La lettre de François de C.


Chers parents, chers amis,

de récentes affirmations d’une sénatrice et de deux ministres socialistes ressassent les vieilles lunes des totalitarismes du XXème siècle : en effet, socialisme, communisme, fascisme et national-socialisme partagent cette prétention à s’approprier, formater, et embrigader NOS enfants…

Rappelons donc, sereinement, mais  avec grande force et gros bons sens un principe essentiel : la subsidiarité.

Curieusement, dans nos sociétés modernes – qu’on nous présente comme parangons de liberté(s) – nous constatons que ces états confisquent tout, et prétendent tout régenter, tout réglementer… Nos familles, nos métiers, l’économie, les transports, la santé, bref, nos VIES… sont sous carcan !

A la place de leurs fonctions naturelles – dites régaliennes – nos dissociétés s’arrogent tous les domaines de notre vie : au lieu de s’occuper sérieusement : de battre une monnaie solide, d’assurer la défense de nos patries, et de rendre une juste justice basée sur la Loi Naturelle, nos gouvernants s’occupent de tout… ce qui ne les regardent pas – de façon désastreuse – et avec des coûts hallucinants, ruinant définitivement nos familles et nos patries…

Nous bornant ici à l’objet principal de ce blog, il nous faut rappeler le principe général : une autorité supérieure n’a AUCUNE légitimité… à s’arroger la gestion des personnes et choses qui reviennent naturellement aux niveaux d’autorité inférieurs : cela est pure dictature,  vol, viol, et tyrannie !

La simple étymologie du mot « autorité «  est très éclairante : il vient du verbe latin « augere », qui veut dire « augmenter » ;

Qui a donc « autorité » sur vos enfants… si ce n’est « les auteurs » de leurs jours… qui les a tirés du néant, en les concevant et mettant au monde ?

Qui les « augmentent », en sagesse et en âge, au quotidien des jours, leur dispensant éducation et nourriture ?

Qui sont – par nature – les mieux placés, pour « augmenter » chacun, chacune, selon ses besoins et ses mérites ?

Qui connait si intimement – car « chair de leur chair » – les particularités et la singularité de l’un, de l’autre ?

La réponse est évidente, et l’expérience – comme l’histoire de l’humanité – nous le montre : seuls les parents sont, par nature, les mieux placés pour cet exercice délicat, et doivent rester l’UNIQUE providence de leur progéniture !

Ce n’est donc que par « subsidiarité », en cas de graves circonstances – disparition de la totalité de la Famille, au sens large – qu’une « autorité » extérieure pourra prendre en charge ces malheureux enfants, et encore, en préservant, et la fratrie, et les plus belles valeurs d’ycelle …

Romains cirque sur https://l-ecole-a-la-maison.com cirque« Subsidiarité » : ce mot provient de « subsidii », les troupes de réserve que les antiques romains envoyaient en renfort, lorsqu’au combat venaient à succomber les troupes de base : socle de l’Empire !

Quelle honte, quel affront, et quel constat de déchéance eussent été l’envoi de ces « subsides » en lieu et place des troupes régulières !

Insurgeons nous donc, 2500 ans après, que des gouvernements tyranniques s’arrogent le « droit » de nous déresponsabiliser des fruits de nos entrailles !

Qui d’autre que nous, chers parents, saura mieux « peser les choses » (res-ponsabilis !) dont nos enfants ont besoin ?

Ce sont nos origines familiales, nos us et coutumes, notre culture propre – et notre Foi – qui sont les richesses de chacune de nos familles !

La transmission de ces richesses nous incombe, par nature et par devoir, et c’est à nous d’éventuellement déléguer, une partie de cette transmission… à la personne ou à l’Institution de NOTRE choix !

D’Adam, devisant « à la tombée du soir » avec l’Auteur de ses jours, jusqu’à Louis le Bienfaisant enseignant à Charles Louis la religion, l’histoire, la géographie, la grammaire, l’arithmétique et la botanique, et l’exerçant à tous les jeux du corps.. En passant par Jehanne ayant appris de sa mère ses prières, et savait coudre panneaux de lin, filer, et ne craignait « femme de Rouen pour filer et coudre »…Nos Pères et nos Mères, comme les Pères des pères ont parfaitement su nous éduquer !

Aucun mercenaire ne saurait donc remplacer nos soins et nos tendresses !

Je ne puis conclure ces lignes, sans évoquer le talent de feue ma Mère, qui m’apprit si bien à lire… que je ne me souviens pas quand et comment… arrivant en classe bien jeune… connaissant déjà l’essentiel !

Bon courage à tous, dans cet art délicat, et n’oublions pas de prier l’Auteur de toutes choses…

François de Carennac, ce 29 janvier 2014, en la Fête de Saint François de Sales, Grand Educateur

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