Confiance en soi : comment ça marche


On n’a pas confiance en soi spontanément. On a peu à peu confiance en soi en faisant les choses.

Donc, si vous avez des doutes, c’est normal, c’est prévu ! c’est parfaitement connu et encadré. On doute de ce qu’on ne connaît pas. Si on est très prudent, on est même critique à l’avance, sans savoir. On se retrouve méfiant à la moindre virgule de travers.

Il faut essayer, déjà, de ne pas se laisser piéger par ses propres tendances. Il faut parfois même désapprendre.

Voir aussi:


Attention: avoir confiance en soi n’est pas encore être heureux. On verra à la fin de cet article cette question: « comment allez-vous devenir heureux ? »


Confiance en soi : la mécanique

La confiance en soi, ce n’est pas donné dès le départ. La confiance en soi vient en faisant les choses et en connaissant de la réussite.

Toute personne qui a confiance en ses capacités en est arrivée là parce qu’elle a éprouvé ses capacités.

Elle en est passée par la réussite.

De même, toute personne qui aurait confiance en elle sans avoir éprouvé serait téméraire.

Si vous n’avez pas encore confiance en vous, c’est plutôt bon signe, ça veut dire que vous êtes capable de vous évaluer.

Cependant, il y a un risque.

Vous vous demandez si vous y arriverez en doutant.

Ce n’est pas très pertinent puisque pour l’instant, vous n’avez jamais tenté cette expérience.

En revanche, ce qui serait pertinent, c’est d’y aller tout doucement. De commencer l’aventure.

S’il s’agit d’école à la maison, en vous inscrivant ici et en apprenant des autres.

Puis, quand on vous le dira, de commencer.

Imaginez que vous deviez apprendre à zéro le patin à glace. Croyez-vous que l’entraîneur vous pousserait sur la glace ? Non. Il vous mettrait d’abord les chaussures, puis vous demanderait de vous tenir debout. Puis, on irait sur la glace mais vous vous tiendriez à un chevalet ou un cheval d’arçon, ou même à ses bras. Vous feriez plusieurs pas ainsi. Le lendemain, vous recommenceriez. Le moment venu, vous lâcheriez un bras. Puis le deuxième.

Et ainsi de suite.

Il est certain que si vous partez de zéro, le patin à glace peut vous effrayer. Mais si vous l’abordez pas à pas, alors, pas de vrai problème. On freine dès que nécessaire.

Autrement dit, il suffit de s’en tenir au dicton: « A chaque jour suffit sa peine. »

Reste une grande question:

Comment allez-vous devenir heureux ?

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