur le plan personnel, voire on le piègerait.
Pour finir, le « trouble » entrerait dans les mœurs. Les parents y croiraient, les « malades » aussi. Un jour, vous apprenez que votre enfant a un TDS, un trouble de déficience de la scolarité.
Comme pour confirmer la tendance, entretemps, nous découvrons un article qui annonce un nouveau trouble ! Maintenant, il y a le trouble de ceux qui ne sont pas d’accord avec le système: https://etat-du-monde-etat-d-etre.net/de-la-societe/science-du-controle/creativite-et-non-conformisme-desormais-une-maladie-mentale. Notre raillerie prophétique ?)
C’est ce qui s’est passé avec le TDA H !
L’hyperactivité de l’enfant est largement une création
On peut inventer un « trouble » à chaque fois qu’il y a un problème. TDM: Trouble du Doute des Médias, TEPI, Trouble de l’Envie de Payer ses Impôts… Et si ça ne fait pas assez savant, ajoutons des mots: TCDOS, trouble compulsif de la dys-organie sensorielle (on mettrait dedans des gens qui ressentent moins le sens du toucher); ça le fait, non ? Quel patient va douter ? ça fait si scientifique, aucune maman ne va dire « qu’est-ce que c’est que cette histoire ? », non, elles vont (presque) toutes acquiescer sagement, s’incliner devant la science.
Or, vous le savez maintenant, les troubles de l’attention et de l’hyperactivité ont été inventés. Inventer des maladies, des pathologies, c’est lucratif. Il suffit de créer une molécule. Ensuite, une communication, un titre, un discours. Enfin, vous bougez: on vous étiquette.
Regardez ces images, les premières que nous ayons filmées en numérique:
Evrard faisait le fou, et il le faisait souvent. Jamais nous n’avons pensé qu’il était hyperactif. A demi agité du bocal ça oui 😉 mais hyperactif, non. Sérieusement, un enfant, ça bouge !
Alors, qu’en est-il vraiment de l’hyperactivité de l’enfant ? Dans 99.9% des cas, on parle de gens à qui le système éducatif ou les parents n’offrent pas les moyens d’évacuer leur énergie. Ou imposent des conditions d’existence qui les pousse à réagir ou sur-réagir.
Autrement, nul trouble, mais réaction naturelle.
Par exemple, mettez 30 adultes dans une salle, interdisez-leur de bouger, demandez-leur de rester sagement. L’un d’eux finira par se lever, avant qu’une heure soit passée. C’est alors qu’on le déclarerait hyperactif. Nous avons vu des salles remplies d’adulte où après deux heures, on en venait à s’insulter copieusement. Seraient-ils schizophrènes, paranoïaques, hystériques ?
Non. Ils sont enfermés dans une salle… Maintenez ces 30 adultes dans une salle de classe pendant sept heures et ennuyez-les consciencieusement, comme on le fait à l’école avec les enfants. Nous vous faisons la promesse que vous aurez des bagarres et du chahut beaucoup plus vite qu’avec les enfants. Les enfants sont très patients, ils encaissent beaucoup.
Réaction convenue de l’institution scolaire…
Dès qu’un enfant bouge, l’institution scolaire dit qu’il a un problème. Tel, cet enfant de cinq ans qu’on a accusé de harcèlement sexuel, alors qu’il a fait un baise-main à sa petite voisine.
Tels ces nombreux enfants qu’on dit « hyperactifs » alors qu’ils ont simplement de l’énergie que l’école est incapable de prendre en charge…
Comment se fait-il qu’il y ait 15% d’hyperactifs dans un établissement et aucun dans un autre ? C’est tout simplement que certains établissements gèrent très bien l’énergie de l’enfant, d’autres très mal.
Mais ils ne peuvent pas lire si on ne leur a pas appris et ils ne peuvent se comporter bien si on les ennuie ou on les provoque. Le soir, si vous voulez que le petit dorme, il est clair que vous allez veiller à ce que le grand frère ne vienne pas l’énerver.
Et par conséquent, dire qu’ils sont dyslexiques ou hyperactifs est un scandale, une irresponsabilité et une preuve d’incompétence. Le danger n’est pas l’enfant, le danger est ce système qui peu à peu psychiatrise l’enfant. Soyons vigilants.
Notre promesse au sujet de « l’hyperactivité de l’enfant »
Nous vous faisons la promesse que votre enfant réussira brillamment si on utilise avec lui la bonne méthode. Et à ce moment-là, comme des centaines de parents qui parlaient de dys-bidule, vous direz: « J’y croyais, avant. » Nous voulons vraiment vous transmettre ce message d’espoir: l’enfant peut réussir et dire qu’il a un problème fait exactement le contraire: ça ruine ses possibilités.
Nous avons connu plein d’enfants prétendument « hyperactifs ». Aucun ne l’était en réalité ! Ils étaient concentrés par ce que nous leur racontions, très calmes et attentifs quand nous leur faisions cours. Il était visible qu’ils n’avaient jamais eu de cours comme ça, simplement de bons cours avec un vrai contenu et une méthode honnête. Et ils étaient satisfaits des pauses qui arrivaient au bon moment.
Ils étaient tous plein de vie et leurs parents, la plupart du temps, les acceptaient très bien comme ils étaient, tout en prenant beaucoup de distance vis-à-vis du diagnostic médical. Ils étaient ravis d’apprendre que leur enfant allait bien, selon nous. Et, s’étant organisés comme il le fallait… le trouble a magiquement disparu. L’enfant fait un sport épuisant, il a des activités, et tout d’un coup il n’est plus « hyperactif ».
Il y a enfin la dimension sanitaire du problème.
La santé, une piste
Dans cet article, plusieurs pistes sont proposées. L’auteur convient avec nous que le « TDA H » est tout autre chose que ce qu’en disent les profiteurs (sites nombreux, spécialistes etc.). C’est un article dans lequel vous aurez des conseils précis à suivre.
Les phosphates créent-ils les hyperactifs ?
Voici une lettre d’Augustin de Livois, on y apprend que les phosphates pourraient être partiellement responsable de l’hyperactivité de l’enfant. Cette piste est sans doute intéressante, de même que l’alimentation en général.
Le poisson
Une lettre effrayante de Projet Santé Corps Esprit dit: « les chercheurs ont montré que les enfants Inuit qui avaient dans leur sang un taux élevé de mercure et de plomb à leur naissance étaient trois fois plus nombreux à souffrir du syndrome d’hyperactivité et de déficit de l’attention. (7)
Puis, ils ont découvert que, parmi ces mêmes enfants, ceux qui avaient un taux de mercure élevé à la naissance avaient en moyenne un QI inférieur de 5 points (8) par rapport aux autres. Ce qui prouve à quel point le mercure nuit au développement du cerveau du fœtus !
Et n’imaginez pas que ces enfants avaient des taux de mercure beaucoup plus élevés que chez nous. Les taux étaient globalement similaires à celui des populations occidentales qui mangent beaucoup de poisson. (9)
Voilà pourquoi je suis convaincu que les femmes enceintes devraient prendre des oméga-3 en gélule (comme la vitamine B9 qu’on leur prescrit systématiquement). Et s’abstenir totalement de prendre des produits de la mer.
Et ce même conseil pourrait valoir pour tous ceux d’entre nous qui ont une santé fragile.
(…) sur la seule base de leur contamination au mercure, il me paraît évident :
- Qu’il ne faut jamais manger du requin, de l’espadon, du thon rouge, du thon albacore ou du marlin. Ils devraient tout simplement être retirés du marché, d’autant qu’ils regroupent des espèces en danger, à protéger
- Qu’il n’y a aucune bonne raison de prendre le risque de consommer du thon, du mérou, du merlu, du bar, de la lotte, de la daurade, de la raie (sauf festivité ou occasion particulière), et encore moins de l’anguille et du brochet
- Et qu’il faut limiter sa consommation de truite, crabe, hareng, saumon (sauf d’Alaska), merlan, sole et cabillaud.
(7) Prenatal Methylmercury, Postnatal Lead Exposure, and Evidence of Attention
Deficit/Hyperactivity Disorder among Inuit Children in Arctic Québec, Olivier Boucher et al, 2012 (8) Relation of Prenatal Methylmercury Exposure from Environmental Sources to Childhood IQ, Joseph L. Jacobson et al, Environmental Health Perspectives, 2015
(9) Par exemple les enfants new-yorkais de mère chinoise, comme l’indique l’article.
Présupposés sur le comportement de l’enfant
Dans un échange que nous avons eu récemment, nous disions:
« Pour réfléchir à cette question de l’école à la maison ou pas, il est bon d’abandonner un peu les présupposés. Votre enfant n’est pas une classe, et donc ce qui marche pour une classe manque de quelque chose qui va s’adresser plus particulièrement à l’enfant.
Oui, le « bon comportement » peut être bon pour l’enfant et la classe. Mais le « mauvais comportement » que l’on suppose en disant ça… n’existe pas. Il n’y a pas de mauvais comportement. En fait, le mauvais comportement est une merveilleuse réaction de l’enfant qui nous dit à sa manière « alerte, ça ne va pas du tout pour moi ! »
Le pire que nous ayons à craindre, c’est que l’enfant ne réagisse plus, comme tous ces petits enfants qu’on met sous RISPERDAL ou autre. On peut dire que le mauvais comportement, c’est l’absence de comportement.
Nous ne cherchons pas à obtenir un « bon comportement » de l’élève, c’est une impasse, c’est comme d’essayer de faire en sorte que la bouteille ne roule pas sur le pont du navire. Nous cherchons à ce qu’il ne soit pas conduit à ce mauvais comportement.
Emmanuelle nous dit quant à elle:
Je suis tout à fait d’accord ! nous avons vécu la même chose avec notre fils aîné : le médecin voulait le mettre sous risperdal ! comme ça, je cite « il pourra aller à l’école, rester assis et être content ». J’ai refusé, en expliquant de l’environnement qui ne lui convenait pas. Et que malheureusement, le fait d’avoir donné des antidépresseurs ou des antipsychotiques aux employés dépressifs d’EDF, ne les avait pas tous empêchés de se suicider.
Nous avons donc déscolarisés notre fils et au bout de quelques semaines, il avait retrouvé le sourire, sa joie de vivre. Il s’etait remis à grandir et à prendre du poids ! ils étaient contre la déscolarisation mais sont revenus sur leur jugement quand ils ont vu les bienfaits sur mon fils…
« Votre fils n’est pas trop énergique, lui avons-nous répondu, il est comme il est, et son énergie est merveilleuse. Imaginez-le amorphe devant une télé ou allongé dans le coma, à l’hôpital, et alors vous regretteriez son énergie. Imaginez qu’il ait 18 ans et que la maison brûle. Ne seriez-vous pas fier qu’il vous emporte hors de la maison en fracassant du pied une porte bloquée ?
Imaginez-le autrement en fait: vous n’en seriez pas réellement heureuse, car vous savez au fond de lui que c’est VOUS qui lui avez donné cette énergie.
L’énergie est ce dont l’homme manque le plus. C’est grâce à elle que les grands progrès sont possibles, il faut énormément d’énergie pour inventer, créer, affronter les adversités.
Votre fils a de l’énergie, il a un trésor, il vous emmènera au bout du monde si vous lui en donnez la chance. On a besoin d’hommes, il en sera un.
Donner ce dont l’enfant a besoin
L’enfant à qui on donne ce dont il a besoin a un super comportement. C’est aussi simple que ça.
Un enfant qui va mal dit par son comportement: « l’adulte qui s’occupe de moi ne comprend pas ». Autrement dit, le travail est à faire sur l’adulte.
Ce n’est pas facile quand on n’y a pas réfléchi et qu’on ne s’est pas exercé. Un grand pédagogue est un pédagogue qui a exercé son savoir et qui a aussi du talent, de la créativité, c’est vrai, et ce n’est pas donné à tout le monde.
Voilà: si votre fils ne cadre pas à l’institution, soit l’institution comprend et change, soit vous devez trouver une autre solution. Nous espérons que cela vous apporte de la réflexion.
Amitié »
La réponse de la maman:
« Merci infiniment pour votre réponse rapide et avisée. J’ai toujours su que la vivacité et l’énergie de mon enfant était une richesse. A force de convertir cela en pénibilité, j’ai commencé à ressentir une profonde culpabilité : suis je une bonne mère ? Je pense que mon enfant doit vivre sa vie d’enfant. Et si certains membres de l’institution ne peuvent pas faire preuve de créativité et de pédagogie car il en faut pour captiver un enfant, alors je prendrai d’autres mesures. Je vois bien que l’école ne l’épanouit pas. L’année dernière, il a eu un professeur de talent qui a su faire preuve de discernement, sachant faire la part des choses. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas.
Merci encore pour votre vision des choses on ne peut plus positive et enrichissante.
Très cordialement. »
En conclusion, voici un témoignage parlant, ici-même, sur notre site:
Bonsoir, il y a un an nous retirions notre fils de l’école. Lui aussi était soi-disant tdha (maladie qui ne mérite pas de lettre majuscule) nous avons refusé de le médicaliser davantage. Nous avons tout d’abord cédé (test QI,examen chez l’ophtalmologiste +Orl) : tout va bien!
Donc si tout allait bien ce n’était pas notre enfant qui avait un problème mais les méthodes de l’école ! Aujourd’hui, il a en largement rattrapé son retard et pas grâce à l’école mais grâce aux bonnes méthodes. Evidemment, ce n’est pas immédiat. Il faut être patient et ne pas vouloir calquer son enfant sur les autres. Attitude que nous avons en bons débutants formatés et fragilisés que nous étions tout autant que notre enfant.
C’est votre enfant, enlevez-lui tout de suite cette idée qu’il y a quelque chose qui cloche chez lui !
Souvenez- vous! Avant son entrée à l’école,votre enfant était formidable,merveilleux, unique! Continuez de le regardez comme vous l’aimez et faites lui l’école à la maison, à son rythme. Nous sommes heureux d’avoir pris cette décision il y a un an. Ces maladies inventées sont des offenses a la nature sacrée de l’enfance. Soyez courageuse et faites vous confiance. Vous pouvez également regarder la vidéo de Rémy traitant ce sujet.
L’enfance n’est pas un trouble mental !
Très bonne vidéo à voir: on y parle d’une « épidémie fictive »:
Et puis, un psychiatre reprend ce que nous disons.
____________
***L’article de ReinformationTV:
L’hyperactivité : maladie mentale… ou non ? Une étude néerlandaise
Une étude publiée par la prestigieuse revue scientifique The Lancet Psychiatry par une équipe de chercheurs néerlandais du Radboudumc l’affirme carrément. L’hyperactivité, volontiers désignée par l’acronyme anglophone d’ADHD, est une maladie mentale à part entière. Les troubles de déficit d’attention si souvent diagnostiqués chez les enfants dès le plus jeune âge relèveraient donc d’un traitement médical. Si du moins l’on pousse à bout les implications de cette étude néerlandaise.
La presse aux Pays-Bas a donné un grand écho à l’affaire – mais à tort, affirme Laura Batstra, professeur d’orthopédagogie à l’université de Groningue, qui accuse aussi bien les chercheurs que les commentateurs médiatiques d’en avoir abusivement tiré des conclusions.
Il aurait été plus juste, signale l’universitaire, de présenter l’étude ENIGMA en ces termes : « Une étude hors de prix du cerveau et de l’hyperactivité ne donne aucun résultat. » Pas très vendeur !
Sa tribune, publiée par le quotidien néerlandais Trouw, s’ouvre sur un constat : il est plus facile de se faire publier par The Lancet sous un titre ferme en apportant une conclusion carrée. Est-ce pour cela que le Dr Martine Hoogman et ses 81 coauteurs tirent des conclusions hâtives de leur étude ? Le Pr Batstra en est persuadé. A quoi s’ajoute le fait qu’un grand nombre des auteurs ont des liens avec l’industrie pharmaceutique : « La liste des conflits d’intérêts sous leur article semble interminable ».
Selon une étude néerlandaise, l’hyperactivité se voit sur les scans du cerveau
L’étude ENIGMA a voulu répertorier « les différences sub-corticales » entre les personnes souffrant d’hyperactivité et les autres, de manière à démontrer que l’ADHD relève d’une perturbation cérébrale. Les auteurs encouragent médecins et autres responsables des soins à présenter la chose ainsi aux parents d’enfants affectés.
Les véritables conclusions auxquelles permettent de parvenir les données utilisées par l’étude sont tout autres, affirme le professeur de pédagogie. « Premièrement, des différences cérébrales entre les enfants porteurs d’un diagnostic hyperactivité et les autres sont si petites qu’elles sont négligeables. Deuxièmement, ces différences, déjà insignifiantes, semblent disparaître d’elles-mêmes lorsque les enfants deviennent adultes ».
Les chercheurs se sont appuyés sur les résultats de micro-études antérieures, souvent assez anciennes, ce qui leur a permis de comparer les données de 1.713 personnes diagnostiquées hyperactives avec celles d’un groupe témoin de 1.529 personnes non porteuses du diagnostic. Or, au niveau des groupes, on a constaté que cinq zones du cerveau des hyperactifs sont de quelque pourcents plus petites que la moyenne. Sans que l’on puisse pour autant affirmer que cela est vrai des individus dans la plupart des cas.
La différence de taille est également minime : la mesure de l’effet de taille (d de Cohen) des différences de mesures se situent systématiquement entre -0,19 et 0,19. « Concrètement cela signifie que si l’on doit déterminer sur la base d’un scan du cerveau si un enfant est hyperactif, les chances de tomber juste se situent à 1 à 2 % au-dessus de celles du pur hasard ». En clair : l’effet est nul ou négligeable.
L’hyperactivité, maladie mentale ? Sortons la Ritaline !
Cela n’a pas empêché la presse néerlandaise d’affirmer que l’on pouvait constater l’ADHD sur le scan du cerveau, « spécialement chez les enfants ».
L’hyperactivité n’est rien d’autre qu’une maladie mentale, titraient donc les journaux aux Pays-Bas, tandis que le site Internet de l’hôpital universitaire Radboud affirmait, le 16 février dernier : « L’ADHD est visible à cinq endroits du cerveau ».
La colère de Laura Batstra vient du fait que les enfants à qui l’on explique qu’ils ont une maladie mentale sont ceux qui en payent le prix, alors qu’il s’agit d’un « mythe biomédical ». Et non seulement ils se sentent stigmatisés, mais on les envoie chez le psychiatre au moindre trouble du comportement, le psychiatre se dépêchant alors de poser un diagnostic d’hyperactivité – affaire en plein essor aux Pays-Bas – et de prescrire des drogues psychoactives de type Ritaline, aux effets secondaires néfastes.
La croisade du professeur de Groningue ne date pas d’aujourd’hui : elle a beaucoup étudié et écrit sur l’hyperactivité qui selon elle est simplement le signe que les enfants ne sont pas tous pareils et que certains sont plus exigeants vis-à-vis de leur entourage que d’autres, ayant éventuellement besoin d’aide comportementale.
On pourrait ajouter le constat de professeurs, d’orthophonistes et autres soignants pour qui les méthodes pédagogiques globales contemporaines favorisent ce « désordre », qui disparaît comme neige au soleil lorsqu’on revient à un enseignement plus structuré et plus structurant.
Anne Dolhein
El psiquiatra que « descubrió » el TDA H confesó antes de morir que « es una enfermedad ficticia »
A la psiquiatría hace tiempo que se le ve el plumero. Son tantas las enfermedades y trastornos que se describen en sus manuales que hoy en día lo raro es no tener nada. Después de hacer saltar las alarmas al incluir las rabietas en el último Manual de Pediatría DSM (la biblia de los psiquiatras) y después de ver como el gobierno estadounidense declara en un informe que 1 de cada 5 niños tiene un trastorno de la salud mental, cifras que parecen un insulto al sentido común de la población, porque es imposible que tantos niños estén mentalmente enfermos, aparecen unas declaraciones de Leon Eisenberg, el psiquiatra que « descubrió » el TDA H, que no dejan indiferente a nadie que viva o trabaje con niños.
El semanario alemán Der Spiegel, en un artículo en que ponía en relieve el aumento de enfermedades mentales en la población alemana, explicó que Eisenberg dijo, siete meses antes de morir, cuando contaba ya con 87 años, que « el TDA H es un ejemplo de enfermedad ficticia ».
Los inicios del TDA H
Los primeros intentos por tratar de explicar que había niños con TDA H sucedieron en 1935. Por aquellos tiempos, los médicos habían tratado por primera vez a niños de primaria con un carácter inquieto y con dificultad para concentrarse en lo que se les pedía, bajo el diagnóstico de síndrome post-encefálico. Fue un intento que no cuajó porque claro, la mayoría de esos niños nunca habían tenido encefalitis.
En los años sesenta apareció el protagonista de nuestra historia, Leon Eisenberg, quien volvió a hablar de dicha enfermedad, pero esta vez con otro nombre, « reacción hipercinética de la infancia ». Bajo dicho diagnóstico pudo tratar a alumnos difíciles, probando diferentes psicofármacos con ellos. Empezó con dextroanfetamina y luego utilizó el metilfenidato, droga con la que consiguió su objetivo y que hoy en día prevalece como tratamiento de elección: los niños enérgicos se transformaban en niños dóciles.
En el año 1968 se incluyó la « reacción hipercinética de la infancia » en el Manual Diagnóstico y Estadístico (DSM) y desde entonces forma parte de dicho manual, sólo que ahora recibe el conocido nombre de Trastorno de Déficit de Atención e Hiperactividad (TDA H).
El logro de Eisenberg y sus colaboradores fue conseguir que la gente creyera que el TDA H tiene causas genéticas, que es una enfermedad con la que se nace. Él mismo dijo, junto con las palabras en que decía que era una enfermedad inventada, que la idea de que un niño tenga TDA H (entendemos que la idea de que un niño sea muy movido y sea un alumno problemático) desde el nacimiento estaba sobrevalorada. Sin embargo, al conseguir que esto calara en la población y en los padres, el sentimiento de culpa desaparece, los padres se sienten aliviados porque el niño ha nacido así y el tratamiento es menos cuestionable. En 1993 se vendieron en las farmacias alemanas 34 kg de metilfenidato. En el año 2011 se vendieron 1.760 kg.
El conocido psiquiatra, que llegó a hacerse cargo de la gestión del servicio de psiquiatría en el prestigioso Hospital General de Massachusetts en Boston, donde fue reconocido como uno de los más famosos profesionales de la neurología y de la psiquiatría del mundo, decidió confesar la verdad meses antes de morir afectado de un cáncer de próstata, añadiendo que lo que debería hacer un psiquiatra infantil es tratar de determinar las razones psicosociales que pueden producir problemas de conducta.
Ver si hay problemas con los padres, si hay discusiones en la familia, si los padres están juntos o separados. Si hay problemas con la escuela, si al niño le cuesta adaptarse, por qué le cuesta, etc. A todo esto añadió que, lógicamente, esto lleva un tiempo, un trabajo y acompañado de un suspiro concluyó: « prescribir una pastilla contra el TDA H es mucho más rápido » (a lo que yo añadiría « y mucho más ventajoso para el negocio de la psiquiatría »).
El negocio de la psiquiatría
Como he dicho al principio de la entrada parece que la psiquiatría es un monstruo capaz de llevarse cualquier cosa por delante, con un hambre voraz, que no se detiene y que hará todo lo posible por tratar de conseguir que toda persona sana acabe tomando una u otra medicación para tratar su (no) enfermedad. Se les ve el plumero, y una prueba más de ello es que ya existe la próxima enfermedad que será difundida por toda la infancia: el trastorno bipolar o enfermedad maníaco-depresiva.
Hasta los años noventa era una afección desconocida en los niños. Ahora ya es uno de los diagnósticos más frecuentes en psiquiatría infantil, hasta el punto que las visitas por este trastorno se han multiplicado por 40 en menos de diez años, siendo muchos de los « enfermos » niños de dos y tres años.
Uno de los responsables de la llegada del trastorno bipolar a EE.UU. es el psiquiatra Joseph Biederman, que lleva años haciendo estudios y conferencias sobre el tema y que recibió 1,6 millones de dólares entre el año 2000 y el 2007, procedentes de las farmacéuticas que fabricaron los medicamentos para dicho trastorno, al parecer para dedicarlos a seguir investigando la enfermedad.
Pero esto no es todo. Para conocer el alcance real del negocio de la psiquiatría, para ver hasta qué punto se inventan las enfermedades para luego poder dar los fármacos que ya existen, un estudio realizado por la psicóloga estadounidense Lisa Cosgrove reveló que, de los 170 miembros del grupo de trabajo del DSM (Manual diagnóstico y estadístico de los trastornos mentales), es decir, los que hacen el manual de psiquiatría de referencia mundial, 95 (el 56%) tenía una o más relaciones financieras con las empresas de la Industria Farmacéutica.
¿ Existe el TDA H ?
Yo no sé si existe o no existe (y eso que el que la inventó dice que no), ni tampoco me toca a mí responder a esta pregunta, sin embargo estoy seguro de que son muchos los niños diagnosticados cuyo único pecado ha sido ser demasiado movidos, o ser demasiado insistentes a la hora de demandar de sus padres un poco más de atención. Ya hace más de dos años os ofrecí dos entradas en las que explicaba cómo se diagnostica el TDA H, para que vierais que no existe ninguna prueba diagnóstica de ningún tipo que determine que un niño tiene el mencionado trastorno. Todo se hace en base a la observación y en base al cumplimiento o no de unos criterios o parámetros que los niños normales deben hacer.
Ahora bien, ¿qué es ser normal? Krishnamurti dijo que « no es signo de buena salud el estar bien adaptado a una sociedad profundamente enferma », así que quién sabe, quizás los niños que se rebelan ante el intento de domesticarles, aquellos que no soportan estar sentados escuchando cosas que no les interesan, aquellos que preferirían poder decidir qué hacer en sus vidas en todo momento, aquellos que quieren probarlo todo y no dejarse nada, quizás sean al fin y al cabo los más cuerdos.
No digo que ninguno de estos niños no tengan nada.
No digo que no necesiten ayuda, porque es muy probable que muchos de ellos tengan muchos problemas, pero nunca he creído en la existencia de un trastorno que afecte al 10% de los niños y mucho menos he creído en la cura milagrosa del metilfenidato, porque si bien los niños cambian su comportamiento, los problemas que hicieron que el niño funcionara de un modo no aceptado siguen ahí.
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