J’ai un autre grand projet en cours


Vous avez un autre projet de vie, qui met un peu de côté ce projet-ci. Ou peut-être que ce projet s'insérera dans un autre, plus vaste. "J'ai un autre grand projet en cours", c'est le thème de cette réflexion.

Un autre projet ? Merveilleux, formidable. Plus vaste ? Fantastique, époustouflant. Et en même temps, il faut s'assurer de certaines choses. Un manque de réalisme peut conduire à l'échec.

Mais en fait, n'est-ce pas écarter la question avec un argument qui se veut prendre de la hauteur ? C'est parfois la réponse qui nous est faite. Nous avons alors un peu le sentiment partagé: d'un côté, on nous fait un peu comprendre que nous sommes un peu importuns ou agaçants avec nos mails ; de l'autre, nous percevons comme un besoin d'écarter la question pour le moment. Avec un argument peut-être un peu dévoyé.

Mais admettons. Il y a vraiment un autre projet dans lequel, éventuellement, l'école à la maison s'insérera.

Eh ! bien, vous savez, l'un des meilleurs moyens de ne rien faire dans la vie, c'est de décoller mentalement. On a parfois des projets si vastes que se mettre concrètement à un seul changement nous paraît dérisoire.

Il arrive parfois que quelqu'un nous dise:

Désolée, j'ai d'autres projet plus vastes que seulement l'école à la maison, qui est certes importante et nécessaire à mes yeux, mais dans un ensemble de projet de vie.

Un autre grand projet en cours

Il n'y a pas de grand changement qui ne passe par un chemin précis et par une première porte: on ne passe par par deux portes en même temps.

Vous verrez que l'école à la maison est à notre connaissance le meilleur moyen, pour une maman, de commencer cette suite de grands changements.

Pourquoi ? Parce que d'abord cela règle un problème essentiel aux mamans. Ensuite, parce que cela les forme idéalement aux changements qu'elles souhaitent (il n'y a pas de meilleure formation, elles sont ici interpelées dans leur chair).

Ensuite, il n'est pas possible d'entamer tous les changements en même temps. Or, les changements qui impliquent la plus grande mobilisation de temps soit passent à la trappe, soit écrasent tout. L'école à la maison prenant du temps (si l'on ne sait pas y faire et c'est relatif, c'est toujours quelque part entre 0 et 100), le reste disparaît et c'est la frustration (regrets).

Et si vous ne faites pas l'école à la maison parce que vous avez un autre projet qui prend le pas, vous serez mal à l'aise de la même manière. Vous regretterez pour votre enfant.

Il s'agit donc de s'organiser.

Pourquoi préconisons-nous l'école à la maison comme porte d'entrée du changement ?

Parce que si vous faites l'école à la maison de la bonne manière, d'une part vous commencerez à régler le pb n°1 (la scolarité de votre enfant) mais en même temps cela vous formera idéalement, vous changera en profondeur pour plus de fiabilité, de force, d'organisation (piliers nécessaires pour un vrai changement). Vous aurez une meilleure vision, une meilleure capacité à planifier (nous vous montrerons très vite qu'il faut développer votre activité personnelle parce que votre enfant doit savoir que vous n'avez pas été créée rien que pour lui - et donc votre organisation s'imposera naturellement). Ce qui vous permettra de mettre en route les autres changements.

La clé, ce n'est pas de considérer l'ensemble du changement en essayant de "se préparer et y réfléchir", de même qu'il ne sert à rien d'essayer de "se préparer et réfléchir" à remporter un championnat national: il s'agit de commencer l'entraînement, sur tous les plans utiles, et donc de planifier, à date, les étapes de la réussite.

Il faut organiser le changement général par chapitre.

Vous voyez des tas de manifestations, que disent-elles ? Ce qui ne va pas. C'est du constat. Parfois, une vision: "On veut du travail, moins d'impôts, moins d'immigration, plus de sécurité". Bien. Mais où est le plan concret ? Nulle part. On ne voit que très rarement une planification. On proteste comme l'oisillon au nid: on espère que quelqu'un va s'y mettre et arranger les choses.

Bref. Quand l'objectif est "gravir la montagne", la solution passe par "emprunter ce petit chemin qui remonte la rivière". Pour éviter la "vision perpétuelle" qui n'aboutit pas et qui effraie en même temps, il faut commencer par un pas. Chaque pas repousse le challenge.

Cela renvoie à ce que nous disons sur ce qui est "urgent" et ce qui est "important" (vous le verrez dans le chapitre sur l'organisation): il y a des choses à faire qui sont obligatoires (changer l'ampoule au plafond parce que je n'y vois rien) mais qui ne sont pas importantes, et il y a les choses importantes mais qui "n'urgent" pas forcément, qui se planifient (il y a 4 possibilités: pas urgent et pas important, urgent et pas important, etc.)

La réflexion sur un changement n'apporte que peu, de même que la réflexion sur le fait d'apprendre à conduire: les choses changent quand on se met au volant. Nous vous proposons de regarder "combien de temps faut-il attendre" sur le site (fenêtre de recherche) ainsi que les articles relatifs au développement personnel.

Vous êtes nombreuses en ce cas et à chaque fois, le désir d'un changement, attendu depuis des années voire des décennies, ne se transforme en essai que dès lors que la personne est amenée à s'y mettre. Alors là, il y a un problème fantastique et particulièrement indécent.

On dit "je souhaite opérer un changement dans ma vie" mais la réalité sera infailliblement qu'en fait de changement, tout se fera sous la contrainte. Oui, il y aura un changement, mais subi. Nous en avons des tas d'exemple. Un couple nous dit qu'il veut déménager. Il signale ce déménagement quelques mois plus tard qui a été obligé parce qu'il ne pouvait plus payer le loyer. Ou c'est une maman qui parle d'un désir de quitter le pays et qui ne le fait que parce qu'il y a une menace de la part d'un ancien conjoint.

Ainsi, ce sont les circonstances qui dictent l'essentiel de notre conduite, et non notre désir.

Il y a deux sortes de changements; les changements sous contrainte (99% des cas) et ça marche ainsi depuis la nuit des temps (l'essentiel des changements culturels, historiques, sociologiques, artistiques, viennent de nécessités plus ou moins impératives) et les changements voulus, qui ont d'autant moins de chance d'aboutir qu'il y manque soit la volonté, soit l'organisation, soit les moyens, soit les circonstances. On rêve de changement voulu mais l'essentiel de notre vie, ce sont des changements sous contrainte. Presque tout le temps, c'est le changement par la contrainte qui s'impose.

Pour éviter ce type de changement aléatoire et parfois d'ailleurs traumatisant, il faut donner au changement voulu la force que peut avoir la nécessité: il faut lui donner les éléments qui lui donnent vie.

Or, l'être humain persiste à vouloir et à ne pas faire en sorte. Il rêve mais ne met rien en plan. Du moins, dans 99% des cas. Chacun le sent bien en écoutant un politicien: on se dit "Cause toujours mon biquet, tout ça, ce ne sont que des paroles, tu ne fais rien de concret pour y arriver." Et nous sommes d'autant plus acides que nous faisons pareil dans notre vie.

Tout ça a été mesuré. On a noté, dans le monde du coaching et du management, que les changements voulus ne se font pratiquement jamais (quantité totalement négligeable de cas) seul, sans aide, isolé.

Le changement voulu, obtenu par une personne seule, relève d'un mythe - autrement dit une statistique extrêmement ténue - qui nous fait tous rêver, c'est le héros antique qui se bat seul, contre tout et tous. C'est charmant et admirable, et c'est aussi ce que nous faisons tous à moindre mesure, au quotidien, mais en réalité, ça n'arrive pas.

Vous voyez des centaines de milliers de Gilets jaunes promettre des changements t des arrestations, mais aucun ne va réellement assaillir l'Elysée pour arrêter le coupable. On parle, mais on n'agit pas. Pas sérieusement. Et encore, ceux-là osent plus que les autres. Mais pour quel résultat ?

Tout le monde promet, jure, crache. C'est à la portée de n'importe qui. Mais ce n'est pas cette histoire-là qu'on raconte aux petits enfants. Ce n'est pas le sujet du roman qu'on emmène à la plage. Ce que nous souhaitons au fond de nous, c'est de réussir. Comme le héros antique. Repousser l'impossible.

Réussir demande de s'y mettre réellement. Pas d'y "penser" ni d'en parler continuellement.

Or, on peut obtenir les résultats du héros antique avec des moyens d'accompagnement réfléchis et méthodiques - c'est là l'une des grandes découvertes de ces dernières décennies.

On peut être l'armée spartiate affrontant les Perses aux Thermopyles, sans effusion de sang. On peut être Hector ou Achille, ou Houdini, ou Marie Curie. Si l'on reçoit l'aide nécessaire. On peut réussir n'importe quel projet s'il respecte 5 critères et s'il est accompagné.

OK mais sans vous

Alors, disent certains, je n'ai pas besoin de vous.

Nous pourrions répondre: "Bien sûr, pas de problème, faites comme vous voulez". C'est ce que répond tout le monde, c'est une politesse. On ne veut pas insister, de peur de prendre une "veste". Chacun reste chez soi, tout va très bien madame la marquise. On se passe à côté, personne n'a perdu la face. Chouette.

Mais où on en est de ce qu'est la personne humaine ? Faut-il renoncer à aller la chercher parce qu'elle dit qu'elle n'en a pas besoin ? On ne sait pas. Il y a des tas de gens qui disent qu'ils n'ont besoin de rien et qui ont d'énormes besoins. Sait-on combien de gens se sont retrouvés dans le décor après que quelqu'un, qui pouvait leur éviter le drame, ait renoncé par convenance ? Du coup, mesure-t-on combien une convenance peut coûter en vies, en désastres, en séparations, en échouages etc. ?

Vous, vous avez quelque chose à me vendre

Certains nous suspecteront d'avoir quelque chose à vendre.

Justement pas.

Nous expliquons quelque part sur le site que si nous faisons payer une obole, c'est pour que le taux de réussite augmente. Nous avons déjà expliqué que la version bénévole de nos services aboutissait à 15% environ de réussite. La version payante amène à plus de 96%. Vous comprenez bien que nous avons préféré abandonner la version bénévole. Qui en outre nous prenait plus de temps car il y avait plus de répétition (comme il n'y a pas d'acte de démarrage, il y a plus de procrastination), moins de satisfaction, et des frais sortis de notre poche. Depuis nos formations en coaching, et le passage à la version payante, nous avons compris que le paiement était non seulement préférable mais bien meilleur pour les personnes elles-mêmes. Nous qui étions jadis réticents à faire payer...

Ce n'est pas non plus que nous ayons besoin que les personnes nous demandent, au contraire, nous avons déjà trop, trop à faire, trop à répondre, trop à gérer. Nous sommes plutôt des indépendants. Mais nous refusons les politesses convenues en ces cas, nous refusons les sourires polis. Nous sommes comme le commerçant chinois, imperturbable, qui répète: "Pourquoi, honorable étranger, toi pas prendre pilule gingembre ?" Nous posons les questions jusqu'au bout et nous donnons les informations utiles. Ce n'est pas que nous sachions tout. Ce que nous ne savons pas, nous ne le disons pas. Mais ce que nous savons, "nous le donner et vous entendre." Ou alors, "entendu, vous maintenant savoir, faire ce que vous voulez".

Là seulement, au bout du compte, quand elle a été informée à fond, la personne peut retrouver une véritable liberté: elle peut décider sans passion. On lui a ouvert des horizons. Après, elle fait ce qu'elle veut. Le taux de conversion de nos inscrits en membres est environ de 22%. Cela donne une idée de ce qui se passe dans les esprits. Bien sûr, il y a plein de facteurs (changement de plan, circonstance contraire, maladie etc.). Mais dans l'ensemble, ce très bon chiffre témoigne qu'après avoir entendu et réfléchi, un nombre important de personnes se lancent.

Le problème de l'orgueil

Il y a un obstacle qui fait qu'en Europe et en Amérique du sud hispanisante, nous devons informer plus longtemps et répondre différemment. Disons-le sans tourner autour du pot de crème fraîche: c'est l'orgueil, quais-inexistant en Asie (du moins avec les familles, c'est évidemment autre chose avec les gros pontes; partout, le riche est fier). En France, c'est toujours assez délicat de décontracter les choses pour que les questions ne se heurtent pas à ce mur très réactif de l'orgueil. L'Européen préférera dire "je sais me débrouiller tout seul" et mourir à petit feu plutôt que de dire "c'est vrai que je n'y arrive pas" et demander de l'aide; surtout les hommes ainsi que les femmes de 20-35 ans vivant en ville et ayant fait des études - il y a un lien entre le milieu socio-professionnel et l'orgueil, indiscutablement).

Nous avons déjà évoqué cet épisode de Koh-lanta où des Français s'allongeaient sur la plage, affamés, préférant mourir de faim que de quémander du secours aux organisateurs. Non pas qu'ils étaient héroïques, ils étaient le contraire de ça. Seulement, il y avait eu un accrochage et il était hors de question pour eux de solliciter de l'aide à ces ennemis. Cela nous a beaucoup fait rire, mais d'un rire au niveau du Panthéon des vivants et des morts. Quand on est prêt à perdre la vie pour ne pas égratigner sa fierté qui n'est qu'une infime partie de la vie, c'est qu'on a perdu tout sens. On ne sait pas que la vie est un trésor. En ce cas, effectivement, la mort est peut-être une solution...

En fait, nous passons outre l'orgueil de nos correspondants. La seule chose qui nous importe est de donner une chance à chacun, quitte à être mal vus avec nos questions et notre insistance. On s'en fiche d'être mal vus.

En bas dans la vallée, les vapeurs bouchent l'horizon et faussent le jugement. En haut de la montagne, les voyageurs voient bien mieux ce qui est en avant et en arrière d'eux. N'est-il pas ? Il s'agit donc de chasser les vapeurs de l'orgueil.

Donc, nous disons à ce point de la discussion, à cette personne qui nous dit "je peux y arriver tout seul" : "Si nous pouvions résoudre seul et par nous-même le grand problème de notre propre existence, nous n'aurions plus ce problème. Si ce problème ou cette question est encore là, c'est que nous n'avons pas la réponse. Si ce problème ou cette question est encore là dans votre vie, c'est que vous n'avez pas la réponse. Si vous aviez la réponse, vous n'auriez plus cette question. Par conséquent, et c'est imparable, seule une aide extérieure petit vous l'apporter."

Retour sur le "héros"

Vous me direz : "Je me bats déjà victorieusement - du moins j'essaie - contre les petits et grands obstacles de la vie, je suis déjà à ma façon Hector ou Achille." Oui, mais non. Ici, vous menez des combats face aux nécessités: c'est souvent admirable, mais c'est subi. Remarquez bien: notre héroïsme à tous provient surtout de batailles face à des circonstances subies. Nous ne pouvons revendiquer que très peu de changements voulus. Parce que nous manquons de volonté, parce que les faits s'imposent, parce que nous manquons de moyens etc. C'est ce que nous disions et c'est l'équation finale : le changement voulu ne se produit jamais si nous ne prenons pas la décision ferme de se faire aider et d'y mettre les moyens.

Vous avez un autre projet de vie, qui met un peu de côté ce projet-ci. Ou peut-être que ce projet s'insérera dans un autre, plus vaste. "J'ai un autre grand projet en cours", c'est le thème de cette réflexion. Un autre projet ? Merveilleux, formidable. Plus vaste ? Fantastique, époustouflant.

Sans doute, on entend parfois certains (souvent des hommes) dire qu'ils n'ont besoin de personne: à Dieu ne plaise, nul n'a envie d'aider autrui en le forçant. Mais le fait est là: quiconque se refuse à recevoir une aide sur un sujet qui hante sa vie depuis plusieurs mois ou plusieurs années échoue forcément, à cause de cette équation. Naturellement, on ne revoit jamais ces personnes et comme nous le disons souvent, le monde ne s'intéresse pas à ceux qui échouent, c'est sa cruauté, ils disparaissent donc dans l'anonymat. C'est parfois réellement dommage car ces personnes n'avaient juste qu'à peaufiner quelques traits de leur projet et de leur caractère pour réussir de belles choses. Nous sommes parfois désolés de voir des personnalités intéressantes se perdre pour des peccadilles, souvent un orgueil qui les écartent de leur propre réussite - ce qui ne serait pas dramatique si leur réussite n'eut pas contenu en elle-même le bonheur de nombreuses personnes.

Le monde est un immense vivier de potentialités gâchées, c'est certain. On le voit d'autant mieux que la moindre réussite détonne et fait beaucoup de bruit. Dans un monde normal, avec toutes les ressources qui existent, la réussite devrait être banale. Or, elle est rare, et donc fait du bruit. C'est un peu comme les gens qui ont lu trois livres: dans un monde totalement ignare, ils passent pour de grands sages. Il faut une dose immense de ratage pour qu'un président de la république tels que ceux qu'on voit depuis 40 fasse illusion.

Le décalage entre les possibles et le réel est abyssal. Il y a de quoi nourrir toute la planète, loger tout le monde confortablement, ne pas produire le moindre déchet, donner du travail à chacun et que voit-on ? Inutile de commenter: c'est faute de se mettre en route. Ce sont les circonstances qui sont les maîtres, et non la volonté personnelle.

Voilà pourquoi il faut l’aiguillonner.

Certains diront enfin: je n'ai pas spécialement envie d'être un héros. En ce cas, la partie est déjà terminée. Vous ne voulez pas et vous ne sera pas. Rien de grand ne se fait sans une part d'héroïsme. La réussite de projets voulus ne vient pas toute seul, ce n'est pas donné par la société, ce n'est ni un dû, ni une chance, ni un hasard (gagner au loto n'est pas une réussite en soi). Si l'on n'est pas pris par un véritable désir de réussir son projet, il est certain qu'il échouera. Si l'on ne veut pas être le héros de sa propre vie, ça loupera, infailliblement. En ce cas, on ne peut rien faire. Imaginez: s'il faut 100 de volonté pour entrer dans l'éventualité d'une possibilité de brouillon d'esquisse de réussite, que se passera-t-il si l'on a que 10 ? Oui, on peut réussir, mais il est indispensable de le vouloir, c'est le strict minimum. Un jour, en son temps, en son lieu, en son heure. Mais de préférence avant que les circonstances n'y obligent...

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