Votre santé aide votre enfant. Veiller sur vous-même : un enjeu.


Votre santé aide votre enfant

Rappelez-vous que votre santé aide votre enfant. Essayez de consacrer un peu de temps à ces questions, votre santé est au cœur de tout ce que vous ferez pour votre enfant. Votre moral, votre dynamisme, votre positivité en dépendent. Les siens aussi.

Se coucher tôt

Se coucher tôt et bien dormir, voilà ce qui passe avant tout. Avant le bio ou le grand air, avant la lutte contre les ondes ou le sport ! Nous y reviendrons de manière organisée et efficace, très bientôt.

Se coucher tôt et bien dormir sont deux choses complémentaires et peuvent devenir une habitude. Mais cela se fait en plusieurs étapes.

Les heures avant minuit comptent double, disaient nos grands-mères, et nous verrons qu'elles avaient raison contre les "spécialistes" que cela fait rire.

Le sommeil donc ! avant tout le reste.

Les armes chimiques dans vos assiettes

Les armes chimiques sont dans vos assiettes. Le gaz sarin, un gaz militaire, existe au quotidien, et nous l'ignorons. Les médias n'expliquent pas assez que le sarin n'est qu'une catégorie particulière de composés organophosphorés, ceux-là même qui sont utilisés continuellement, et dans le monde entier, comme pesticides. Le Roundup, le Malathion (antiparasitaire très utilisé en Chine, ex-URSS et aux USA, interdit depuis 2007 dans l'Union Européenne) et le Phosmet (utilisé sur les pommiers), par exemple, sont des composés organophosphorés.

Les pesticides organophosphorés agissent comme le sarin : ils bloquent le cerveau. Lorsque votre cerveau cesse de fonctionner, votre cœur continue à battre provisoirement, car les cellules du cœur sont autonomes, mais vous perdez connaissance (coma) et, surtout, votre respiration s'arrête, ce qui entraîne l'asphyxie et la mort.

Neurones en danger

Les composés organophosphorés produisent cet effet, en empêchant vos neurones de communiquer entre eux. Vos neurones sont les cellules de votre cerveau. Ils communiquent entre eux grâce à des produits chimiques appelés « neurotransmetteurs ». L'un des plus importants de ces neurotransmetteurs est l'acétylcholine. Sans acétylcholine, les neurones ne peuvent plus se parler : vous ne pouvez plus penser, votre cerveau ne peut plus donner aucun ordre à votre organisme.

Or, les composés organophosphorés bloquent la fabrication de l'acétylcholine. Il suffit qu'une très faible dose entre dans votre organisme pour que vos neurones soient privés d'acétylcholine, ce qui bloque votre cerveau, et vous tue.

L'importance de bien laver ses fruits et légumes

Vous ne mourrez pas en avalant des résidus de pesticides organophosphorés sur les fruits et légumes que vous aurez oublié de laver, mais ils peuvent malgré tout perturber votre organisme ou votre système endocrinien.

Les pesticides ont encore d'autres effets délétères sur le cerveau : d'après une expertise collective de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), ils augmentent aussi le risque de développer la maladie de Parkinson.

Il est donc absolument capital, lorsque vos fruits et légumes ne sont pas bio, de bien les laver avant de les manger, surtout si vous les mangez crus et/ou avec la peau, si possible avec une brosse à légume dont vous vous équiperez spécialement à cet effet (données extraites de la Lettre Santé Nature Innovation de Jean-Marc Dupuis).

Les agressions extérieures

La liste est longue des produits qui vous font du mal. Mais on peut noter quelques surprises. Les vaccins et les médicaments d'abord, et vous avez tout intérêt à vous soigner autrement (vous verrez la note en fin de page).

Les éléments fondamentaux: l'eau

votre santé aide votre enfantCe matin, nous tombons sur un nouvel article qui parle de l'eau et je voulais vous le partager. Si chaque jour vous buvez de l'eau au robinet, il y a de fortes probabilités que vous tombiez plus facilement malade, que vous soyez plus fatiguée. Même l'eau du robinet la plus pure, sauf dans deux ou trois cas en France, est une eau morte, donc non vive (comme l'est une eau de source qui est en mouvement et oxygénée). Une eau morte est une eau qui a stationné suffisamment longtemps dans les tuyaux ou les cuves pour que l'air qu'elle contient se disperse à sa surface. Or, les molécules d'oxygène contenues dans l'eau sont extrêmement importantes pour désoxyder le corps.

La plupart des eaux de robinets contiennent des produits dangereux, y compris certains, tels l'aluminium, qu'on y met volontairement pour lui donner une apparence cristalline. C'est ici, c'est chez vous, c'est aujourd'hui, pas dans un quelconque pays asiatique.

Citation de Jean-Marc Dupuis:

L’eau qui circule dans votre maison ou votre appartement est sévèrement polluée.

Elle est pleine de pesticides, de nitrate et de plomb pour plus de 2,8 millions de Français.

Pire : cette eau contient souvent de l’aluminium puisque le sulfate d’alumine est le produit chimique préféré des stations d’épuration, qu’elles utilisent pour rendre l’eau « potable » !!

Et cela, alors qu’on sait aujourd’hui que l’aluminium est un « neurotoxique », c’est-à-dire qu’il peut endommager votre cerveau.

Et ce n’est pas un simple risque « théorique » : une étude menée il y a une dizaine d’année déjà par l’INSERM en Gironde et Dordogne a même révélé que des taux élevés d’aluminium dans l’eau du robinet pouvaient multiplier par 2 le risque de développer la maladie d’Alzheimer.
Sur l’ensemble de la France, on recense encore des milliers de logements anciens dont les canalisations vétustes contiennent plomb, cuivre, nickel ou encore chlorure de vinyle.

Ce que je vais vous dire maintenant va peut-être vous choquer :

On a découvert récemment à Lyon… dans une école maternelle, que l’eau du robinet qui servait à faire boire des enfants de 3 à 6 ans était lourdement toxique !

Dans cette école, l'eau du robinet contenait 15 à 33 microgrammes de plomb par litre alors que la norme est fixée à 10.

Très honnêtement, il est très difficile aujourd’hui d’échapper à ces métaux ultra-toxiques.

Et quand l'eau n'est pas pure, elle est chargée de boues diverses contenus des dérivés d'engrais agricoles, d'eau de ruissellements (qui a envie de boire l'eau des caniveaux ?), métaux lourds, pesticides, dérivés médicamenteux contenus dans les urines, hormones, virus, bactéries etc. La liste est longue. Mais elle est surtout effrayante. Car bon nombre de composés toxiques échappent au contrôle. Est-ce que vous voulez donner à votre enfant ?Poison dans l'eau

La potabilité est définie par l’union Européenne et l’OMS et comporte aujourd’hui 63 paramètres (depuis 1980). En 2003, certains paramètres sont revus à la baisse (nitrates, plomb…) et une vingtaine de paramètres disparaissent des normes…
En outre, dans les analyses les plus courantes, (celles affichées en mairies), seuls une dizaine de paramètres sont généralement mesurés…
Plus de 3000 polluants sont aujourd’hui répertoriés… C’est pourquoi, les conclusions des analyses sont quasiment toujours les mêmes ; à savoir : Eau conforme, par rapport aux paramètres mesurés…

En effet, il est impossible de mesurer ce que l’on ne cherche pas !

Les autorisations publiques se font sur la base d'analyses a minima et qui se contentent d'une qualité très médiocre. De puissants poisons contenus dans l'eau de robinet ne sont pas détectés par ces analyses. La France a sur ce sujet des années de retard, contrairement à une idée répandue. Les grosses entreprises chargées de nettoyer l'eau ne sont pas astreintes à des normes suffisantes, puisque c'est elles qui fixent les règles du jeu. Les mairies sont le plus souvent amorphes sur ce sujet. Elles se contentent des relevés courants, sans ambition.

On voit pourtant des initiatives intéressantes ici ou là, de nettoyage des eaux, mais pour l'instant on ne s'attaque qu'aux eaux en aval, c'est-à-dire aux eaux sales. Là encore, l'environnement passe avant l'homme ! Le culte de Gaïa...

Un relevé fait au hasard

Il s'agirait de s'inquiéter de l'eau qu'on boit. Dans notre commune, près de Tours, nous avons tout de suite redouté que l'eau du robinet soit mauvaise, après avoir connu pas mal d'eaux de bonnes qualités. Elle sentait fort, avait un goût et une couleur douteux: la pire que nous ayons connue.

Nous avons procédé à un relevé sommaire à l'aide d'un filtre de 10 microns. Résultat: en 24h00 nous avons recueilli une cuillère à café de boues, de limailles métalliques, ou de fragments de plastics décomposés !

L'eau, au surplus très calcaire, est indigeste, provoque des démangeaisons épidermiques, abîme les cheveux, les machines etc. De nombreux habitants sont malades et se plaignent.

Eh ! bien, la mairie estime que l'eau est bonne, et c'est en effet ce que disent les relevés officiels.

Vous l'avez compris, les relevés des services de l'Etat ne sont pas sérieux. La politique vise à ne pas conduire les communes à la faillite en les obligeant à faire les travaux, ce qui se comprend. Mais on pourrait dire plus honnêtement: notre eau n'est pas de qualité suffisante et nous n'avons pas les moyens d'en changer. Non, les mairies refusent de perdre la face, elles affichent donc le mensonge: tout va bien. Quitte à ce que vous en payiez le prix lourd, qui peut aller jusqu'à la maladie invalidante ou mortelle.

Que faire pour l'eau à boire ? 3 outils

La distillation

La distillation est une excellente méthode.

Cependant, il est bon de dépolluer l'eau en amont, en mettant deux cartouches de filtration à l'entrée de l'eau de la maison: une pour les boues et une plus fine, de quelques microns. Pour l'eau de boisson, mettre un robinet à part du gros robinet de l'évier, et mettre une cartouche de charbon avant de l'alimenter.

L'osmose

Les solutions actuelles existent. La plus commune est l'osmose inversée que nous avons adoptée et qui marche assez bien. Voici un modèle que vous pouvez acquérir :

Reste à revitaliser l'eau. Pour revitaliser l'eau à la main, secouez-la dans une bouteille en verre, tout simplement, avant de la boire.

Mais ça se limite à l'eau de boisson d'une part (donc l'eau de la douche reste polluée, or on "ingère" des litres d'eau sous la douche) et d'autre part ça lui enlève son caractère vitalisant.

Pour la douche, l'eau des machines etc., prévoyez un système de filtration en amont, type céramique, à l'arrivée d'eau de la maison. Evitez les adoucisseurs d'eau, car la dureté de l'eau est bonne pour le corps.

La mesure de la conductivité, appelée aussi résistivité

Une conductivité électrique élevée de l'eau fera que le courant naturel passera partout et endommagera votre organisme. Plus la conductivité est faible, mieux c'est.

Il y a des appareils portables qui mesurent la conductivité de l'eau tel cet Appareil de Mesure TDS avec Étui - Testeur de conductivité numérique, retenez qu'elle doit être inférieure à 50 microsiemens. Nous en avons un, c'est très utile, on mesure l'eau régulièrement pour savoir quand changer les cartouches du filtre.

Pour aller plus loin

Elargissons la discussion à tout ce que vous faites ou ne faites pas pour votre santé. Votre santé aide votre enfant et vous devez en être consciente. Votre allant changera le ton des moments que vous consacrerez à votre enfant, soyez en forme !

Outre un état de santé qui serait sous surveillance du médecin, le quotidien de votre corps et de votre mental n'est pas binaire. Il n'y a pas d'un côté des jours où vous allez parfaitement bien et des jours où vous allez parfaitement mal, il n'y a que des jours où vous êtes entre les deux. Donc, tout dépend de ce que vous faites pour vous-même.

Soignez-vous, prenez soin de vous. Il ne s'agit pas de passer son temps à penser à soi non plus, mais prenez le temps du silence, de la relaxation. Demandez à votre conjoint des moments de solitude si vous en êtes privé(e).

Alimentation

Méfiez-vous du micro-ondes.

Nous n'allons pas vous refaire l'article sur le bio mais les premières lignes de cet article ont dû vous en convaincre: autant que possible, éliminez la nourriture industrielle. Elle contient... des toxines chimiques, des solubilisants pétroliers, des résidus médicamenteux, des boues, des métaux lourds, des poisons violents, du lave-glace, des cheveux humains, de l'urine, des hormones sexuelles, des abortifs (résidus de la pilule prise par d'autres femmes, avec des effets secondaires non négligeables), des nitrates etc.

Finies les boîtes, les "recettes de Mamie Janine" ou de "Tatie Chouchou", du "Père Lardu" ou de "Jean-Claude, le cuisinier 5 étoiles" fabriquées par tonnes, attention aux biscuits, à tout ce qui s'emballe en général.

Proscrivez le lait industriel et le lait de vache en général. Préférez le lait d'avoine, de soja (pas terrible au goût), d'amande qui est plus tolérable. C'est une habitude à prendre. Sinon, vous devez faire bouillir le lait de vache plus de 2 mn à 90°.

Proscrivez les aliments pré-cuits ou pré-conditionnés. Faites attention au poisson, il est devenu dangereux (!), on a recommencé à le nourrir avec des... farines animales.

Méfiez-vous du gluten, comme le dit Jean-Marc Dupuis, le blé moderne est aussi indigeste que le plastic. Lisez son article et passez à autre chose (ne croyez pas que l'épeautre ou le froment soient autre chose que du blé).

D'ailleurs, abonnez-vous à la lettre gratuite de Jean-Marc Dupuis.

Ne prenez pas n'importe quel bio. Bref, faites maintenant très attention.

Des scientifiques créent des molécules qu'ils mélangent aux aliments; on a découvert récemment que certaines détruisent votre cerveau. Nous sommes dans un monde de fou sur ce plan: soyez très, très, très méfiants et allez acheter vos aliments dans le vrai bio de proximité et les commerces de proximité sûrs, tracés. Aldi propose également des produits bien notés, pour les produits de base (regardez les évaluations sur le net, tout n'est pas à prendre).

Changez votre dentifrice au fluor pour un dentifrice bio, ou faites-le vous-même. Nous vous laissons découvrir pourquoi le fluor n'est pas bon pour vous.

Des éléments extraordinaires

Dans un prochain article, nous vous livrerons les noms de quelques produits extraordinaires, peu chers. Ils vous purifieront et détruiront les toxines, les parasites, les infections, des métaux lourds etc.

Le silence

Nous en avons déjà parlé. Il a été mesuré que la santé se dégradait avec la proximité d'un émetteur sonore puissant, telle qu'une route, une autoroute, une gare, un aéroport etc. Le QI aussi diminue ! (voir Les étonnants pouvoirs de transformation du cerveau : Guérir grâce à la neuroplasticité) Donc isolez-vous du bruit. Faites du silence autour de votre famille. Prenez le temps d'un bon livre qui vous change les idées, car vous le savez, la lecture est bonne pour la santé.

Si vous avez besoin d'un peu plus, vous avez bien sûr les massages et autres soins payants, mais vous avez aussi plein de choses gratuites !

Savez-vous qu'un bon bain de pieds chaud avant de dormir est très bénéfique et vous aide à vous endormir ? Sauter sur place est excellent, avant de s'endormir (sans écraser non plus la colonne vertébrale). S'accroupir ensuite, puis se relever, et cela 5 fois.

Les échanges amoureux pourraient figurer sur votre ordonnance du soir ou du matin, ou en fait n'importe quand pourvu que cela corresponde à un moment qui vous plaît. Les préparer suffisamment à l'avance par une montée progressive.

Médias ?

Couper la radio et la télé est nécessaire, car ils sont nocifs. De manière générale d'ailleurs, évitez de vous tenir au courant de tout, il n'y a qu'une part infime de l'information qui vous est utile. Ceux qui ne suivent pas l'actualité générale vivent plusieurs années de plus que les autres ! Et tant pis pour les journalistes. Ne pas savoir ce qui ne nous concerne pas ou peu est très bénéfique pour la santé et le moral.

Buvez une quantité ajustée d'eau dans la journée et bien sûr une bonne eau, comme on l'a dit. Pas trop, sinon l'eau entraîne les vitamines et autres éléments. L'urine doit être d'un jaune clair.

De temps en temps, un verre d'eau argileuse (attention ne pas employer de couvert en métal pour mélanger) a des effets très bénéfiques puisque l'argile absorbe des éléments toxiques dans votre corps. Préférez l'argile blanche en ingestion et la verte en compresses.

L'argile est géniale pour attraper les bactéries, donc en cas de risque d'angines, bronchites etc., mais aussi pour nettoyer le côlon par exemple, mettez une ou deux cuillères dans un grande verre d'eau, mélanger avec du bois ou du plastic. Pour la fréquence, dans l'idéal vous ressentez le besoin, mais on dira en temps normal une fois de temps à autre, une fois par mois par exemple, en temps de crise, une ou deux fois par jour. Il n'y a pas de contre-indication ni d'effets secondaires connus en fait, donc c'est quand vous voulez. Reste que l'argile fine est assez chère. Le Maalox, ce n'est rien d'autre que de l'argile. Vous pouvez donc le supprimer. Peut-être pouvez-vous aromatiser pour les enfants, on n'y pense pas toujours, avec un sirop.

L'argile, comme le charbon en poudre, n'ont pas de principe actif, ils agissent juste en nettoyant et en rejetant les toxines. Alterné avec l'huile essentielle de lavande, vous supprimez une angine dans la demie-journée.

Durant le sommeil,

éloignez tous objets électroniques, tels que montre, téléphone, ordinateurs. Ne dormez pas la tête près d'une prise électrique.

Orientez le lit dans une autre direction (changer de temps en temps, il n'y a pas d'orientation définitivement bonne).

L'air

L'humidité ambiante doit être comprise entre 40% et 60%. Difficile à évaluer ? Si vous avez de quelconques problèmes respiratoires, l'hygrométrie de votre intérieur pose peut-être problème.

Si l'air est trop humide, cela s'arrange avec un déshumidificateur comme celui ci-dessous que nous utilisons et qui fonctionne bien. Si au contraire votre air est trop sec, il faut l'humidifier. Si vous doutez et que vous vous demandez quelle est l'humidité de votre logement, de petits thermomètres indiquent l'humidité de l'air.

La nuit, ne dormez jamais enfermé(e), votre cerveau a besoin d’oxygène et vous empêchera de dormir s'il "détecte" un niveau élevé de CO2. Ouvrez la porte de la chambre, ou la fenêtre si elle donne sur espace non pollué et calme.

Assainissez l'air de votre intérieur

  • si vous habitez en ville
  • si votre logement est neuf.
  • si vous avez fait des travaux récents
  • si vous habitez près d'une source d'air pollué et dans le sens du vent (port, route, station d'hiver, élevage, champs de culture non-bio)

Les allergies et maladies respiratoires sont en constante augmentation. L'air ambiant n'est pas étranger au phénomène. Des milliards de milliards de particules volent autour de vous. Parmi elles: des virus, des poussières, des bactéries, des polluants... C'est ainsi que vous attrapez votre rhume annuel ou votre angine, ou la grippe, mais aussi bien d'autres désagréments. Il existe des systèmes de nettoyage de l'air. Le , par exemple. Si vous fumez, si vous utilisez de l'encens (attention, danger !), si vous utilisez des bombes parfumantes, si vous avez une isolation passable, si beaucoup de poussière se dépose chez vous, le purificateur d'air est très recommandé.

Votre questionnement intérieur, enjeu de votre santé

Plus étonnant, on sait maintenant que votre santé dépend de ce à quoi vous pensez ! Et les statistiques montrent qu'il vous arrive plus facilement ce à quoi vous pensez le plus souvent. Ne vous posez pas des questions à solutions négatives, penser à des choses qui font ou ont fait plaisir. N'expliquez pas les choses par la négative. Nous connaissons un couple qui a toujours expliqué la vie sous ses aspects les plus fatalistes, qui parle sans cesse de ses problèmes... et ils ne cessent d'en avoir: cambriolages, problèmes de santé, incidents divers, contrariétés incessantes. Selon certains, la loi d'attraction ferait qu'on s'attire les ennuis à ne penser que négativement. Ce qui est évident, c'est que si vous ne pensez qu'à des problèmes, les solutions ne risquent pas de s'imposer. Pensez positivement, think positive !

Des produits à supprimer

Supprimez autant que possible de votre vie les produits de nettoyage, utiliser des chiffons micro-fibres ou parfois de l'eau de javel, supprimer les sprays ménagers. Essayez d'éviter les déodorants, supprimez laques en aérosols etc. Il y a des produits naturels pour tous les besoins de la vie. Votre homme peut se raser avec du savon et non avec de la mousse chère et polluante dans son flacon; ça marche aussi bien ! Méfiez-vous de l'aluminium. N'achetez jamais de produit pour laver les vitres.

Sport

Pratiquer un sport régulièrement. Faut-il développer ? D'accord: les personnes qui ne font pas de sport sont souvent fatiguées et cette fatigue physique leur "tape sur le moral" inconsciemment. De plus, le cerveau a besoin d'oxygénation pour fonctionner. La santé des gens qui font du sport est bien meilleure que celle des autres. Il y a plus d’Alzheimer chez les gens qui ne font pas de sport. Sport obligatoire !

Votre santé aide votre enfant

Un bon état d'esprit

Développer un esprit de remerciement, de louange, renoncer à la fatalité, être remerciant pour ce qui nous est donné change en profondeur la nature de la vie: la joie et la reconnaissance sont de très puissants vecteurs de santé et de réussite. C'est démontré.

Perte de temps

Pensons aussi à refuser la perte de temps, couper court aux discussions stériles. Les réseaux sociaux ne sont bons qu'à vous amener de l'activité professionnelle, des prospects.

Sur les vaccins, voici le témoignage d'Astrid qui nous a été envoyé par Augustin de Livois de l'ISPN.

Bonjour,

en 2007 j'ai suivi un traitement préventif contre le H1N1 et ai subitement déclenché, à l’âge de 27 ans, une narcolepsie-cataplexie "atypique" brutale.

Une récente étude vient enfin confirmer que le déclenchement de cette maladie rare est lié au traitement anti-grippe H1N1. J'aimerais apporter mon témoignage empreint d'espoir.

Tout a démarré après le traitement.

Une journée de travail comme les autres. J’arrive à la banque, je reçois mes clients en rendez-vous. Puis je les raccompagne et regagne mon bureau. Et je tombe à genoux, puis très vite mon visage heurte le sol et je me retrouve face contre terre, totalement paralysée. Je ne suis pas inconsciente, j’entends tout ce qui se passe autour de moi : le sas de l’agence qui s’ouvre et se ferme, la compteuse qui brasse les liasses de billets, les pas qui résonnent sur le carrelage jusqu’à mon oreille plaquée au sol.

Je ne comprends pas ce qui m’arrive. Jamais de ma vie, même enceinte jusqu’au cou en pleine canicule, jamais je n’ai eu un seul vertige ou étourdissement, alors m’évanouir ainsi… ça doit forcément être grave… malgré cela, je me sens étonnamment détendue, tellement détendue, envie de dormir même, je m’abandonne malgré moi.

Puis un bruit plus fort que les autres me sort de mon « comas » et je réalise que je suis toujours au sol.

J’ai froid.

J’entends mon collègue du guichet parler aux clients. Mon bureau est juste à côté, mais sa configuration fait qu’il ne me voit pas et ne peut me venir en aide. J’essaie de bouger mais mon corps ne répond pas.

Je suis paralysée.

Mon cœur s’emballe, la peur me saisit.

Je voudrais crier « au secours » mais ma mâchoire reste immobile. Ma bouche est entrouverte, un son pourrait en sortir... mais je n’ai pas de souffle, même ma cage thoracique ne suit pas.

J’halète.

Sans pouvoir articuler, je parviens à émettre un râle dans un effort ultime.

Pas assez fort.

Je répète l’effort et Bernard, le guichetier que je n’avais de cesse d’appeler phonétiquement arrive à mon secours.

Je n’ai de souvenir de la suite que par bribes. Les pompiers, l’hôpital, les examens qui ne révèleront rien, le diagnostic bateau du malaise vagal et le « reposez-vous » qui me ramènera la maison aussi vite. 

Sitôt rentrée, sitôt retombée. Les chutes en cataplexie rythmeront mon quotidien depuis ce premier « malaise », et à une cadence désœuvrante : jusqu’à dix, quinze fois par jour. Un médecin comparera mes genoux à ceux des footballeurs américains tant ils étaient meurtris, tuméfiés par les chutes répétées.

Ma vie a rapidement basculé. Je suis devenue totalement dépendante des autres du jour au lendemain, mes malaises répétés ne me permettant plus de conduire par crainte d’un accident, de traverser une route seule au risque de me faire rouler dessus si je m’évanouissais au milieu de la chaussée, de porter mon bébé de peur de lui tomber dessus moi-même…

Après avoir enchaîné des hospitalisations sans diagnostic précis pendant plus de six mois, m'être entendu expliquer que mes symptômes relevaient de l'hystérie et que la cause était donc psychiatrique, subi toutes sortes de traitements aux effets secondaires plus dévastateurs que les seuls symptômes du mal dont je souffrais… Après avoir cru au diagnostic d’hystérie, pensé que je devenais folle, pensé en finir pour mettre un terme à mes souffrances, puis avoir finalement conclu que, le fou s’ignorant, je ne pouvais l’être et que donc la réponse était ailleurs, j’ai entrepris de me sauver.

Je me suis mise en quête d’un autodiagnostic.

Grâce aux blogs, j’ai mis un nom sur le mal dont je souffrais, par rapprochement des symptômes dont la liste entière m’était propre : somnolence, fatigue excessive, insomnies, paralysie au réveil, rêves éveillés, troubles de la mémoire, perte de tonus musculaire, chutes…

La narcolepsie est une maladie rare, d’origine génétique dans 80 % des cas, causant de graves troubles du rythme du sommeil et en particulier les excès de somnolence diurne.

Le malade peut se retrouver plongé dans un sommeil profond de manière subite, même en pleine activité. Dans sa forme la plus grave, la narcolepsie est accompagnée de cataplexies, épisodes de perte de tonus musculaire subits causant des chutes brutales. Le malade tombe alors tel « une poupée de chiffon ».

Dans de rares cas, comme suite à un événement traumatique, si la zone hypothalamo-hypophisaire est touchée – partie du cerveau régulant les états de veille et de sommeil – une narcolepsie « atypique », c’est-à-dire non génétique, peut être déclarée. Dans mon cas, une microlésion au niveau de l’hypophyse a été détectée à l’IRM et pouvait expliquer mes troubles.

Cependant, je n’avais subi aucun traumatisme. Mes malaises ayant démarré à l’issue du traitement contre la grippe H1N1, j’ai entrepris de recouper la survenance de mes symptômes avec ce traitement. Je suis tombée en émoi en lisant les blogs et premières études étrangères sur le sujet, exposant les graves effets secondaires de traitements anti-grippe H1N1 répertoriés à travers le monde. Parmi ces effets secondaires listés outre-Atlantique, la narcolepsie-cataplexie.

En cause prétendue, l’oseltamivir, substance contenue dans les traitements antiviraux dispensés en prévention du H1N1. Une étude sur des rats a permis d’illustrer que l’oseltamivir était capable de traverser la membrane cérébrale, et donc susceptible de causer des dommages irréversibles au cerveau.

Insuffisant toutefois aux yeux des spécialistes pour relier la survenue de la narcolepsie-cataplexie à la prise de ce traitement.

J’étais convaincue du contraire. Je fus ainsi admise dans le service du professeur X, « le » spécialiste européen de la narcolepsie. Lui-même invalidait ce diagnostic après quelques questions, dont mes réponses, non académiques, me dispensèrent du moindre examen. Il me pria de cesser vouloir à tout prix souffrir de cette maladie dont « il » savait mieux que moi qu’elle ne pouvait être que d’origine génétique.

Il me transféra en psychiatrie, mettant mes malaises sur le compte d’une hystérie. J’étais donc officiellement recalée. Plongée dans un profond désespoir, je perdis 9 kilos dans la semaine qui suivit. N’était-ce finalement pas lui qui avait raison : et si je souffrais vraiment d’hystérie ? Mais alors, pourquoi les psychotropes dont j’ai été gavée ne solutionnaient rien ?! Pire encore, les attaques de cataplexie se multipliaient. Les mois passaient et mon état ne s’améliorait pas. Le problème était ailleurs.

Moi, fille de militaire, élevée à coups de pieds aux fesses, je ne me reconnaissais pas dans la thèse de la défaillance psychique. Je suis une battante née, une éternelle optimiste. Mes échecs, je les surmonte ; les obstacles, je saute par-dessus. Alors le diagnostic du « burn-out » au boulot et de l’hystérie pour qu’on s’occupe de moi, non, je ne pouvais le concevoir. Par contre, oui, j’ai pensé commettre l’irréparable pour mettre un terme à tout ça, mais à l’instant même où je l’envisageais, je voyais le visage de ma fille, de mes parents, à qui je ne pouvais infliger une telle peine. C’est dire le sens du sacrifice qui m’animait et qui ne collait pas avec l’état d’esprit victimisant qu’aurait nécessité le profil de ces diagnostics.

Et si c’était moi qui avais raison ?

Et si je souffrais réellement de narcolepsie-cataplexie ?

A bien y regarder, j’en avais tous les symptômes. Mais je ne pouvais souffrir de cette pathologie car, selon les conventions, il eût fallu pour cela que je déclarasse les symptômes de manière plus académique : que j’aie été à l’adolescence (période à laquelle la maladie se déclare habituellement) plutôt rêveuse aux yeux des professeurs, taxée de fainéantise par mes parents, mieux encore en échec scolaire et en marge socialement (les éternels fatigués ne sont pas de bonne compagnie)… , et qu’enfin les analyses révélassent que j’étais porteuse du gène HLA « je ne sais quoi », en cause dans 80 % des cas.

Pauvre de moi, je ne rentrais dans aucune de leurs cases. Vint l’idée de servir à ces « têtes d’ampoule » le scénario requis pour être prise au casting. Connue dans les principaux hôpitaux de la région, et afin de me présenter « vierge » de tout dossier médical contre-validant ma théorie de diagnostic, j’obtins anonymement une visite dans un centre spécialisé en troubles du sommeil dans un CHU de la région voisine.

J’y rencontrai un professeur, lui décrivis mon quotidien, mes symptômes, et répondis aux questions du Tilt Test (test permettant de définir le niveau de somnolence). Score : 17 sur 20. I win naturellement, et sans le peu de mensonge sur le contexte de déclenchement – « oui oui, déjà enfant je dormais tout le temps. »

J’obtins un diagnostic fracassant : narcolepsie-cataplexie. Le médecin, me vit d’ailleurs prise d’une attaque de cataplexie en cours d’auscultation et fut formel du fait de la spécificité de la chute (façon on/off, coupure du courant au niveau cérébral et démembrement du corps). J’obtins un premier traitement et un RDV pour des examens plus poussés devant permettre d’ajuster la posologie. Quelques électro-encéphalogrammes plus tard, je fus officiellement déclarée à la Sécurité Sociale en « affection longue durée » prise en charge à 100 % au titre de cette maladie « auto-immune » rare. La reconnaissance ultime.

Ma satisfaction fut courte.

J’ai commencé à perdre mes cheveux par poignées, à prendre du poids (+ 15 kilos). Je réalisai vite que les traitements n’étaient pas miraculeux. Certes, je tombais moins souvent, mais pour autant je n’étais pas moins distractible. Je ne pouvais toujours pas me concentrer. Lorsque je lisais, j’arrivais à la fin d’une phrase sans m’en rappeler le début ! Comment allais-je élever mon enfant ? N’allais-je plus pouvoir jamais retravailler ? Comment allions-nous faire face aux traites ? J’appris alors que je pouvais prétendre à une allocation-handicap et toutes les réjouissances de rigueur. Ce fut un choc.

J’ai perdu mon mari, mon emploi, ma maison, rejoint le domicile de papa maman du fait de la précarité de ma situation et de mes défaillances de mère, absente bien que présente, toujours dans un monde parallèle. Imaginez vivre en permanence dans un état semi alcoolisé. La tête qui résonne, les réflexes qui se perdent, l’impression de vivre les scènes au ralenti, faire répéter son entourage car le cerveau n’imprime pas ce qu’il entend… Voilà le quotidien qui fut le mien pendant quatre années.

L’amour de mes parents et une hygiène de vie irréprochable m’auront permis de me maintenir à un niveau plus ou moins satisfaisant, et à raison d’un comprimé de Midiodal toutes les trois heures. Dopée comme une bête de somme. Et pourtant tout juste bonne à tenir debout sans canne.

Sept années se sont écoulées depuis que j’ai déclenché cette pathologie.

Aujourd’hui, je suis heureuse de dire que c’est grâce à cet épisode malheureux que j’ai renoué des liens dorénavant indestructibles avec ma famille, en particulier mes parents qui m’ont recueillie et soignée, tel un oisillon tombé du nid ; et rencontré David, un homme merveilleux qui m’a redonné goût à la vie.

Après tant d’épreuves, je sais apprécier, grâce au ciel, le seul plaisir d’un rayon de soleil sur ma peau. Je suis heureuse de témoigner que je me suis sortie de tout cela. Passé la reconnaissance du corps médical, j’ai tout envoyé valser, le rapport bénéfice/désagréments des traitements m’amenant à cesser totalement ceux-ci.

Je ne puis dire que j’ai repris ma vie d’avant, mais je mène une vie active et familiale normale en apparence. Et je tombe en cataplexie en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Ce que je souhaite révéler c’est que j’ai domestiqué ma pathologie. A raison d’une hygiène de vie irréprochable et d’une force de volonté réelle, je suis parvenue à reprendre le cours des choses sans traitement aucun. J’ai appris à anticiper mes malaises et, pour ceux que je ne peux éviter, à recouvrer mes capacités physiques rapidement.

J’ai réintégré la vie active

et me fonds dans la masse salariale moyennant quelques mensonges : j’ai des « empêchements » au déjeuner avec les collègues pour la sieste réparatrice imposée, une babysitter qui fait faux-bond lors des soirées car il est inimaginable de troubler le rythme du sommeil en se couchant tard, je n’ai pas d’horaires compatibles pour accompagner les copines au sport car il serait suicidaire de fournir des efforts musculaires… et si je suis prise d’une attaque de cataplexie au bureau, je prétexte une hypoglycémie.

Lorsqu’il m’arrive de ne pouvoir me lever pour aller travailler (la moindre fatigue est rapidement décuplée) je prétexte un enfant malade et me repose grassement en échange d’un jour de congé. Et cela marche. J’ai repris ma carrière là où je l’avais arrêtée et je suis aujourd’hui directrice d’une agence bancaire.

La récente étude concluant formellement au lien de cause à effet entre les traitements antiviraux H1N1 et les cas de narcolepsie sonne le glas. Cette reconnaissance me permettra-t-elle enfin de faire le deuil de ma vie d’avant ?

En effet, un médecin a fini par conclure un jour, et par défaut, à l’intoxication médicamenteuse comme origine de la lésion ayant causé mes troubles, et un autre m’a confirmé le diagnostic de la narcolepsie-cataplexie atypique.

Mais en dépit de cela, oui, j’ai besoin de m’entendre dire que je suis victime, victime de ce médicament, et non de moi-même comme cela me fut assuré si souvent.

Et enfin, j’ai besoin de diffuser mon message d’espoir. Car à l’annonce du recensement des autres victimes de ces effets secondaires, je ne peux m’empêcher de penser aux traversées du désert que chacun entame dans son univers.

Je souhaite que mon expérience, heureuse dans sa conclusion, permette à certains de garder espoir et de se battre pour que leur vie reprenne son cours.

Astrid B.

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